Traité pratique de prononciation française |
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... liaisons d'un groupe rythmique au suivant , ce que le francien n'ad- met plus . Les étrangers ont tous le défaut de chanter faux , c'est - à - dire de donner au français les intonations de leur langue maternelle . Ceux qui sont d ...
... liaisons d'un groupe rythmique au suivant , ce que le francien n'ad- met plus . Les étrangers ont tous le défaut de chanter faux , c'est - à - dire de donner au français les intonations de leur langue maternelle . Ceux qui sont d ...
Page 102
... liaison est mauvaise , mais avec i : une mauvais ( e ) liaison ; avec yod : nous voulions , mais avec i nous racliĵons . En vers la prononciation et le compte des syllabes sont archaïques . Les règles en sont assez complexes , et ce n ...
... liaison est mauvaise , mais avec i : une mauvais ( e ) liaison ; avec yod : nous voulions , mais avec i nous racliĵons . En vers la prononciation et le compte des syllabes sont archaïques . Les règles en sont assez complexes , et ce n ...
Page 127
... , désaccentuation de voix . | Et 5. « Mérite bien » , idée simple au fond , et au besoin désaccentuation . 6. « Qui mit un genou en terre » > , idée simple , = qui s'agenouilla . Les liaisons et l'hiatus . Quand , dans une même.
... , désaccentuation de voix . | Et 5. « Mérite bien » , idée simple au fond , et au besoin désaccentuation . 6. « Qui mit un genou en terre » > , idée simple , = qui s'agenouilla . Les liaisons et l'hiatus . Quand , dans une même.
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... liaison , mais il y a lieu de noter pourtant que la consonne , sans se modifier autrement , change de syllabe et ... liaisons proprement dites , le même change- ment de syllabe se produit , mais en outre les occlusives sonores g et d ...
... liaison , mais il y a lieu de noter pourtant que la consonne , sans se modifier autrement , change de syllabe et ... liaisons proprement dites , le même change- ment de syllabe se produit , mais en outre les occlusives sonores g et d ...
Page 130
... quan ( d ) t elle chante , sou ( s ) z une table , tout en parlant ; 1. Dans « allez vous en » vous n'est pas postposé comme dans « < allez . LOCUTIONS COMPOSÉES mais sans liaison : 131 avons - nou 130 LES LIAISONS ET L'HIATUS.
... quan ( d ) t elle chante , sou ( s ) z une table , tout en parlant ; 1. Dans « allez vous en » vous n'est pas postposé comme dans « < allez . LOCUTIONS COMPOSÉES mais sans liaison : 131 avons - nou 130 LES LIAISONS ET L'HIATUS.
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Common terms and phrases
abaissé accent rythmique alvéoles articulé assez bref buccale C'était à Bologne caduc chanté chose commence consonantique consonnes finales d'articulation d'autres d'intensité d'ordinaire dents désaccentuation descendante deuxième devant consonne devant r devant voyelle DIMANCHE Diphile dire DON JUAN don(c éléments rythmiques ell(e enfants exemples fermé glotte groupe rythmique HARPAGON haut hauteur homme idée simple inaccentué inci incisives inférieures initiale intense Jésus Julien l'accent d'insistance l'e inaccentué l'implosion l'occlusion LABIO-DENTALES langue langue germanique larynx LÉANDRE lèvres liaison mâchoire ment mode d'articulation molaires monosyllabe Monsieur montante mots muscles nonce occlusives ordinaire ouvert palais dur parler passer Paul Paul III phonème phrase énonciative phrase interrogative postérieur première syllabe prononce prononcent qu(e ryth rythme discordant SCAPIN sémantique SEMI-VOYELLE serait seul Slaves sonore sorte souffle sourdes souvent suivant syllabe syllabe accentuée Tartarin Tartarin de Tarascon timbre tion Titien triphtongue un(e veux vibration vibrer vocalique voile du palais voix voyelles nasales
Popular passages
Page 168 - Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent * tous les empires, à qui seul appartient * la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles 'leçons.
Page 47 - Diphile commence par un oiseau et finit par mille; sa maison n'en est pas égayée, mais empestée : la cour, la salle, l'escalier, le vestibule, les chambres, le cabinet, tout est volière ; ce n'est plus un ramage, c'est un vacarme, les vents d'automne et les eaux dans leurs plus grandes crues...
Page 70 - Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson, Et, comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin ; Je veux achever ma journée.
Page 69 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui. Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui, Je ne veux point mourir encore.
Page 69 - Est-ce à moi de mourir ? Tranquille je m'endors, Et tranquille je veille, et ma veille aux remords Ni mon sommeil ne sont en proie. Ma bienvenue au jour me rit dans tous les yeux ; Sur des fronts abattus, mon aspect dans ces lieux Ranime presque de la joie.
Page 69 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.
Page 42 - Prodiguer les doux noms de parjure et de traître. Vous veniez de mon front observer la pâleur, Pour aller dans ses bras rire de ma douleur. Pleurante après son char vous voulez qu'on me voie...
Page 171 - ... faire la loi aux rois, et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles leçons. Soit qu'il élève les trônes, soit qu'il les abaisse, soit qu'il communique sa puissance aux princes, soit qu'il la retire à lui-même, et ne leur laisse que leur propre faiblesse, il leur apprend leurs devoirs d'une manière souveraine et digne de lui.
Page 156 - De tous les débauchés de la ville du monde Où le libertinage est à meilleur marché, De la plus vieille en vice et de la plus féconde, Je veux dire Paris, — le plus grand débauché Était Jacques Rolla.
Page 175 - A son front orné de deux croissants, à sa barbe antique et limoneuse , vous le prendriez pour le dieu du fleuve, qui jette un œil satisfait sur la grandeur de ses ondes et la sauvage abondance de ses rives.