Fleurs Du Parnasse Français: Or, Elegant Extracts from the Most Approved Productions of the Best French Poets ... |
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Page 14
... port , allant à l'Amérique ; L'autre , afin de monter aux grandes dignités Dans les emplois de Mars servant la république , Par un coup imprévu vit ses jours emportés ; Le troisième tomba d'un arbre Que lui - même il voulut enter : Et ...
... port , allant à l'Amérique ; L'autre , afin de monter aux grandes dignités Dans les emplois de Mars servant la république , Par un coup imprévu vit ses jours emportés ; Le troisième tomba d'un arbre Que lui - même il voulut enter : Et ...
Page 29
... port . rock Ne sens - tu rien ici dont tressaille ton âme ?! Rien qui borne tes pas d'un cercle impérieux ? Sur l'asile qui te réclame , Ne lis - tu pas tor nom en mots mystérieux ? ' Ephémère histrion qui sait son rôle à peine , Chaque ...
... port . rock Ne sens - tu rien ici dont tressaille ton âme ?! Rien qui borne tes pas d'un cercle impérieux ? Sur l'asile qui te réclame , Ne lis - tu pas tor nom en mots mystérieux ? ' Ephémère histrion qui sait son rôle à peine , Chaque ...
Page 38
... port on va choisir Un asile où , coulant des jours dignes d'envie , Nos bons amis , libres , heureux , Aimèrent d'autant plus la vie , Qu'ils se la devaient tous deux . Le Rossignol et le Prince . UN jeune prince avec son gouverneur Se ...
... port on va choisir Un asile où , coulant des jours dignes d'envie , Nos bons amis , libres , heureux , Aimèrent d'autant plus la vie , Qu'ils se la devaient tous deux . Le Rossignol et le Prince . UN jeune prince avec son gouverneur Se ...
Page 56
... port ! France adorée ! Douce contrée ! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir . Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés où je reviens mourir . Mais enfin le matelot crie : Terre , terre , là - bas , voyez ! Ah ! tous mes ...
... port ! France adorée ! Douce contrée ! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir . Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés où je reviens mourir . Mais enfin le matelot crie : Terre , terre , là - bas , voyez ! Ah ! tous mes ...
Page 57
... port . Dans cette barque où l'on se presse Hâtons - nous d'atteindre le bord . France adorée ! Douce contrée ! Puissent tes fils te revoir ainsi tous ! Enfin j'arrive , Et sur la rive Je rends au ciel , je rends grâce à genoux . Je t ...
... port . Dans cette barque où l'on se presse Hâtons - nous d'atteindre le bord . France adorée ! Douce contrée ! Puissent tes fils te revoir ainsi tous ! Enfin j'arrive , Et sur la rive Je rends au ciel , je rends grâce à genoux . Je t ...
Common terms and phrases
aime âme amis amour aquilons astre autans autels Baucis beau beauté bonheur bords bras brillant bruit Burrhus Calchas Cérès chantait CHARLES PICOT charmes Châteaux en Espagne chêne cher chercher ciel cieux Cinna cœur cruelle déserts Dieu dieux divin douce douleurs doux effrayés encens enfants enfin feux fils flambeau fleurs flots front fureur gens gloire hameau Hélas héros heureux j'ai jamais Japet jeune jour Jupiter l'amour l'aurore l'ombre l'onde l'univers laisse lapin loin main malheureux mère monde mort mort la mort mortels mourir Néron nuit obscure ombre orgues de Barbarie pâle partout passer pauvre peine père peuple Philémon Philémon et Baucis pieds plaisir pleurs printemps qu'un regard rien rivage rois Rome sage sainte sainte alliance sang sanglant sarcelle Seigneur seul soins soir soleil sommeil sort souffle tantôt temple terre tombe tombeau tour tremblante trépas triomphe triste trône vent vertu veux voilà vois voit voix yeux zéphyr
Popular passages
Page 212 - Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.s Les leurs ne lisaient point, mais elles vivaient bien...
Page 9 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du venu La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 213 - Mes gens à la science aspirent pour vous plaire, Et tous ne font rien moins que ce qu'ils ont à faire ; Raisonner est l'emploi de toute ma maison, Et le raisonnement en bannit la raison.
Page 168 - LE SAVETIER ET LE FINANCIER. Un savetier chantait du matin jusqu'au soir: C'était merveille de le voir, Merveille de l'ouïr; il faisait des passages, Plus content qu'aucun des sept sages. Son voisin, au contraire, étant tout cousu d'or, Chantait peu, dormait moins encor: C'était un homme de finance.
Page 234 - Ciel ! à qui voulez-vous désormais que je fie Les secrets de mon âme et le soin de ma vie ? Reprenez le pouvoir que vous m'avez commis, Si, donnant des sujets, il ôte les amis ; Si tel est le destin des grandeurs souveraines, Que leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haine» Et si votre rigueur les condamne à chérir Ceux que vous animez à les faire périr.
Page 246 - D'un œil aussi content, d'un cœur aussi soumis, Que j'acceptais l'époux que vous m'aviez promis, Je saurai, s'il le faut, victime obéissante, Tendre au fer de Calchas une tête innocente, Et, respectant le coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le sang que vous m'avez donné.
Page 218 - J'observe, comme vous, cent choses tous les jours, Qui pourraient mieux aller, prenant un autre cours...
Page 237 - Et tu sais que, depuis, à chaque occasion Je suis tombé pour toi dans la profusion ; Toutes les dignités que tu m'as demandées, Je te les ai sur l'heure et sans peine accordées ; Je t'ai préféré même à ceux dont les parents Ont jadis dans mon camp tenu les premiers rangs ; A ceux qui de leur sang m'ont acheté l'empire...
Page 10 - Travaillez, prenez de la peine : C'est le fonds qui manque le moins." UN riche laboureur, sentant sa mort prochaine, Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins. " Gardez-vous," leur dit-il, " de vendre l'héritage Que nous ont laissé nos parents : Un trésor est caché dedans.
Page 92 - N'ESPÉRONS plus, mon âme, aux promesses du monde ; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Q,ue toujours quelque vent empêche de calmer.