Les cent meilleurs poèmes (lyriques) de la langue française |
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... Rêves ambitieux , - 137 80 . 99 " " Les deux Cortèges , · 138 97. Verlaine ( 1844-1896 ) , Mon Rêve familier , 156 98 . " " 99 Colloque sentimental , - 156 99 . " " 99 Green , 157 100. Vicaire ( 1848-1900 ) , Jeunesse , 47. Vigny TABLE .
... Rêves ambitieux , - 137 80 . 99 " " Les deux Cortèges , · 138 97. Verlaine ( 1844-1896 ) , Mon Rêve familier , 156 98 . " " 99 Colloque sentimental , - 156 99 . " " 99 Green , 157 100. Vicaire ( 1848-1900 ) , Jeunesse , 47. Vigny TABLE .
Page 41
... Mais non ! rendue à ton amour , Vois - tu ! je ne perdrais le jour Qu'après l'étreinte du retour . C'est un rêve ! il en faut ainsi Pour traverser un long souci . 38 . C'est mon cœur qui bat : le voici 41 MARCELINE DESBORDES - VALMORE .
... Mais non ! rendue à ton amour , Vois - tu ! je ne perdrais le jour Qu'après l'étreinte du retour . C'est un rêve ! il en faut ainsi Pour traverser un long souci . 38 . C'est mon cœur qui bat : le voici 41 MARCELINE DESBORDES - VALMORE .
Page 42
... rêve , ô mon âme ! C'est une prière de femme , C'est mon souffle en ce triste lieu , C'est le ciel depuis notre adieu : Prends ! car c'est ma croyance en Dieu ! Les Separes . N'ÉCRIS pas ! Je suis triste , et je voudrais m'éteindre ...
... rêve , ô mon âme ! C'est une prière de femme , C'est mon souffle en ce triste lieu , C'est le ciel depuis notre adieu : Prends ! car c'est ma croyance en Dieu ! Les Separes . N'ÉCRIS pas ! Je suis triste , et je voudrais m'éteindre ...
Page 44
... rêve d'or ! “ Fermez ses paupières , Et sur ses prières , De mes jardins pleins de fleurs , Faites glisser les couleurs . “ Ourlez - lui des langes Avec vos doigts d'anges , Et laissez sur son chevet Pleuvoir votre blanc duvet ...
... rêve d'or ! “ Fermez ses paupières , Et sur ses prières , De mes jardins pleins de fleurs , Faites glisser les couleurs . “ Ourlez - lui des langes Avec vos doigts d'anges , Et laissez sur son chevet Pleuvoir votre blanc duvet ...
Page 60
... rêve du matin , Un parfum vague , un bruit lointain , C'est je ne sais quoi d'incertain Que cet empire ; Lieux qu'à peine vient éclairer Un jour qui , sans rien colorer , A chaque instant près d'expirer , Jamais n'expire . Partout cette ...
... rêve du matin , Un parfum vague , un bruit lointain , C'est je ne sais quoi d'incertain Que cet empire ; Lieux qu'à peine vient éclairer Un jour qui , sans rien colorer , A chaque instant près d'expirer , Jamais n'expire . Partout cette ...
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Common terms and phrases
ailes aime âme amour André Chénier Antoine et Cléopâtre Aubépin AUGUSTE DORCHAIN baiser beau beauté belle bleu blonde bois Booz bouche bras brise bruit chants Charles d'Orléans charmant chêne cheveux ciel cieux CLÉMENT MAROT cœur couche Couronnés de thym cueillir deuil Dieu divin dormait douce douleur doux doux visage Elfes joyeux dansent enfant étoiles feuillage flamme fleur flots fontaines forêts FRANÇOIS VILLON frisson front gémit Hélas ici-bas j'ai j'aime jeune jeunesse jour l'âme l'amour l'aurore l'herbe l'heure l'homme l'ombre laisse larmes lauriers sont coupés Leconte de Lisle lèvre Madame du Châtelet main maison morne mort mourir murmure noir nuit oiseaux ombre pâle parfums parle passé pieds plaine pleurs POÈTE prends ton luth printemps qu'un regard rêve rien rose ruisseau seul soir soleil sombre sommeil Sonnet souffle soupirs Souviens-toi terre Théodore de Banville tombe tombeau tremble triste vent veux veux vivre Viens voiles vois voix volupté Voulzie yeux
Popular passages
Page 39 - J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. "Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson ; Et, comme le soleil, de saison en saison Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige -et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin, Je veux achever ma journée.
Page 5 - Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place, Las ! las ! ses beautés laissé choir ! O vraiment marâtre nature, Puisqu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à cette fleur, la vieillesse Fera ternir votre beauté.
Page 16 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer.
Page 145 - C'est pour assouvir Ton moindre désir Qu'ils viennent du bout du monde. — Les soleils couchants Revêtent les champs, Les canaux, la ville entière, D'hyacinthe et d'or ; Le monde s'endort Dans une chaude lumière.
Page 156 - JE fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime et qui m'aime, Et qui n'est chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page 89 - MAINTENANT que Paris, ses pavés et ses marbres, Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux; Maintenant que je suis sous les branches...
Page 29 - Pour vouloir d'un œil sec voir mourir ce qu'on aime ; L'effort en est barbare aux yeux de l'univers, Et c'est brutalité
Page 51 - Un de ses bras pendait de la funèbre couche; L'autre, languissamment replié sur son cœur, Semblait chercher encore et presser sur sa bouche L'image du Sauveur. Ses lèvres s'entr'ouvraient pour l'embrasser encore Mais son âme avait fui dans ce divin baiser, Comme un léger parfum que la flamme dévore Avant de l'embraser. Maintenant tout dormait sur sa bouche glacée, Le souffle se taisait dans son sein endormi, Et sur l'oeil sans regard la paupière affaissée Retombait à demi.
Page 66 - Turpin disait, tenant les saintes amulettes : 'Sire, on voit dans le ciel des nuages de feu; Suspendez votre marche ; il ne faut tenter Dieu. Par monsieur saint Denis, certes ce sont des âmes Qui passent dans les airs sur ces vapeurs de flammes. 'Deux éclairs ont relui, puis deux autres encor.
Page 47 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? 0 lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!