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pour épouser une seconde femme sans quitter la première. III. 500.- Ceux-ci lui font une répouse conforme à ses desirs, et la signent au nombre de huit. 501.

PHILIPPE, lieutenant de sa compagnie, arrête avec une poignée de soldats toute l'armée impériale. I. 329.

PLAISANTS ET FOUS DE COUR (des ). IV. 382.

POMPÉRAUT reste seul avec Bourbon, lorsque celui-ci sort de France. II. 38.- Il sauve le roi à la bataille de Pavie. 149.

POUCHER (Étienne), évêque de Paris, remet les sceaux sans regrets, comme il les avoit maniés sans reproches. I. 153.

PORTUGAL (le), à l'avènement de François I, n'étoit important

dans l'Europe que par la découverte d'une route par mer aux Indes orientales. I. 132.

PRINCES DU SANG (les), si factieux sous Charles VI, se souvenoient sous Louis XII, qu'ils étoient les soutiens naturels du trône. I. 143. PROCÈS des Ducs de Wirtemberg contre Ferdinand, roi des Romains. II. 423 et suivantes.

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Bertin-le-Comte, même

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PROFESSEURS royaux nommés par François I en langue hebraique. Paradis, vénitien de naissance, et Guidacerio, né en Calabre. IV. 185 et suivantes. — Vatable, du diocèse d'Amiens. Galigny, lorrain. 191.. Mercier, languedopage. cien; il étoit un prodige d'érudition. 192. · En langue grecque, Danès, parisien. 194.-Toussaint, de Troyes en Champagne, disciple de Budée. 177.—Strazel, flamand; il est célébré par Voulté, poëte de Reims. 199. il étoit de Sées. 200. Cheradam; roné, de Chartres, même page. — En eloquence latine, Le Masson, d'Arlon, dans le Luxembourg. 201. Galland, principal du col lége de Boncourt, qu'il fit bâtir. 202. Professeurs de mathématiques. Poblacion, espagnol. 203. Finé, le restaurateur des mathématiques en France, fils d'un médecin de Briançon. 204. — Postel, savant, qui enseigna en même temps les langues orientales. 205.- Particularité sur cet homme singulier. 205 et suiv. —Duhamel, normand, auteur de plusieurs commentaires, profes> seur en philosophie grecque et latine. Vicomercato, né à Milan, grand péripatéticien. 209. - Professeur en médecine et en chirurgie. Vidus-Vidius, florentin, médecin de François I. 210.

PROGRES de l'esprit humain dans tous les genres, sous François I.

tom. IV. 226.

Théologie,

méme

page.

Législation, jurisprudence. 227 et suiv.- Guerre. 224.—Marine, navigation, commerce. 240.- Finances. 260.- Sciences et arts,

suivantes.

belles-lettres. 265 et

PROSPER, grand capitaine, éperduement amoureux à quatre-vingts ans de la donna Chiera, ne se laisse point dominer par cette femme que Bonnivet avoit fait gagner pour les Français par Visconti (Galéas), son amant. II. 70 et suivantes.

R.

RAMUS, le plus célèbre de tous les professeurs du collège de France; détails sur ce savant. IV. 214 et suivantes.

RÉNÉE (la duchesse de Ferrare), ayant écouté les luthériens, écoute Calvin. IV. 13. - Elle s'attache Marot, attire les savants et recueille les hérétiques exilés, méme page.

RÉFORME. Les chefs de la Réforme ne songent qu'à la faire triompher à Spire. III. 460. -La diète de cette ville fait époque dans l'histoire de la Réforme, même page. Huit docteurs de la Réforme signent la dispense pour le contrat de mariage de Philippe, landgrave de Hesse, avec Marguerite de Saal. III. 503.

RHODES ́est assiégée et prise par Soliman II. tom. I. 474.

ROME est le théâtre de toutes les horreurs pendant deux mois. II. 246 et suivantes. La peste finit par ravager cette ville. 251. ROYE (le comte de) est tué à la bataille de Marignan. I. 200.

S.

SAINT-POL (le comte de) baigné dans son sang à la bataille de Pavie, dut la vie à l'avarice d'un soldat espagnol. II. 155. —Il fait sa jonction avec les fédérés sur les bords de l'Adda. 228.

SAINT-VALLIER (le comte de) a le plus de part à la confiance du connétable de Bourbon, son parent et son ami. II. 25. -Remontrances qu'il lui fait. 26. — Il fut le plus sévèrement jugé de tous les complices du connétable. 48. Il monte sur l'échafaud en place de Grève, sa grace arrive, et la peine de mort est commuée en une

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SADOLES dans son diocèse de Carpentras, paroît comme un Dieu sauveur au milieu des bourreaux fanatiques et des victimes révoltées. IV. 35. Ses principaux ouvrages annoncent son caractère. 323. - Et leurs titres, même page.

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SALUCES (le marquis de) a le commandement des troupes qui étoient dans le Piémont. II. 500. Il étoit aimé du roi, avec lequel il avoit été élevé, méme page. Il prend le parti de la trahison, et en avoue les motifs à son intime ami. 501. -Les Françias font la conquête de presque tout son petit état. 524. — Il va voir son frère aîné au château de Carmagnole; il l'invite à le suivre au château de Valférière, où il le retient prisonnier, 525. Il est tué au siége du château de Carmagnole. III. 26.

SANCERRE (le comte de ) est tué à la bataille de Marignan. I. 200. SAVOIE (les ducs de ), sous François I, ne possédoient ni le marquisat de Saluces, ni le Mentferrat. I. 115.

