Répertoire général du Théâtre Français: composé des tragédies, comédies et drames des auteurs du premier et du second ordre, restés au Théâtre Français; avec une table générale ...Mme veuve Dabo, 1822 - French drama |
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Page 16
... malheureux ! tu me perds . ( Ils se cachent . ) SCÈNE III . BARTHOLO , ROSINE . ( La jalousie du premier étage s'ouvre , et Bartholo et Rosine se mettent à la fenêtre . ) ROSINE . COMME le grand air fait plaisir à respirer ! Cette ...
... malheureux ! tu me perds . ( Ils se cachent . ) SCÈNE III . BARTHOLO , ROSINE . ( La jalousie du premier étage s'ouvre , et Bartholo et Rosine se mettent à la fenêtre . ) ROSINE . COMME le grand air fait plaisir à respirer ! Cette ...
Page 68
... moi . Lisez - la . BARTHOLO . Cet honnête procédé dissiperoit mes soupçons , si j'étois assez malheureux pour en conserver . ROSINE . Lisez - la donc , monsieur . BARTHOLO se retire . A Dien ne plaise que je 68 LE BARBIER DE SEVILLE .
... moi . Lisez - la . BARTHOLO . Cet honnête procédé dissiperoit mes soupçons , si j'étois assez malheureux pour en conserver . ROSINE . Lisez - la donc , monsieur . BARTHOLO se retire . A Dien ne plaise que je 68 LE BARBIER DE SEVILLE .
Page 86
... malheureux qui bâille et dort tout éveillé ? et à l'autre qui , depuis trois heures , éternue à se faire sauter le crâne et jaillir la cer- velle ! que leur direz - vous ? FIGARO . Ce que je leur dirai ? Oui . BARTHOLO . FIGARO . Je ...
... malheureux qui bâille et dort tout éveillé ? et à l'autre qui , depuis trois heures , éternue à se faire sauter le crâne et jaillir la cer- velle ! que leur direz - vous ? FIGARO . Ce que je leur dirai ? Oui . BARTHOLO . FIGARO . Je ...
Page 115
... malheureux ! sans fortune , sans naissance ! .... ROSINE . La naissance , la fortune ! Laissons là les jeux du hasard , et si vous m'assurez que vos intentions sont pures ... LE COMTE , à ses pieds . Ah ! Rosine , je vous adore . ROSINE ...
... malheureux ! sans fortune , sans naissance ! .... ROSINE . La naissance , la fortune ! Laissons là les jeux du hasard , et si vous m'assurez que vos intentions sont pures ... LE COMTE , à ses pieds . Ah ! Rosine , je vous adore . ROSINE ...
Page 116
... malheureux !! ... vous osez profaner ! ... tu m'adores ! ... Va ! tu n'es plus dangereux pour moi ; j'attendois ce mot pour te détester . Mais , avant de t'abandonner au remords qui t'attend , ( en pleurant ) apprends que je t'aimois ...
... malheureux !! ... vous osez profaner ! ... tu m'adores ! ... Va ! tu n'es plus dangereux pour moi ; j'attendois ce mot pour te détester . Mais , avant de t'abandonner au remords qui t'attend , ( en pleurant ) apprends que je t'aimois ...
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Common terms and phrases
ACTE Adieu Allons Alonzo amour ANTONIO assez avez avoit baise BARBIER DE SÉVILLE BARTHOLO BEAUMARCHAIS billet bras BRID'OISON c'étoit cabinet CAROLINE chante chapeau charmant château cher Auguste Chérubin chose clavecin cœur colère Comédies comte Almaviva COMTESSE connoissez COUPLET dames Dezède diable docteur don Bazile DOUBLE-MAIN écoute enfant épingle Est-ce êtes étoit FANCHETTE fauteuil femme FIGARO fille fripon genoux GRIPE-SOLEIL habit homme j'ai j'avois j'en j'étois jalousie jeune jolie l'ai l'air l'épouserai L'HÔTE L'HÔTESSE l'instant lettre Lindor LISBETH m'en madame main malheureux MARCELINE mariage MARIAGE DE FIGARO marroniers matin messieurs monseigneur monsieur le comte montrant OISON papier pardon parler pauvre PÉDRILLE personne PHLIPS plaisir poche porte du fond prend Qu'est-ce raison regarde riant rien ROSINE ruban s'il sais SCÈNE VIII SCÈNE XI seigneur seroit seul Sire sort SUZANNE Suzon Théâtre THÉODORE vais valets veste veux voilà vois voudrois voulez-vous yeux
Popular passages
Page 44 - Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés. Croyez qu'il n'ya pas de plate méchanceté, pas d'horreurs, pas de conte absurde, qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville, en s'y prenant bien...
Page 304 - Parce que vous êtes un grand Seigneur, vous vous croyez un grand génie !... noblesse, fortune, un rang, des places; tout cela rend si fier ! Qu'avez- vous fait pour tant de biens ? vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus.
Page 306 - ... pourvu que je ne parle en mes écrits ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de 15 l'Opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs.
Page 305 - Barca, de Tripoli, de Tunis, d'Alger et de Maroc; et voilà ma comédie flambée, pour plaire aux princes mahométans, dont pas un, je crois, ne sait lire, et qui nous meurtrissent l'omoplate, en nous disant : Chiens de chrétiens ! — Ne pouvant avilir l'esprit, on se venge en le maltraitant.
Page 13 - Je me crus trop heureux d'en être oublié, persuadé qu'un grand nous fait assez de bien quand il ne nous fait pas de mal.
Page 306 - Il ne me restait plus qu'à voler; je me fais banquier de pharaon: alors, bonnes gens! je soupe en ville, et les personnes dites, comme, il faut, m'ouvrent poliment leur maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit.
Page 237 - ... de ses forces ; avoir souvent pour grand secret de cacher qu'il n'y en a point; s'enfermer pour tailler des plumes, et paraître profond quand on n'est, comme on dit, que vide et creux ; jouer bien ou mal un personnage ; répandre des espions et pensionner des traîtres ; amollir des cachets, intercepter des lettres, et tâcher d'ennoblir la pauvreté des moyens par l'importance des objets : voilà toute la politique, ou je meure ! LE COMTE.
Page 305 - Las de nourrir un obscur pensionnaire, on me met un jour dans la rue; et, comme il faut dîner; quoiqu'on ne soit plus en prison, je taille encore ma plume, et demande à chacun de quoi il est question; on me dit que pendant ma retraite économique, il s'est établi dans Madrid un système de liberté sur la vente des productions, qui s'étend même à celles de la presse; et que, pourvu que je ne parle en...
Page 307 - On se débat, c'est vous, c'est lui, c'est moi, c'est toi, non, ce n'est pas nous; eh! mais qui donc? (Il retombe assis.) O bizarre suite d'événements ! Comment cela m'est-il arrivé ? Pourquoi ces choses et non pas d'autres? Qui les a fixées sur ma tête? Forcé de parcourir la route où je suis entré...
Page 304 - Est-il rien de plus bizarre que ma destinée? Fils de je ne sais pas qui, volé par des bandits, élevé dans leurs mœurs, je m'en dégoûte et veux courir une carrière honnête; et partout je suis repoussé...