Œuvres complètes de Marmontel, Volume 2Verdière, 1818 |
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allait assemblée assez aurait avaient Bastille Bélisaire blée bonté Brienne c'était Calonne caractère catholicisme citoyens clergé cœur comité des électeurs conseil consentement crime croyait culte déclaration décret déja délibération demander députés despotisme devait dis-je dit-il donner électeurs enfants ennemis esprits états états-généraux eût Évreux factieux fallait femme finances Flesselles force foule Fourqueux fût garde des sceaux hommes ibid j'avais jamais l'abbé Maury l'Académie l'assem l'assemblée nationale l'auteur l'autre l'avait l'État l'Hôtel-de-Ville l'ordre laisser Lamoignon législation liberté lit de justice LIVRE lois Louis XVI lui-même madame de Séran madame Geoffrin mademoiselle Clairon malheur Marmontel Maurepas Mémoires menace ment ministre Mirabeau n'avait n'en n'était nation Necker noblesse ordres Palais-Royal parlement passer pensée peuple Piccini pouvait prince public publique qu'un raison républicaine résolution rien royaume s'était sang sentiments serait seul sire sur-tout sûreté systême tête tion Tolendal troupes Turgot venait Versailles voix voulait voulu
Popular passages
Page 318 - C'est moi jusqu'à présent qui fais tout pour le bonheur de mes peuples, et il est rare peut-être que l'unique ambition d'un souverain soit d'obtenir de ses sujets qu'ils s'entendent enfin pour accepter ses bienfaits.
Page 195 - ... le sérieux par la plaisanterie , en expédients pour se tirer d'un pas difficile et glissant ; un œil de lynx pour saisir le faible ou le ridicule des hommes; un art imperceptible pour les attirer dans le...
Page 348 - Il est nécessaire que je fasse usage des moyens qui sont en ma puissance pour remettre et maintenir l'ordre dans la capitale et dans les environs; c'est un de mes principaux devoirs de veiller à la sûreté publique.
Page 97 - Je le donne à Vénus puisqu'elle est toujours belle; II redouble trop mes ennuis : Je ne saurais me voir dans ce miroir fidèle Ni telle que j'étais, ni telle que je suis.
Page 318 - Vous venez , Messieurs , d'entendre le résultat de mes dispositions et de mes vues ; elles sont conformes au vif désir que j'ai d'opérer le bien public ; et si , par une fatalité loin de ma pensée, vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, seul , je ferai le bien de mes peuples ; seul , je me considérerai comme leur véritable représentant...
Page 343 - ... cruel, implacable? Avez-vous abusé de la justice? Le peuple vous impute-t-il ses malheurs? Vous nomme-t-il dans ses calamités ? Ont-ils pu vous dire que le peuple est impatient de votre joug, qu'il est las du sceptre des Bourbons? Non...
Page 378 - Messieurs, je vous ai assemblés pour vous consulter sur les affaires les plus importantes de l'État. Il n'en est pas de plus instante, et qui affecte plus sensiblement mon cœur, que les désordres affreux qui régnent dans la capitale. Le chef de la...
Page 345 - Le danger est pour les troupes. Des soldats Français, approchés du centre des discussions, participant aux passions comme aux intérêts du peuple, peuvent oublier qu'un engagement les a faits soldats, pour se souvenir que la nature les fit hommes.
Page 344 - Mais ce mot était un mot de paix ; il était l'expression de votre cœur, et vos sujets se font gloire de n'y résister jamais. Qu'il est beau d'exercer cet empire ! C'est celui de Louis IX, de Louis XII , de Henri IV ; c'est le seul qui soit digne de vous. a Nous vous tromperions, Sire, si nous n'ajoutions pas, forcés par les circonstances : cet empire est le seul qu'il soit aujourd'hui possible en France d'exercer.
Page 343 - Nous chérissons notre roi; nous bénissons le ciel du don qu'il nous a fait dans son amour. « Sire, la religion de votre majesté ne peut être surprise que sous le prétexte du bien public. « Si ceux qui ont donné ces conseils à notre...