Traité pratique de prononciation française |
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... souvent au même , à donner un accent à tous les mots , sauf les mots accessoires monosyllabiques . Ils assour- dissent les sonores finales . Leurs sifflantes et chuintan- tes sont trop longues et pas assez violentes . Les Anglais n'ont ...
... souvent au même , à donner un accent à tous les mots , sauf les mots accessoires monosyllabiques . Ils assour- dissent les sonores finales . Leurs sifflantes et chuintan- tes sont trop longues et pas assez violentes . Les Anglais n'ont ...
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... souvent indécis ou moyen . Quand ils veulent le prononcer long , comme leurs muscles insuffisamment tendus ne maintiennent pas les organes en une position fixe , la voyelle a une tendance à se diphtonguer . Les Russes ont grand'peine à ...
... souvent indécis ou moyen . Quand ils veulent le prononcer long , comme leurs muscles insuffisamment tendus ne maintiennent pas les organes en une position fixe , la voyelle a une tendance à se diphtonguer . Les Russes ont grand'peine à ...
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... souvent aussi pòlaire , malgré pôle qui a un o fermé , diplomate avec o ouvert , malgré diplôme auquel on ne le rattache pas . L'o inaccentué est ordinairement fermé devant s inter- vocalique ( z ) : Oseille , groseille , osier , gosier ...
... souvent aussi pòlaire , malgré pôle qui a un o fermé , diplomate avec o ouvert , malgré diplôme auquel on ne le rattache pas . L'o inaccentué est ordinairement fermé devant s inter- vocalique ( z ) : Oseille , groseille , osier , gosier ...
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... Souvent l'i qu'ils émettent est entendu ü par une oreille française , parce qu'il est mal caracté- risé , étant articulé avec les lèvres lâches et sans retrait des commissures ; cf. p . 52. En outre , les Slaves ont coutume de faire ...
... Souvent l'i qu'ils émettent est entendu ü par une oreille française , parce qu'il est mal caracté- risé , étant articulé avec les lèvres lâches et sans retrait des commissures ; cf. p . 52. En outre , les Slaves ont coutume de faire ...
Page 50
... souvent , à la place de l'œ ouvert , une sorte d'a fermé sans tension musculaire . Pour l'e caduc ils ne savent jamais quand il faut et quand il ne faut pas le prononcer ; cf. p . 103 . made ! ethnocentricity ! L'œ FERMÉ On dispose la ...
... souvent , à la place de l'œ ouvert , une sorte d'a fermé sans tension musculaire . Pour l'e caduc ils ne savent jamais quand il faut et quand il ne faut pas le prononcer ; cf. p . 103 . made ! ethnocentricity ! L'œ FERMÉ On dispose la ...
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Common terms and phrases
abaissé accent rythmique alvéoles articulé assez bref buccale C'était à Bologne caduc chanté chose commence consonantique consonnes finales d'articulation d'autres d'intensité d'ordinaire dents désaccentuation descendante deuxième devant consonne devant r devant voyelle DIMANCHE Diphile dire DON JUAN don(c éléments rythmiques ell(e enfants exemples fermé glotte groupe rythmique HARPAGON haut hauteur homme idée simple inaccentué inci incisives inférieures initiale intense Jésus Julien l'accent d'insistance l'e inaccentué l'implosion l'occlusion LABIO-DENTALES langue langue germanique larynx LÉANDRE lèvres liaison mâchoire ment mode d'articulation molaires monosyllabe Monsieur montante mots muscles nonce occlusives ordinaire ouvert palais dur parler passer Paul Paul III phonème phrase énonciative phrase interrogative postérieur première syllabe prononce prononcent qu(e ryth rythme discordant SCAPIN sémantique SEMI-VOYELLE serait seul Slaves sonore sorte souffle sourdes souvent suivant syllabe syllabe accentuée Tartarin Tartarin de Tarascon timbre tion Titien triphtongue un(e veux vibration vibrer vocalique voile du palais voix voyelles nasales
Popular passages
Page 168 - Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent * tous les empires, à qui seul appartient * la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles 'leçons.
Page 47 - Diphile commence par un oiseau et finit par mille; sa maison n'en est pas égayée, mais empestée : la cour, la salle, l'escalier, le vestibule, les chambres, le cabinet, tout est volière ; ce n'est plus un ramage, c'est un vacarme, les vents d'automne et les eaux dans leurs plus grandes crues...
Page 70 - Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson, Et, comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin ; Je veux achever ma journée.
Page 69 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui. Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui, Je ne veux point mourir encore.
Page 69 - Est-ce à moi de mourir ? Tranquille je m'endors, Et tranquille je veille, et ma veille aux remords Ni mon sommeil ne sont en proie. Ma bienvenue au jour me rit dans tous les yeux ; Sur des fronts abattus, mon aspect dans ces lieux Ranime presque de la joie.
Page 69 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.
Page 42 - Prodiguer les doux noms de parjure et de traître. Vous veniez de mon front observer la pâleur, Pour aller dans ses bras rire de ma douleur. Pleurante après son char vous voulez qu'on me voie...
Page 171 - ... faire la loi aux rois, et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles leçons. Soit qu'il élève les trônes, soit qu'il les abaisse, soit qu'il communique sa puissance aux princes, soit qu'il la retire à lui-même, et ne leur laisse que leur propre faiblesse, il leur apprend leurs devoirs d'une manière souveraine et digne de lui.
Page 156 - De tous les débauchés de la ville du monde Où le libertinage est à meilleur marché, De la plus vieille en vice et de la plus féconde, Je veux dire Paris, — le plus grand débauché Était Jacques Rolla.
Page 175 - A son front orné de deux croissants, à sa barbe antique et limoneuse , vous le prendriez pour le dieu du fleuve, qui jette un œil satisfait sur la grandeur de ses ondes et la sauvage abondance de ses rives.