| France - 1865 - 1084 pages
...vain, épouvanté du vide inconnu dans lequel j'allais flotter, je me rejetais pour la dernière fois avec elles vers mon enfance, ma famille, mon pays,...l'inflexible courant de ma pensée était plus fort : parens, famille, souvenirs, croyances, il m'obligeait à tout laisser; l'examen se poursuivait plus... | |
| Théodore Jouffroy - Ethics - 1842 - 528 pages
...épouvanté du vide inconnu dans lequel j'allais flotter , je me rejetais pour la dernière fois avec elle vers mon enfance, ma famille, mon pays, tout ce qui...terme , et il ne s'arrêta que quand il l'eut atteint. Je sus alors qu'au fond de moi-même il n'y avait plus rien qui fût debout. Ce moment fut affreux,... | |
| Théodore Jouffroy - Ethics - 1842 - 514 pages
...épouvanté du vide inconnu dans lequel j'allais flotter, je me rejetais pour la dernière fois avec elle vers mon enfance, ma famille, mon pays, tout ce qui...l'inflexible courant de ma pensée était plus fort ; parents , fa— mille, souvenirs, croyances, il m'obligeait à tout laisser ; l'examen se poursuivait plus... | |
| Pierre Leroux - 1843 - 166 pages
...inconnu dans lequel j'allais flotter, je me rejetais pour la der» nière fois avec elles vers mou enfance , ma famille , mon pays , » tout ce qui m'était...plus sévère à mesure qu'il approchait du terme, etilnes'ar» rêta que quand il l'eut atteint. Je sus alors qu'au fond de moi» même il n'y avait... | |
| Marie-Stanislas Rattier - 1843 - 482 pages
...vain, épouvanté du vide inconnu dans lequel j'allais flotter, je me rejetais pour la dernière fois avec elles vers mon enfance , ma famille, mon pays, tout ce qui m'est cher et sacré , l'inflexible courant de ma pensée était plus fort; parents, famille, souvenirs,... | |
| Théodore Combalot - Catholic universities and colleges - 1844 - 208 pages
...épouvanté du vide inconnu dans lequel j'allais flotter, je me rejetais pour la dernière fois avec elle vers mon enfance, ma famille, mon pays, tout ce qui...terme, et il ne s'arrêta que quand il l'eut atteint. Je sus alors qu'au fond de moi-même il n'y avait plus rien qui fût debout ; que tout ce que j'avais... | |
| 1845 - 970 pages
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| Adolphe Franck - Philosophy - 1847 - 672 pages
...la dernière fois, avec elles, vers mon enfance, nia famille, mon pays , tout ce qui m'était-cher et sacré; l'inflexible courant de ma pensée était...croyances, il m'obligeait à tout laisser; l'examen se poursuivit, plus obstiné et plus sévère, à mesure qu'il approchait du terme, el il ne s'arrêta... | |
| Adolphe Franck - Philosophy - 1847 - 676 pages
...inconnu dans lequel fbllâis flotter, je me rejetais pour lu dernière fois, avec elles, vers fcon enfance, ma famille, mon pays, tout ce qui m'était cher et sacré; raflexible courant de ma pensée était plus fort; parents, famille, soudeurs, croyances, il m'obligeait... | |
| Henri-Joseph Icard - Catechetics - 1853 - 466 pages
...épouvanté du vide inconnu dans lequel j'allais » llotter, je me rejetais pour la dernière fois vers mon "enfance, ma famille, mon pays, tout ce qui...obstiné et plus sévère , à mesure qu'il approchait 1: du terme, et il ne s'arrêta que quand il l'eut atteint. » Je sus alors qu'au fond de moi-même... | |
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