Page images
PDF
EPUB

DES MATIÈRES.

A.

[ocr errors]

-

ALBRET (Henri d'), roi de Navarre, est fait prisonnier à la bataille de
Pavie. II. 154. — Il s'échappe à l'aide d'un travestissement, même p.
ALENÇON (le duc d'). Le roi lui donne le commandement général
des troupes de Champagne. I. 338. Il reprend Mouzon. 347. — Il
fuit à la bataille de Pavie; il meurt à Lyon, de honte et de douleur.
II. 157. — En lui s'éteint la branche d'Alençon, même page.
ALENÇON (la duchesse d') passe en Espagne, pour consoler et se-
courir le roi son frère. II. 198. - Elle est très bien reçue, et fait les
délices de la cour. 199. Voyez Marguerite de Valois.

ALEXANDRIE. La prise de cette place jette la division parmi les alliés.
II. 285.

AMBASSADEURS. Du choix des ambassadeurs sous François I. IV. 388.

AMBOISE (Clermont d'), que son courage avoit élevé, dès 23 ans, à

la lieutenance de l'avant-garde, est tué à la bataille de Pavie. II.

140.

ANABAPTISME (l') trouve un asile en Allemagne. III. 458.

ANAGRAMME de François I. IV. 387.

ANECDOTES sur François I. IV. 393, et suivantes.

ANGLETERRE (l'), à l'avènement de François I, se contentoit d'être

importante; elle qui autrefois étoit si redoutable. I. 133. - Le roi

d'Angleterre, ennemi couvert et dangereux de François I, 250.—

Il sollicita l'empire pour lui-même, et ne put obtenir une seule

voix. 274. Voyez Henri VIII.

ANGOULÊME (la comtesse d') tâche de faire épouser à François I, son fils, madame Claude, fille aînée de Louis XII, et d'Anne de Bretagne. tom. I. 40. Devenue duchesse, après avoir contribué à la défection des La Marck, répare sa faute, en ménageant la réconciliation entre les dames de La Marck et de Fleuranges. I. 329. — Après avoir donné les plus grands éloges à la probité du surintendant Semblançai, elle nie avoir reçu de lui 400,000 écus, qui étoient destinés pour l'armée d'Italie, détails sur cette affaire. 465, et suiv. -Elle conçoit une passion malheureuse pour le connétable de Bourbon. II. 14. Elle lui fait retirer le gouvernement du MilaElle propose Bonnivet au roi, pour remplacer le maréchal de Lautrec dans le Milanez. 59. — Après la bataille de Pavie, elle gémit et se désespère; mais elle ranime bientôt son courage. 165. - Elle mande tous les princes du sang et tous les gouverneurs des provinces frontières, pour se concerter. 167.-Étant régente, elle se reconnoit débitrice au nom du roi son fils, envers le roi d'Angleterre, de dix-huit cent mille sept cent trente-six écus au soleil. — Sa mort. 367. Le mal qu'on lui reproche a été fait hors du temps où elle a été revêtue de l'autorité. 368.

nez. 17.

--

ANJOU (maison d'). I. 71.

ANJOU (deuxième maison d'). I. 74, et suiv.

ANJOU (branche bâtarde de la maison d'). 77.

ANJOU, (couronne de France, héritière d'). 79. Ses droits sur le royaume de Naples. 86.

ANNE de Bretagne. Son contrat de mariage avec Louis XII. I. 44.— Elle s'oppose au mariage de madame Claude sa fille aînée avec François I. 45. Elle console Louis XII par son amitié, et le fortifie par son courage. 48.

ARAGON (maison d'). I. 71. — Ses droits sur le royaume de Naples. 85. ARAGON, bâtarde. 79.

ARAGON, légitime. 82.- Ses prétentions sur le Milanez. 98.

ARGOUGE (d') et Matignon révèlent la défection du connétable de Bourbon. II. 36. -Leur déposition. 41.

ARSCOT (le duc d') commande les impériaux dans les Pays-Bas. I. 372. Il fait le siège de Thérouanne. 373.

AUBIGNY (d') fait prisonnier le général Prosper Colonne, à la prise de Villefranche. I. 175.

AUSBOURG. La confession d'Ausbourg distingue la sexte luthérienne de toutes les autres sextes protestantes. III. 472.

AVERSE. Les impériaux en font le siège. II. 324. Le marquis de Saluces, blessé au genou, capitule, méme page.

AYALA, un des pages de Charles-Quint, vend son cheval pour donner de l'argent à son père qui étoit alors proscrit; il en est récompensé par l'empereur. I. 327.

B.