SAVOIE (le duc de ) invite cent des principaux officiers Suisses à venir à Turin, sous prétexte de fêtes. I. 185.—H obtient son agrandissement réel par l'acquisition du comté d'Ast. II. 359.

--

SAVOIE (le bâtard de) est fait grand-maitre de la maison du roi à la place de Boisy. 1. 308. Il expire à la bataille de Pavie. II. 146. SAXE (l'électeur de), si digne de porter la couronne impériale, s'en montre plus digne encore en la refusant. I. 301.- Les électeurs s'en référant à lui pour la nomination de l'empereur, il nomme le roi d'Espagne, même page.

SCHEINER (Mathieu), évêque de Sion, dans le Valais, prélat belliqueux, étoit de basse extraction. I. 123. —Élevé au cardinalat par Jules II. il sert ses fureurs contre la France, méme page.

SEDITION en Espagne; elle commence par Valladolid, et s'étend bientôt avec une rapidité effrayante. I. 317 et suiv.

SEMBLANÇAI, Surintendant. Son affaire au sujet de quarante mille écus qu'il soutient avoir comptés à la duchesse d'Angoulême. I. 466 et suiv. — Pour prix des longs services qu'il a rendus à plusieurs rois, il périt d'un supplice réservé aux hommes les plus vils. 471. — Sa

fermeté contraste avec l'air abattu du lieutenant-criminel Mail

lard, 472.

SFORCE (Maximilien). Ses prétentions sur Gênes, comme duc de Milan. I. 163. Il s'enferme avec quelques Suisses dans le château de Milan. 205.-Après vingt jours de siège, il remet aux Français les châteaux de Milan et de Crémone, 207. Il renonce à ses droits sur le duché, et le roi lui donne un asile en France. 207. SENERPONT attaque le cavalerie anglaise, la met en fuite, et fait soixante-quinze prisonniers, tous vêtus de casaques de velours chamarrées d'or et d'argent. III. 265.

SICKINGHEN, gentilhomme obscur, lève une petite armée, et devient un ennemi redoutable à l'empereur, I. 297.-Il recherche l'amitié de la maison de La Marck, 298. — Sa chevalerie héroïque. 299. — Il dresse des embuches aux ambassadeurs français pour leur enlever les restes de l'argent échappé à l'avidité des électeurs. 303. SERVET. Calvin le fait brûler pour ses opinions sur la Trinité,

IV. 23.

SOBRIQUET de François I. IV. 287 et suiv.

SELIM, empereur des Turcs; ses conquêtes et ses vastes projets. I. 254. L'effroi qu'il inspire. 255.

SOLDATS (huit) défendent le château de Crémone pendant plus de dix-huit mois. II. 65.

SION (le cardinal de), ennemi implacable des Français et de la paix. I. 182. Sa harangue aux officiers suisses, même page. -- Il s'enfuit chez l'empereur, 204. - Il porte seize mille écus aux Suisses de la part de Maximilien. 228. Sa haine contre les Français. 263 et

suivantes.

SOLIMAN II, le plus grand des empereurs turcs après Mahomet II, recule de plus en plus les bornes de son empire vers l'occident. I. 474, et II. 381. - Il se prépare à faire une irruption en Hongrie. II. 393--Il entre en Hongrie à la tête de cent cinquante mille hommes. Sa victoire près d'Essex. III. 51.

SPIRE. La diete de Spire. III. 214. — On refuse d'y entendre François I. même page. Les chefs de la réforme ne songent qu'à la

faire triompher dans cette ville. 460.—La dicte de Spire en 1529

forme une époque dans l'histoire de la réforme, méme page et

suivantes.

SUFFOLK (Charles Brandon, duc de), favori de Henri VIII, roi d'An

-

gleterre, et de Marie sa sœur, accompagne en France cette princesse qu'il aimoit et qui venoit épouser Louis XII. tom. I. 57. Il passe la mer à la tête de quinze mille anglais. II. 97. — Il brûle Roye et attaque Montdidier. 99. - Il la brûle aussi, et se retire

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- Il est tué à la bataille de Pavie, et la France

perd en lui un allié utile. 140.

que

SUISSES (les) ravagent les États du duc de Savoie. I. 165. — Ils occupent le de Suze. 170.pas - Ils pillent Chivas, qui leur ferme ses portes, et Verceil qui leur ouvre les siennes. 177. — Ils rentrent dans le canton de Berne. 178.-François I leur accorde tout ce qu'ils veulent. 181. —Ils se déterminent à suivre le plan d'infidélité leur trace le cardinal de Sion. 184.- Ils marchent vers Carignan. 186.-Ils perdent plus de quinze mille hommes à la bataille de Marignan. 194. Ils s'accordent mal avec les Italiens de la garnison de Milan. 207. Ils font valoir auprès de l'empereur leur inaction au combat de la Bicoque. 456. — Près de vingt mille s'engagent an service du roi, qui donne un collier d'or à chaque capitaine. 533.

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T.

TABLEAU de l'Empire germanique, relatif à l'histoire de François I. tom. I. 489.

TALMONT (le prince de) qui promettoit de balancer la gloire de son père, est tué à la bataille de Marignan. I. 100.

THÉROUANNE est brûlée en 1513 par les Anglais et par les Impériaux. I. 254.

TOURNOIS. La folie des tournois étoit plus animée que jamais sous François I. tom. IV. 337 et suiv.

TOURNON (François de), archevêque d'Embrun, qui devint cardinal, fut un des ambassadeurs pour négocier la rançon du roi. II. 198. Le roi, près de mourir, lui rend le témoignage le plus flatteur. IN. 286.

TRANS (le baron de) à la bataille de Pavie, s'indigne que son fils qui,

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