on croire? ›fut-il écouté ? à qui parlez-vous de ces chofes ? qui a eu plus de part que Cele à toutes ces intrigues de la Cour? & fi cela n'êtott ainfi, s'il ne l'avoit du moins ou revé ou imag né fongeroit-il à vous le faire croйe urb aspimportant & misterieux d'un homme revena d'une ambaffade? AWOJETOSTÍ ub srisch sl Menippe eft: l'oifeau paré de divers pluma ges qui ne font pas à lui il ne parle pas, il ne fent pas il repete dos fentimens &des difcours, fofert-même naturellement de l'efprit des autres) qu'il y eft te premier trompé, & qu'il crois fous Vent dire fon goût ou expliquer fa penfee, lors qwibn Eft que l'écho de quelqu'un qu'il vient de quitter left un homme qui eft de mife un quare Éheure de fuire yqui le moment d'aprés blaisep égeneres perd le peu de luftre qu'un peu de mes moire lui donnoit, & montre la cordeg lui feub ignore combien il oft au deffus du fublime & de l'heroïques & incapable de favoin jusqu'où l'on peut avoir de l'efprit, il croit naïvement que ce qu'il en3aft hourice e que les hommes en fau roient avoir; auffi a-t'il l'air & le maintien de celui qui n'a rien à defirer fur ce chapirte,& quis nb porte envie à perfonnet il fe parle fouventud før même, & il ne s'en cache pas ceux qui pafr fanble wiend,quifemble toujours prendre't uh partition decider qu'une telle chofe eft fans replique fi vous le faluez quelquefois d'efter jener dans l'embarras de favoir s'il doit rendien lefalu ou non,& pendant qu'öldélibere, vous édéja hors de portée farvanité la fait konnêtel homme zuba missau deffus de lui-mémes Kar fairdewamiricou qu'il n'étoit pas d'on juge enle volants puikaleftiesupe queue ofa perfonden qu'il faique toushbied.bien, & que fa parure, claffarcial; qu'il crainsquebrous, les yeux font ouverts fur lui, & que les hommes fe relaient pour Te contempleofilms blot vis Celui quobethez for dans un Palais avet deux apartemens pour les deux faifons, vient coucher au Louvre dans un entrefoluen ufe pas ainfi par modefties Cer autre qui pour "conferver une taille fine's abtient diving&he fait qu'un feul repas, n'eft ni fobre impefobreiwemperant & d'un troisième qui hiportune d'un ami pauvre, lui donné enfuir quelque secours } lifan dequ'il acheté fon repos, & allerhentug'i æft "liberal. Le motif feul fait le merite dessa@ions. des hommes, & le défintereffement y met la perfection! V In 1972 61.107) £ La fauffe grandeur eft farouchy &inarcollible; comme elle fent fon foible, elle fe cachesbu du moins ne fe montre pas de front, & ne fe fait voir qu'autant qu'il faut pour impofer & ne paroitre point ce qu'elle eft, je veux dire une vraie petiteffe. La veritable grandeur eft libre, douce, familiere, populaire; elle fe laiffe toucher & manier, elle ne perd rien etre vue de prés, plus on la connoit, plus on l'admire; elle fe courbe par bonté vers fes inferieurs, & revient fans éfort dans fon naturel; elle s'abandonne quelquefois, fe neglige, fe relâche de fes avantages, toujours en pouvoir de les reprendre,& de les faire valoir; elle rit, jouë & badine, mais avec dignité; on T'aproche tout enfemble avec liberté & avec retenuë: fon caractere eft noble & facile, infpire le refpe&t & la confiance, & fait que les Princes nous paroiffent grands & tres-grands, fans nous faire fentir que nous fommes petits Le fage guerit de l'ambition par l'ambition même; il tend à de fi grandes chofes, qu'il ne peut fe borner à ce qu'on apelle des trefors, des poftes, la fortune & la faveur; il ne voit rien זי 1 dans de fi foibles avantages, qui foit allez bon & affez folide pour remplir fon cour, & pour meriter fos foins & fes defirs, il a même befoin d'é->forts pour ne les pas trop dédaigner le feul bien capable de le senter eft cette forte de gloire qui devroit naître, de la vertu toute pure & toute fimple, mais les hommes ne l'acordent guères, & is'en paffe. 