Discussion à son sujet, du récit des divers historiens qui ont décrit cette bataille. 158. BOSSUET. Son mot énergique contre les flatteurs des peuples. IV. 38. BOULEN (Anne de ) enchaîne Henri VIII, par des refus attirants, et ambitionne le titre de reine. II. 369. BOURBON (la maison de), à l'avènement de François I, étoit divisée en trois branches principales ; celle de Montpensier. I. 145. — Celle de Vendôme. 146. — Et celle de Carency. 147. -- BOURBON (le connétable de) soutient avec sa gendarmerie les lansquenets et les bandes noires, à la bataille de Marignan. I. 191.. Il se voit exposé à une grêle de coups. 196. —Le roi lui donne le gouvernement du Milanez. 219. Désespérant de sauver les faubourgs de Milan, il croit devoir les détruire. 225. — Il pourvoit à la défense de cette ville, méme page. - Son retour en France. 243. - Invulnérable du côté de la fortune, il étoit sensible aux honneurs, II. 17. Le parlement ordonne le séquestre de ses biens. 22. —— Charles-Quint le plaint, et irrite sa colère, méme page. - Ses dissimulations avec Warty, qui étoit venu pour s'informer de sa santé de la part du roi. 33. — Il le charge de lettres pour le roi. 34.Sa retraite à Chantelle. 35. Il en part avec toute sa maison, se rend d'abord à Herment, se déguise, passe le Rhône dans un bac, et arrive en Franche-Comté, province appartenante à l'empereur. 40. - Dix-neuf de ses complices sont condamnés à mort par contumace. 43. Son procès est plusieurs fois suspendu et repris. Le connétable errant, fugitif, sans équipage, arrive chez l'étranger où il ne laisse point avilir la grandeur de sa maison. 57. Il partage le commandement de l'armée impériale dans le Milanez. 58. Il entreprend le siège de Marseille. 150.- Il échoue Ses regrets d'avoir quitté sa patrie. 108. — A la bataille de Pavie, il fait faire à ses lansquenets un mouvement décisif. 139.-Le corps qui détermine la victoire de Pavie est celui qu'il commande. 146. - Son mot en voyant le corps de Bonnivet sur le champ de bataille. 148. Il arrive à Milan, il sollicite 30,000 ducats, pour la solde d'un mois. 224. - Sforce lui remet le château de Milan. 225. Il promet, moyennant 20,000 ducats, la vie à Moron, enfermé au château de Pavie, pour avoir soulevé toute l'Europe contre l'empereur. 233. Celui-ci les refuse, mais voyant l'appareil de son supplice, il les fournit. 234. — Bourbon, après en avoir payé ses les met en marche, et arrive sous les murs de Rome. 241. 55. troupes, - Le premier coup d'arquebuse, parti des remparts de cette ville, termine ses jours. 242. BOURBON-CARENCI ( Bertrand de), frère du duc de Lorraine, et da comte de Guise, qui égaloit déja leur valeur, est tué à la bataille de Marignan. I. 200. BOURGOGNE. Des députés des États de cette province déclarent nul le traité de Madrid, comme ouvrage de la violence. II. 211. BRETAGNE. Réunion de cette province à la couronne. II. 362. BRION (l'amiral de ) établit son camp entre Turin et Chivas. I. 456. — Il passe la grande Doire, et ce passage est un chef-d'œuvre militaire. 457. Il reste sur les bords de la Sessia, incertain de la conduite qu'il doit tenir. 479. BRISSAC est envoyé à Vitry par le dauphin, avec 200,000 hommes d'infanterie. III. 221. Il fait une retraite, avec autant de courage que d'habileté. 221. BUCER (Martin) eût souscrit la confession luthérienne, sans l'article de la cène. III. 474. · Il dresse pour Strasbourg, Memingue, Lindau et Constance, une confession particulière, même page. II flotte toujours entre Luther et Zuingle. 535. BUSSY d'Amboise (le comte de) est tué à la bataille de Marignan. I. 200. - C. CALVIN. Sa naissance. IV. 9. Il a une chapelle à douze ans. 10. — Et à seize une cure, même page. — Il vend l'une et l'autre, et vient dogmatiser à Paris. 11. — Il se sauve à Angoulême, il erre ensuite de ville en ville, méme page. Il va chercher un asile à Férare, chez la duchesse Rénée. 12. - Il s'y déguise sous le nom de Heppeville; il se fait un empire particulier à Genève. 