Relations des ambassadeurs Vénitiens sur Charles-Quint et Philippe II, Volume 2 |
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affaires alcuna altra altri altro ambasciatori anco ancora animo anni Antonio Perez anzi appresso assai atto Badoaro Bruxelles buona capitaine cardinal Carlo Charles-Quint choses ciò clarissimo complexion comte conseil consiglio Contarini corte cose d'Autriche d'Espagne d'État d'Italie diplomatie vénitienne don Antonio don Giovanni don Juan don Juan d'Autriche duc d'Albe écus Espagnols essendo esser fanno fare fatta fatto figliuolo Filippo Flandre Francia François Ier giorno governo gran grandezza Granvelle guerre habbia havendo Historia Ibid Imperatore l'altra l'ambassadeur l'anno l'Empereur l'Imperatore Madrid Maestà maggior Michel Suriano ministres modo molti molto mondo negotii ogni padre paese pape Pays-Bas perchè personne Philippe poco popoli prince principe può quale quei regina regno reine relation Relazioni République royaume Ruy Gomez scudi Sébastien de l'Aubespine sebene seigneurs sempre sénat Serenità signor solo Spagna Spagnuoli spese St-Germain Stati stato tempo tenuto Tiepolo tion Tolède tutte tutto Venise volte vuol
Popular passages
Page 59 - Pays-Bas, il fut chargé de même de la correspondance avec les gouverneurs généraux de ces provinces. (Correspondance de Philippe II sur les affaires des Pays-Bas, t. I, p.
Page xxvii - Espagne, il ne faisait pas. Il n'est plus aussi absolu dans ses opinions que sa nature le portait à l'être. Un jour qu'il causait familièrement avec moi, il me dit qu'il était naturellement entêté. Je voulus l'excuser en lui répliquant: « Sire, être ferme dans une opinion qui est bonne, c'est de la constance, non de l'obstination.
Page 63 - Un des traits qu'on cite de lui est que, lorsqu'on lui apporte des lièvres pris en chasse, ou d'autres animaux semblables, son plaisir est de les voir rôtir vivants. On lui avait fait cadeau d'une tortue de grande espèce : un jour, cet animal le mordit à un doigt; aussitôt il lui arracha la tête avec les dents.
Page 158 - Lettre du 50 juin 1570, ibid., p. 150. poser une telle condition; elle consentit néanmoins à aller demeurer à Gand : ne sachant ni le français ni aucune autre langue que la sienne, elle préféra cette ville flamande...
Page 115 - L'ordre dans lequel ils combattent, la manière dont ils sont armés et la force de leur chevaux leur ont valu ces victoires. Les Français étendent leur front et affaiblissent leurs ailes, parce que chacun veut occuper le premier rang; les Flamands, multipliant leurs files, et grossissant leur corps, assurent par là la force de celui-ci. Dans leur armement est cette différence : que les Flamands sont armés de pied en cap, et que les Français, par bravoure, ne...
Page 65 - Cicéron afin de modérer l'impétuosité de son caractère; mais don Carlos ne veut presque toujours parler que des choses de la guerre et lire que des ouvrages qui s'y rapportent. Si quelqu'un des sujets de son père va lui faire de ces protestations dont on use ordinairement avec les princes, il les reçoit, et, le prenant à part, il le force à jurer, en un...
Page 275 - Négociations, lettres et pièces diverses relatives au règne de François II, publiées par Louis PARIS. — 18/11, i vol. -¥- 47. Relations des ambassadeurs vénitiens sur les affaires de France au xvi" siècle, recueillies et traduites par N.
Page 65 - Il aime à être vêtu avec pompe... Tout en lui dénote qu'il sera d'un orgueil sans égal : car il ne pouvait souffrir de rester longtemps en présence de son père ni de son aïeul, le bonnet à la main. Il est colère autant qu'un jeune homme peut l'être, et obstiné dans ses opinions... Son précepteur s'attache uniquement à lui expliquer les Offices...
Page xxvii - D'où il résulte , selon moi , que , par sa prudence et sa bonne volonté , il a triomphé de ses défauts naturels. Quant à ses intentions, elles me paraissent être excellentes, et tendre surtout à la conservation de la paix (1).
Page 64 - On lui avait fait cadeau d'une tortue de grande espèce : un jour, cet animal le mordit à un doigt; aussitôt il lui arracha la tête avec les dents. Il paraît devoir être très-hardi et extrêmement porté pour les femmes. Quand il se trouve sans argent, il donne à l'insu de la princesse ses chaînes, ses médailles et jusqu'à ses habillements. Il aime à être vêtu avec pompe... Tout en lui dénote qu'il sera d'un orgueil sans égal : car il...