26 ་ In's Fu Celui-là eft bon qui fait du bien aux autres ; notil foufre pour le bien qu'il fait, il est tres-bon; Asit foufre de ceux à qui il a fait ce bien, il a une endi grande bonté, qu'elle ne peut être augmentée 1quel dans plenas nu fes foufrances viendroient a croître; & s'il en meurt, fa vertu ne fau-iralles plus loin, elle eft heroïque, elle eft, párfaida stolta sidio rot in ammo · ald tists) ༡ , ?^” Esthommes & les femmes caivionniène.rar dment for le merite d'une forme odeurs into sets font trop difusenac les femmes aròforplaic fent point les unes ongi auicts par les mêmes Agrémens oquc Has plaifest aux hommeske mamisqes qui albument dansetracoles grandes paffions, forment entr'elles l'averfion.sain pathiado el einqsh 29mmet asb 1998) 10£t il 29 Lby a dans quelques fermès amesgrandeur artificielles atachéerailingskemadan yapa wilairsdestêteaux faporis de amarcbt,&qune paplus loin fptiblogo1qqiah pofe, & quedion n'eftime que patou qu'il pasaprofondinky a dans quelquesnaberesilind grandeur fimple, naturelle, indépendant dugofq &da la démarche qui a fa fourcadadslocat &qui oft comme une fuite de deurhauto oqisfan's sue merite paisible mais folide scompagné dó mille mercus qu'elles ne prayed chaoodq que leur modeftie, qui échapent, & quigemoni monadeur qui ont des yeux estuoto L 29 Jaivu fouhaiter d'être fille&unel bille fidia.depuis treize ans jufques à vingt-deuxsc aptésser âge de devenir hommest ob v'up -ofg Qualques jeunes perfonnesteziconboiffend poids affez les avantages une heureust natsites combien il leuk fdroit utile de soy abandonasits desaforbliffent veesi dans du Giafrases &i& fagilea par des manieros afectées just span wang mauvaife.imitation deur fondes voix leu madhu font empruntéess alles ebmpoLong alleop fę › racherabentanegatdentɔlkans un miroir ft elles s'éloignent aflez de leur nathe staff peine qu'elles plaffent moins. ¶ Chez esfumes de parere farder n'eft pas, je l'avoue, parler contre fa penfée; c'eft plusauffnquer horaxeftitlement &ta mafcarade, odal'on ne fadonne point pour ce que l'on pigiorêtez mais bill on penfe feulement à fe cacher & àsfe?faire ignorent c'eft chercher à shipferamus vouloir papoirre felon merieur donne kasveti sérgnulélt "une efpece de Il faut juger des femmes depuis la chauffure jusqu'a woëfore exclusivement à pou prés comme antmefimo le poiffon enave queuè & cê ta saqusi des femmes veulent feulementêtre belles à deurspprophesyeux & ferplaire à la mêmes, elles pewpeno faqs doute dans la maniere de s'eme bellir dans le choix des ajustemens & de la parare fuinch leur goût & leur caprice mais f dofb aake hommes qu'elles defirent de plaise, fi caftipoameda qules fe fardenmounqu'elles septuminen bj'ai recueilli des voix & je leur phonance de la part de tous les hommes,il an de la plus grande partie que le blanc&tle>\raugs les rend afreufes &x dégoutantes ypque le rongo fdald les vieilliol& les déguifels qu'ils haïtient autantià les voir avec de la cerufe fur la vbfaged qu'avec de fauffes dents en laburge des boules decire dans les machoires mutils prowften ferieusement contres cours Parcifide dung elles wient is portfelrundrelaides;li&que bien Bin d'entrepondrendevant Dieu, be compaire qu'ib Husait refervée derniers infaillible moienbdenguerie des femmes.vom Si les femmes étoienzelles naturellement quielles le ́dexionnent pas artifice, qu'elles per |