14. — Il y renverse en plein jour les autels, et brise les images. 16. — Ayant peu de facilité à parler, il laisse prêcher, et se met à enseigner la théologie. 20. - Son livre de l'institution a de la méthode et de l'ensemble. 22. Il fait brûler Servet, pour des opinions folles sur la Trinité. 23. -Son esprit d'intolérencé fait échouer son projet d'établir au Brésil une colonie de sa secte. 25. - Différentes sectes du calviniste. 37, et suiv. — Il écrit contre le concile avec la violence, les injures et les sarcasmes de Luther. 37. - Parallèle de ces deux réformateurs. 39. Dogmes qu'ils enseignent, leur conformité, leur différence, 41. Calvin tire trois conséquences, que Luther n'avoit pas admises sur la justice imputative. 47. CAMBRAY. La paix de Cambray, dite la paix des dames. II. 346. CARINAN (le), cheval de Bayard, particularités sur cet animal singulier. I. 198, et la remarque. - CARLOSTAD, ami de Luther, veut supprimer l'élévation de l'hostie. III. 427. Pénétré de l'inutilité des sciences humaines, il ne veut d'autre enseignement que celui de la Bible, dans l'université de Vittemberg. 428. Il fait jeter par le peuple des pierres et de la boue à Luther. 429. —Il se réfugie en Suisse. 43o. -- Abandonné de tout le monde, il tombe dans une misère extrême, accablé du mépris public. 431. CENSURE. Époque de la censure en France. IV. 405. CHABANNES (le maréchal de ) prend le commandement de l'armée du maréchal de Châtillon, et passe l'Andaye à la vue des ennemis. I. 362. - Il force les lignes, et entre triomphant dans Fontarabie. 363. Il est fait prisonnier à la bataille de Pavie; Castaldo le tue. II. 141. CHABANNES (Antoine de), évêque du Puy, est arrêté à l'occasion de la défection du connétable. II. 40. CHABOT annonce au parlement, de la part du roi, la découverte de la conspiration du connétable. II. 42. CHARLES, duc d'Alençon, premier prince du sang, est pourvu par François I du gouvernement de Normandie. I. 144. Voyez Alençon (duc d'). CHARLES-QUINT. Archiduc, il devient héritier des royaumes d'Espagne. I. 231.-Et hérite des droits de la maison d'Aragon, sur le royaume de Naples, méme puge. - Il prodigue des témoignages d'estime et d'amitié à François I. 234. Et se ligue en même temps avec ses amis déclarés ou secrets. 235. — A travers mille obstacles, il élève sourdement l'édifice de sa grandeur. 261. Il triomphe de la résistance des électeurs avec l'or des Pays-Bas. 269.- Il est proclamé empereur. 302. - Il passe en Allemagne, malgré la peste, et est couronné à Aix-la-Chapelle. 304. —Son parallèle avec François I, au sujet de la couronne impériale. 306. Il voit le roi d'Angleterre, après l'entrevue de celui-ci avec François I. 313. Sa conduite contradictoire. 336. — Il fait le siège de Fontarabie. 353.Il passe en Angleterre, pour tirer parti des dispositions du roi et de Volsey. 366.- Il promet à ce dernier 12,000 fr. de pension, même page. Il fait sonder Bourbon, et fait briller à ses yeux la - Il craint fortune et la vengeance pour le porter à la défection. II. 22. — H fait un traité avec le roi d'Angleterre et Bourbon. 103. que Bourbon, rétabli en France, ne se ressouvienne qu'il est Français. 105. Après la bataille de Pavie, il paroît d'abord vouloir partager avec l'Angleterre la France. 170. — La fourniture du sel dans le Milanez achève de brouiller l'empereur et le pape. 175. —Il fait rendre au roi, son prisonnier, tous les honneurs dus à son rang. 183. - Craignant d'être généreux, il ne veut voir son prisonnier, le roi de France, qu'après être d'accord sur les conditions. 197. — Il fait transférer les enfants de France à Valladolid. 211. — Il défie François I à un combat singulier. 260, et suiv. — Lautrec s'avançant vers l'État de l'église, l'empereur songe à rendre la liberté au pape. 291 et 294.· - Il n'abandonne point le duc de Bourbon, même après sa mort. 344. Il exige que son procès soit annulé, sa mémoire réhabilitée, et ses biens rendus à ses héritiers. 345. — Il veut paroître juste envers le duc de Ferrare, et clément envers le duc Sforce. 