BAPAUME est prise et brûlée par le comte de Saint-Pol, I. 368. BARBEROUSSE (le corsaire) devient grand amiral de l'empire ottoman, fait une descente dans le royaume de Naples, et ravage tout sur sa route. III. 51. — Il s'empare de Nice avec le comte d'Enguien. 185. - N'ayant plus avec lui les Français, il saccage et brúle plusieurs villes. 186. Il enlève plus de 7,000 malheureux, qui furent réduits en captivité. 187.

-

[ocr errors]

BATARD, soldat français de la garnison d'Hesdin, étant fait prisonnier, use d'un stratagème. II. 162.

[ocr errors]

-

BAYARD fait monter à cheval ses hommes d'armes, et passe le mont de l'Épervier. I. 174. — Il avertit des divisions des Suisses le connétable de Bourbon. 178. — François I reçoit de sa main l'ordre de chevalerie. 203 et la note. — Gouverneur de Mézières, il défend avec moins de mille hommes cette place démantelée, contre une armée de 35,000 hommes. 339 et suivantes. Le siège est levé, et le roi lui donne le collier de Saint-Michel. 346. — Il demande à poursuivre les impériaux. 349. Il accompagne le maréchal de Foix, qui conduisoit en Italie un renfort considérable. 439. ravitaille le château de Crémone. II. 65. —Il étoit l'oracle de l'armée. 79. Il reçoit un coup d'arquebuse dans les reins, ses paroles au duc de Bourbon, et sa mort. 86. Ses traits de vertu et son éloge. 87 et suivantes. BEAUREIN (le comte de) lie une intrigue au nom de l'empereur, avec le connétable, pour le porter à la défection. II. 23.

[ocr errors]
[ocr errors]

[ocr errors]

BEAURIN porte au roi les conditions en quatre articles de sa liberté. II. 195.

BEAUVAIS, gentilhomme normand, par son intrépidité contribue à la prise de Villefranche. I. 175.

BEDA (Noël), syndic de la Sorbonne, répond en substance qu'il faut brûler tous ceux que la Sorbonne a condamnés. III. 537. — Il soulève l'université contre le collège royal. IV. 175.

BELCOD (Jean), dit Jean de Leyde, tailleur d'habits, épouse dix-sept femmes dans une assemblée du peuple. III. 453. — Il saisit le té

-

-

méraire qui blâme cette excessive polygamie, et lui fait couper la tête, même page. Ses folies et ses atrocités. 435, et suiv. BELLAY-LANGEY (Guillaume du), négociateur habile et infatigable, ne cesse de courir en Angleterre, en France, en Allemagne. II. 422.

Il redemande au duc de Bavière les cent mille écus que le roi avoit consignés entre ses mains. 491.-Il commande la campagne du Piémont, en qualité de gouverneur. III. 137. — Malgré une inégalité de forces, il rend la fortune à-peu-près égale, même page. — Sa mort. 143. - Son éloge, méme page. — Un plus beau est celui qu'en fit l'empereur. 144.

BELLAY (Martin du) voit sa compagnie taillée en pièces, et est luimême accablé sous un monceau de morts. III. 24. — Il fait pendre le gouverneur d'un des châteaux du Montferrat. 144. — Stratagème dont il use. 147. BERNARD (le P.), gardien des cordeliers de Genève, préside une thèse publique, sur le calvinisme, se marie ensuite, et vole son couvent pour assigner un douaire à sa femme. IV. 17.

BERQUIN, gentilhomme du pays d'Artois, apprend d'Érasme à détester les moines, et à mépriser la scholastique. III. 548. — La faculté de théologie fait l'examen de ses papiers, et condamne plusieurs de ses livres, mais le roi le fait remettre en liberté. 349. — On reprend son procès; il est condamné à faire abjuration en place de Grève, à avoir la langue percée d'un fer chaud, et à être enfermé le reste de ses jours. 558.

BICOQUE. Combat de la Bicoque. I. 446, et suiv. BONNIVET, élevé auprès du roi d'Angleterre, dut sa fortune aux graces de sa figure, et aux agréments de son esprit. I. 251.-Il est nommé à l'ambassade extraordinaire d'Angleterre, pour la restitution de Tournay. 252. Il est envoyé par François I, pour négocier auprès des électeurs. 272. A la proclamation de Charles-Quint, il s'enfuit plein de honte à Coblentz. 303.—Avec quelques vertus, il a fait beaucoup de fautes. 351. - Présomptueux, il promet de prendre Saint-Sébastien. 360.—Il remplace le maréchal de Lautrec dans le Milanez. II. 60.-Ne pouvant surprendre Milan, il se propose de l'affamer. 64. N'ayant pu y réussir, il se retire au-delà de Tésin. 66. Sa conduite n'est pas aussi repréhensible que beaucoup d'historiens la représentent. 91. — Il est bien accueilli du roi, à son retour du Milanez. 93. — A la bataille de Pavie, il s'éance sur le bataillon des Lansquenets, et y trouve la mort. 147

-

« PreviousContinue »