La comtesse de Charny, Volume 5Michel Lévy frères, 1869 - France |
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... nation , ou une classe d'écoliers ? -- Attendons , dit Hérault de Séchelles ; nous verrons comment se conduiront nos maîtres . ― Huissier , cria Thuriot , vous leur direz , au fur et à mesure qu'ils entreront , qu'il y a dans l ...
... nation , ou une classe d'écoliers ? -- Attendons , dit Hérault de Séchelles ; nous verrons comment se conduiront nos maîtres . ― Huissier , cria Thuriot , vous leur direz , au fur et à mesure qu'ils entreront , qu'il y a dans l ...
Page 16
... nation ; les yeux se levèrent sur les tribunes , et l'on recon- nut que c'était surtout des tribunes réservées aux anciens cons- tituants que ces cris étaient partis . - C'est bien , messieurs , dit Couthon ; demain , on s'occupera de ...
... nation ; les yeux se levèrent sur les tribunes , et l'on recon- nut que c'était surtout des tribunes réservées aux anciens cons- tituants que ces cris étaient partis . - C'est bien , messieurs , dit Couthon ; demain , on s'occupera de ...
Page 41
... nations s'endorment un instant , elles se réveillent enchaînées . Le moins pardonnable des crimes est celui qui a pour but de ramener l'homme à l'esclavage . Si le feu du ciel était au pouvoir des hommes , il faudrait en frappper ceux ...
... nations s'endorment un instant , elles se réveillent enchaînées . Le moins pardonnable des crimes est celui qui a pour but de ramener l'homme à l'esclavage . Si le feu du ciel était au pouvoir des hommes , il faudrait en frappper ceux ...
Page 44
... nation > serait trop injuste , trop cruelle , de trouver mauvais qu'il s'op- > posât constamment à la volonté générale , parce qu'il est difficile » et contre nature de tomber volontairement de si haut . » > » Pénétrés de cette vérité ...
... nation > serait trop injuste , trop cruelle , de trouver mauvais qu'il s'op- > posât constamment à la volonté générale , parce qu'il est difficile » et contre nature de tomber volontairement de si haut . » > » Pénétrés de cette vérité ...
Page 62
... nation . Ne me deman- dez donc pas , à partir d'aujourd'hui , le langage auquel vous ont habitué mes prédécesseurs : je ne saurai parler que selon la liberté et la Constitution ; renfermé dans mes fonctions , je ne vous ferai point ma ...
... nation . Ne me deman- dez donc pas , à partir d'aujourd'hui , le langage auquel vous ont habitué mes prédécesseurs : je ne saurai parler que selon la liberté et la Constitution ; renfermé dans mes fonctions , je ne vous ferai point ma ...
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Common terms and phrases
20 juin allait applaudissements armée avaient avez Avignon Barbaroux Bastille bataillons bonnet rouge bras Brissot bruit c'était Camille Camille Desmoulins camp canon Carrousel Catherine Chabot chambre Charny château chose citoyens cœur Constitution constitutionnels coup cris Danton décret demanda la reine députés devant Dieu dire dit-il Dumouriez ennemis êtes eût faubourg Fayette femme foule garde constitutionnelle garde nationale Gironde Grangeneuve guerre instant j'ai Jacobins jour l'Assemblée l'homme l'hôtel laissa Lescuyer Louis XVI Lucile madame Campan madame Élisabeth madame Roland main Majesté Mandat Marie-Antoinette Marseillais mille hommes ministre monsieur Billot monsieur Gilbert mort municipalité n'avait nation non-seulement passer patrie patriote Pétion peuple piques Pitou pont Neuf porte prêtres reste Révolution Robespierre Roederer Rouget de l'Isle royale royauté s'écria s'était sabre sanction sang Santerre sauver sera serment Servan seulement sire sortit Suisses Suleau terrasse des Feuillants terrible tête Théroigne tribune Tuileries venait Vergniaud veto voilà voix
Popular passages
Page 204 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! Aux armes, citoyens ! formez vos bataillons ! Marchons ! qu'un sang impur abreuve nos sillons ! 1794 M.-J.
Page 204 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides. L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros.
Page 206 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 179 - Si le roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Page 181 - ... la Constitution et l'empire? Non, non, homme que la générosité des Français n'a pu émouvoir, homme que le seul amour du despotisme a pu rendre sensible, vous n'avez pas rempli le vœu de la Constitution ! Elle est peut-être renversée ; mais vous ne recueillerez pas le fruit de votre parjure!
Page 181 - Était-ce nous défendre que d'écarter les projets » tendant à fortifier l'intérieur du royaume, ou de » faire des préparatifs de résistance pour l'époque où » nous serions déjà devenus la proie des tyrans...
Page 116 - L,a vie n'est rien pour l'homme qui estime ses devoirs au-dessus de tout : mais après le bonheur de les avoir remplis , le bien auquel il soit encore sensible est celui de prouver qu'il l'a fait avec fidélité ; et cela même est une obligation pour l'homme public. Le lojuin 1792, Fan If
Page 176 - Serait-il vrai qu'on redoute nos triomphes? Est-ce du sang de l'armée de Coblentz ou du nôtre qu'on est avare? Si le fanatisme des prêtres menace de nous livrer à la fois aux déchirements de la guerre civile et à...
Page 112 - La patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complue d'embellir; c'est un être auquel on a fait des sacrifices , à qui l'on s'attache chaque jour davantage , par les sollicitudes qu'il cause ; qu'on a créé par de grands efforts , qui s'élève au milieu des inquiétudes , et qu'on aime par ce qu'il coûte, autant que par ce qu'on en espère.
Page 202 - campagnes Mugir ces féroces soldats? Ils viennent jusque dans nos bras Egorger nos fils, nos compagnes Aux armes citoyens! Formez vos bataillons! Marchons! Marchons! Qu'un sang impur, Abreuve nos sillons!