Dictionnaire des sciences philosophiques, Volume 4 |
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Common terms and phrases
absolue appelle avant besoin c'est-à-dire caractère cause choses commun condition connaissance conscience conséquent considère corps d'abord d'être degré dernier Descartes déterminée devant développement devoir Dieu différentes dire distinction distingue divine doctrine doit donne doute écrits effet également éléments elle-même enfin esprit existe existence facultés fond force forme général Grèce hommes humaine idées infinie jour jugement jusqu'à l'âme l'auteur l'autre l'école l'esprit l'étendue l'être l'existence l'histoire l'homme l'idée l'intelligence l'ordre l'un l'univers liberté lieu livre logique lois lui-même main manière matière ment métaphysique méthode monde montre morale mort mouvement moyen nature naturelle nécessaire nombre notion objets ouvrages parler particulier passer passions peine pensée phénomènes philosophie physique place Platon porte premier propre publié puissance pure qu'un qualités question raison rapport réel reste rien s'il science second sens sentiment serait seul siècle simple société sorte substance suivant système théorie tion titre traité trouve vérité voie volonté vrai
Popular passages
Page 565 - Feu. Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob. non des philosophes et des savants.
Page 233 - Ainsi toute la philosophie est comme un arbre, dont les racines sont la métaphysique, le tronc est la physique et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences...
Page 260 - ... pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés...
Page 305 - Elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites, que c'est un très grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre.
Page 306 - Je suppose trois définitions, ou plutôt trois faits : l'un, que « le gouvernement républicain est celui où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple, a la souveraine puissance ; le monarchique, celui où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies ; au lieu que, dans le despotique, un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices ». Voilà ce que j'appelle la nature de chaque gouvernement.
Page 308 - Quand les sauvages de la Louisiane veulent avoir du fruit, ils coupent l'arbre au pied, et cueillent le fruit. Voilà le gouvernement despotique.
Page 572 - Le plus grand des maux* est les guerres civiles. Elles sont sûres, si on veut récompenser les mérites, car tous diront qu'ils méritent. Le mal à craindre d'un sot, qui succède par droit de naissance, n'est ni si grand, ni si sûr*.
Page 305 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 577 - S'il ne fallait rien faire que pour le certain, on ne devrait rien faire pour la religion ; car elle n'est pas certaine. Mais combien de choses fait-on pour l'incertain, les voyages sur mer, les batailles ! Je dis donc qu'il ne faudrait rien faire du tout, car rien n'est certain...
Page 307 - Ces lois fondamentales supposent nécessairement des canaux moyens par où coule la puissance : car s'il n'ya dans l'état que la volonté momentanée et capricieuse d'un seul , rien ne peut être fixe; et par conséquent aucune loi fondamentale.