| Charles Darwin - Evolution - 1873 - 496 pages
...des conditions identiques à celles des abeilles, il n'e;t pas douteux que nos femelles non mariées, de même que les abeilles ouvrières» considéreraient...fécondes, sans que personne songeât à intervenir. Néanmoins, il me semble que, dans le cas que nous supposons, l'abeille, ou tout autre animal sociable,... | |
| Jean-Marie Guyau - Ethics - 1879 - 450 pages
...conditions de vie des abeilles : il n'est pas « douteux que nos femelles non mariées, à l'instar des « abeilles ouvrières, considéreraient comme un devoir...« sacré de tuer leurs frères, et que les mères cherche« raient à détruire leurs filles fécondes, sans que personne « y trouvât à redire. »... | |
| Yves Guyot - Ethics - 1883 - 392 pages
...des conditions identiques à celles des abeilles, il n'est pas douteux que nos femelles non mariées, de même que les abeilles ouvrières, considéreraient...fécondes, sans que personne songeât à intervenir. » Dans Richard III, de Shakespeare, quand les meurtriers vont assassiner le duc de Clarence, le Second... | |
| Jean-Marie Guyau - Ethics - 1885 - 514 pages
...conditions de vie des abeilles : il n'est pas douteux que nos femelles non mariées, à l'instar des abeilles ouvrières, considéreraient comme un devoir sacré de tuer leurs frères, et que les mères tenteraient de détruire leurs filles fécondes , sans que personne y trouvât à redire ' . » i.... | |
| France - 1898 - 976 pages
...différentes. Si, par exemple, pour prendre un cas extrême, les hommes se reproduisaient dans des coiiditions identiques à celles des abeilles, il n'est pas douteux...à intervenir. » Ce passage de la Descendance de l Homme souleva les plus vives protestations. Un critique assura que si l'on admettait généralement... | |
| O. Habert - Ethics - 1923 - 332 pages
...conditions de vie des abeilles : il n'est pas douteux que nos femelles non mariées, à l'instar des abeilles ouvrières, considéreraient comme un devoir...détruire leurs filles fécondes, sans que personne y trouvât à redire. » (Cf : La Descendance de l'Homme, trad. Barbier, p. 105). On ne saurait désirer... | |
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