Mérope; La mort de César; Sémiramis; Brutus1822 |
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affreux aime ALBIN Allez âme amour ANTOINE ARONS ARZACE assassin ASSUR autels AZÉMA Babylone bras BRUTUS Capitole CASSIUS Caton César cher Ciel CIMBER citoyen cœur coupable courage courroux craint Cresphonte crime cruel d'horreur desseins destin détestable diadème dieu dieux digne DOLABELLA douleur ÉGISTHE ennemis époux ÉROX esclave EURYCLES fils forfaits frémis funeste fureur genoux gloire grandeur Hélas héros horreur hymen ISMÉNIE j'ai jour l'amour l'état LICTEURS lieux lois Madame main maître malheureux mânes mère MÉROPE MESSALA Messène MITRANE monstre mort mortel NARBAS Ninias Ninus OROÈS OTANE Pardonnez parler patrie père perfide peuple pleurs POLYPHONTE Porsenna porte Quirinale PROCULUS punir reine rois Romains Rome sacré sais sang sauver SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII sceptre secret Seigneur SÉMIRAMIS sénat sénateurs sermens servir seul sort Tarquin temple TITUS tombeau trahir traître tremble triste trône trouble TULLIE tyran vais VALÉRIUS vengeance venger vengeurs vertu veux victime vœux vois voix yeux
Popular passages
Page 53 - Quoi! vos regards sur lui se tournent sans courroux? Vous tremblez à sa vue, et vos yeux s'attendrissent? Vous voulez me cacher les pleurs qui les remplissent?
Page 23 - Ne sont point des mortels dignes de vos mépris : Leur sort les avilit ; mais leur sage constance Fait respecter en eux l'honorable indigence. Sous ses rustiques toits mon père vertueux Fait le bien, suit les lois, et ne craint que les dieux.
Page 114 - Qu'à l'univers surpris cette grande action Soit un objet d'horreur ou d'admiration ; Mon esprit, peu jaloux de vivre en la mémoire, Ne considère point le reproche ou la gloire. Toujours indépendant, et toujours citoyen, Mon devoir me suffit, tout le reste n'est rien.
Page 10 - Ne m'a point préparée à ce comble d'audace. Sujet de mon époux , vous m'osez proposer De trahir sa mémoire et de vous épouser ? Moi , j'irais de mon fils , du seul bien qui me reste . Déchirer avec vous l'héritage funeste?
Page 22 - Cresphonte, ô ciel!... j'ai cru... que j'en rougis de honte! Oui, j'ai cru démêler quelques traits de Cresphonte. Jeux cruels du hasard, en qui me montrez-vous Une si fausse image, et des rapports si doux ? Affreux ressouvenir, quel vain songe m'abuse ! EURYCLÈS. Rejetez donc, madame, un soupçon qui l'accuse; II n'a rien d'un barbare, et rien d'un imposteur.
Page 21 - Il semblait que le dieu, touché de mon hommage, Au-dessus de moi-même élevât mon courage. Deux inconnus armés m'ont abordé soudain, L'un dans la fleur des ans, l'autre vers...
Page 72 - L'autel étincelait des flambeaux d'hyménée; Polyphonte, l'œil fixe, et d'un front inhumain, Présentait à Mérope une odieuse main ; Le prêtre prononçait les. paroles sacrées ; Et la reine, au milieu des femmes éplorées, S'avançant tristement , tremblante entre mes bras . Au lieu de l'hyménée invoquait le trépas ; Le peuple observait tout dans un profond silence. Dans l'enceinte sacrée en ce moment s'avance Un jeune homme , un héros , semblable aux immortels...
Page 52 - Tu vends mon sang à l'hymen de la reine ; Ma vie est peu de chose, et je mourrai sans peine : Mais je suis malheureux , innocent , étranger ; Si le ciel t'a fait roi, c'est pour me protéger. J'ai tué justement un injuste adversaire. Mérope veut ma mort ; je l'excuse, elle est mère : Je bénirai ses coups prêts à tomber sur moi ; Et je n'accuse ici qu'un tyran tel que toi.
Page 103 - S'ils sont tyrans , Brutus , ils sont nos adversaires. Un vrai républicain n'a pour père et pour fils Que la vertu , les dieux , les lois , et son pays.
Page 11 - D'un prix bien différent ce trône est acheté. Le droit de commander n'est plus un avantage Transmis par la nature, ainsi qu'un héritage: C'est le fruit des travaux et du sang répandu; C'est le prix du courage, et je crois qu'il m'est dû.