352. Il semble autoriser le crime de ce dernier sur la personne de l'ambassadeur Merveille: 440. Il s'engage dans l'expédition de Tunis. 441. — Il épuise dans une négociation tout ce que la politique peut se permettre de mauvaise foi, d'artifice et de détours. 449. Il est toujours sur le point de conclure, et ne conclut jamais, même page. — Il fait sourdement les préparatifs les plus formidables. 452. Il offre le Milanez pour le duc d'Angoulême, avec une de ses nièces en mariage. 481. - Il résout de faire une irruption en France, par la Provence. 53o. Il fait ranger son armée en bataille, et la harangue. 532. — Sa confiance est telle, qu'il distribue d'avance le gouvernement des provinces, des villes, des châteaux de France, et les dignités et les offices de ce royaume. 535. — Il est justifié au sujet de la mort du dauphin, qu'on prétendoit qu'il avoit empoisonné. 553, et suiv. - Il offre au pape l'investiture du Milanez, pour son neveu. 562. Sa marche à travers les montagnes est très pénible, et presque toujours troublée par les paysans. 563. — Il pénètre jusqu'à Aix, au milieu des périls et des cruautés. 565. Issue de sa tentative sur Marseille. 571. Ne pouvant attaquer aucune des places de la Provence, il résout de pénétrer par le Rhône dans le Languedoc. 577.-H attaque une tour qui défendoit l'embouchure de ce fleuve, même page. - Les paysans provençaux lui font essuyer les plus grandes pertes. 58o. — Il fuit une seconde fois en personne devant François I. 588. - Cette retraite - - vaut une déroute, même page.—Il y passe souvent des jours entiers sans manger. III. 10. Son air calme lorsqu'un jour, logeant dans sa galère qui étoit à l'ancre, on prit des nuages blancs pour les formidables voiles de Barberousse. 62. Il s'embarque pour Barcelone, après la conclusion du traité de Trève. 65. — Il se dispose à prendre terre à Aigues-Mortes, et demande une entrevue à François I, qui s'y rend. 66. — Il fait demander à François I de passer par la France, pour se rendre dans les Pays-Bas. 73. —A peine guéri, celui-ci va au-devant de l'empereur. 77.-Il laisse tomber aux pieds de la duchesse d'Étampes un diamant d'un très grand prix, qu'il lui fait accepter pour se la rendre favorable. 79. - Il nie avoir promis l'investiture du Milanez. 80.-Autres artifices et intrigues de l'empereur. 81. Ayant autour de lui toutes ses forces et ses meilleurs généraux, il forme trois camps autour de Landrecies. 171. -Il surprendre Cambray, et moitié persuasion, moitié violence, la citadelle reçoit garnison impériale. 178. Il prend Saint-Didier, et cherche à passer la Marne. 230. L'empereur et le roi d'Angleterre furent à peu près également infidèles aux engagements qu'ils avoient contractés par le traité de Londres, 233.-Ayant commencé par être trop sévère envers les protestants, il finit par être indulgent. 573. Son parallèle avec François I. tom. 1. 306, et III. 288. CHATEAU-BRIANT (la comtesse de) règne sur le cœur du roi. I. 352. CHATELLERAUT (François de Bourbon, duc de), frère du connêtable, est tué à ses côtés, à la bataille de Marignan. I. 200. CHATILLON (Odet de) est fait cardinal. II. 418. — Il est fameux par son apostasie, et par le rang qu'il donna à sa femme qu'il faisoit nommer la comtesse de Beauvais, parcequ'il étoit évêque de cette ville, méme page. CHIMAI (le prince de) dispute au seigneur d'Émeries la seigneurie de la petite ville d'Hierges, dans les Ardennes. I. 327. CHRISTIERN II, roi de Danemarck, monstre ennemi de Dieu et des hommes. I. 257. - Ses crimes n'empêchent pas la France de conclure avec lui une ligue offensive et défensive. 260. CLAUDE (la princesse), fille de Louis XII et d'Anne de 'Bretagne', épouse le duc de Valois (François I). 1. 48. — Outre la Bretagne, plusieurs comtés et ses droits sur le Milanez, qu'elle porte en dot à son mari, elle lui porte toutes les vertus du roi son père. 49. COLONNE (Prosper). Ce général étant à table, est fait prisonnier chez lui à la prise de Villefranche, ne soupçonnant rien de ce qui se |