Traité pratique de prononciation française |
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... syllabe inaccentuée , et il n'y a pas de voyelles moyennes ou indécises ; la différence entre les consonnes sourdes et les consonnes sonores est très accusée ; enfin la majorité des phonèmes sont articulés dans la partie antérieure de ...
... syllabe inaccentuée , et il n'y a pas de voyelles moyennes ou indécises ; la différence entre les consonnes sourdes et les consonnes sonores est très accusée ; enfin la majorité des phonèmes sont articulés dans la partie antérieure de ...
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... syllabes ( accentuation binaire ) , ou , ce qui revient souvent au même , à donner un accent à tous les mots , sauf les mots accessoires monosyllabiques . Ils assour- dissent les sonores finales . Leurs sifflantes et chuintan- tes sont ...
... syllabes ( accentuation binaire ) , ou , ce qui revient souvent au même , à donner un accent à tous les mots , sauf les mots accessoires monosyllabiques . Ils assour- dissent les sonores finales . Leurs sifflantes et chuintan- tes sont ...
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... syllabes ne sont plus qu'une sorte de råclement des cordes vocales relå- chées . Les Russes donnent un timbre indécis aux voyelles inaccentuées ou les suppriment tout à fait . Beaucoup , surtout ceux de l'Est , diphtonguent les d en wo ...
... syllabes ne sont plus qu'une sorte de råclement des cordes vocales relå- chées . Les Russes donnent un timbre indécis aux voyelles inaccentuées ou les suppriment tout à fait . Beaucoup , surtout ceux de l'Est , diphtonguent les d en wo ...
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... syllabe accentuée . Toute voyelle accentuée placée devant → final , z final , j final , v final , est longue . Toute voyelle finale ( c'est - à - dire après laquelle aucune LES VOYELLES 13 consonne ne se prononce ) est brève 12 LES ...
... syllabe accentuée . Toute voyelle accentuée placée devant → final , z final , j final , v final , est longue . Toute voyelle finale ( c'est - à - dire après laquelle aucune LES VOYELLES 13 consonne ne se prononce ) est brève 12 LES ...
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... syllabes consécutives ont une tendance à s'assimiler au point de vue du timbre , la première prenant le même timbre que la seconde . Ainsi : été avec é inaccentué fermé , confor- mément à la règle générale , mais étais ( ètè ) avec assi ...
... syllabes consécutives ont une tendance à s'assimiler au point de vue du timbre , la première prenant le même timbre que la seconde . Ainsi : été avec é inaccentué fermé , confor- mément à la règle générale , mais étais ( ètè ) avec assi ...
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Common terms and phrases
accent rythmique articulé assez bref buccale caduc chanté chose commence consonantique consonnes doubles consonnes finales constitue d'articulation d'autres d'intensité d'ordinaire dents désaccentuation descendante deuxième devant consonne devant voyelle DIMANCHE Diphile diphtongue dire DON JUAN don(c éléments rythmiques ell(e enfants exclamatif exemples femme fermé glotte groupe rythmique HARPAGON haut hauteur homme idée simple inaccentué inci incisives inférieures intense Jeanne Jésus Julien l'accent d'insistance l'e caduc l'implosion LABIO-DENTALES langue langue germanique larynx LÉANDRE lèvres liaison mâchoire ment mode d'articulation monosyllabe Monsieur montante mots muscles neu(f nonce note occlusives ouvert palais dur parler passer Paul Paul III phénomène phonétique phrase énonciative phrase interrogative postérieur précède première consonne première syllabe prononce prononcent qu(e ryth SCAPIN sémantique SEMI-VOYELLE serait seul sonore sorte sourdes souvent suivant syllabe syllabe accentuée Tartarin Tartarin de Tarascon tion Titien triphtongue un(e vibration vibrer vin(g)t vocalique voile du palais voix voyelle qui suit voyelles nasales
Popular passages
Page 168 - Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent * tous les empires, à qui seul appartient * la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles 'leçons.
Page 47 - Diphile commence par un oiseau et finit par mille; sa maison n'en est pas égayée, mais empestée : la cour, la salle, l'escalier, le vestibule, les chambres, le cabinet, tout est volière ; ce n'est plus un ramage, c'est un vacarme, les vents d'automne et les eaux dans leurs plus grandes crues...
Page 70 - Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson, Et, comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin ; Je veux achever ma journée.
Page 69 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui. Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui, Je ne veux point mourir encore.
Page 69 - Est-ce à moi de mourir ? Tranquille je m'endors, Et tranquille je veille, et ma veille aux remords Ni mon sommeil ne sont en proie. Ma bienvenue au jour me rit dans tous les yeux ; Sur des fronts abattus, mon aspect dans ces lieux Ranime presque de la joie.
Page 69 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.
Page 42 - Prodiguer les doux noms de parjure et de traître. Vous veniez de mon front observer la pâleur, Pour aller dans ses bras rire de ma douleur. Pleurante après son char vous voulez qu'on me voie...
Page 171 - ... faire la loi aux rois, et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles leçons. Soit qu'il élève les trônes, soit qu'il les abaisse, soit qu'il communique sa puissance aux princes, soit qu'il la retire à lui-même, et ne leur laisse que leur propre faiblesse, il leur apprend leurs devoirs d'une manière souveraine et digne de lui.
Page 156 - De tous les débauchés de la ville du monde Où le libertinage est à meilleur marché, De la plus vieille en vice et de la plus féconde, Je veux dire Paris, — le plus grand débauché Était Jacques Rolla.
Page 175 - A son front orné de deux croissants, à sa barbe antique et limoneuse , vous le prendriez pour le dieu du fleuve, qui jette un œil satisfait sur la grandeur de ses ondes et la sauvage abondance de ses rives.