Les cloches de Saint-AmarainÉmile-Paul frères, 1927 - 277 pages |
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Common terms and phrases
Amarain âme aurait aviateur belle-sœur blessés Boches bonnes sœurs boscotte Bourg-de-Péage camarades Carembourg catéchisme catholique Chamard chambre Chanteraine chapelle chose cloches de Saint-Amarain cœur conversion couvent croyait d'Yves d'Yvonne dames Dieu divorcé dormir Drôme Émile-Louis enfant Enfin envie êtes eût faisait femme fils Flora frère Fritz Stramm grippe guerre heures homme j'ai jeune joie jour l'abbé Mignon l'Église lettre Lirrot madame maisonnette malade maman maréchal Foch Margarett marquise de Rubiac Marthe et Yvonne matin mère messe messieurs Milou Mme de Rubiac Mme la supérieure Mme Malterre Mme Métivant monsieur l'aumônier monsieur Malterre Mouffle n'avait n'est-ce nuit parler Pascal passer pauvre pensait pensionnaires père petite peut-être prêtre Qu'est-ce qu'un qu'Yves réfectoire religieuses religion reste Rhône Richard Strauss rien Rozon rue d'Assas s'était Sacré-Cœur sais semaines semblait sentiments serait seul sœur Saint-Maxence sœur Saint-Trophyme sœur Sainte-Odile soir songeait Tain Tante Yvonne Tréport Valavain Vertheuille victoire vieux voix Yves
Popular passages
Page 135 - Il ya assez de clarté pour éclairer les élus, et assez d'obscurité pour les humilier. Il ya assez d'obscurité pour aveugler les réprouvés, et assez de clarté pour les condamner, et les rendre inexcusables.
Page 180 - Feu. Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob. non des philosophes et des savants.
Page 256 - Vous riez, vous chantez, vous marchez à grands pas, Le ciel et sa beauté, le monde et ses souillures Ne vous dérangent pas ; Mais, lorsque par hasard le destin vous ramène...
Page 121 - Quoy qu'on nous presche, quoy que nous aprenons, il faudroit tousjours se souvenir que c'est l'homme qui donne et l'homme qui reçoit; c'est une mortelle main qui nous le présente, c'est une mortelle main qui l'accepte.
Page 134 - On n'entend rien aux ouvrages de Dieu, si on ne prend pour principe qu'il a voulu aveugler les uns, et éclairer les autres.
Page 121 - J'appelle tousjours raison cette apparence de discours que chacun forge en soy; cette raison, de la condition de laquelle il y en peut avoir cent contraires autour d'un mesme subject, c'est un instrument de plomb et de cire, alongeable, ployable et accommodable à tous biais et à toutes mesures; il ne reste que la suffisance de le sçavoir contourner.
Page 180 - Grandeur de l'âme humaine. Père juste, le monde ne t'a point connu, mais je t'ai connu. Joie, Joie, Joie, pleurs de joie. Je m'en suis séparé. Dereliquerunt me fontem aquae vivae. Mon Dieu, me quitterez-vous ? Que je n'en sois pas séparé éternellement.
Page 122 - ... de la musique n'esveille et ne chatouille ; ny âme si revesche , qui ne se sente touchée de quelque révérence à considérer cette vastité sombre de nos églises, la diversité d'ornements et ordre de nos cerimonies, et ouyr le son devotieux de nos orgues , et l'harmonie si posée et religieuse de nos voix...
Page 121 - ... nous pas de nos yeux, ny ne la recevons par nos moyens : cette sainte et grande image ne pourroit pas en un si chetif domicile, si Dieu pour cet usage ne le prépare, si Dieu ne le reforme et fortifie par sa grâce et faveur particulière et supernaturelle.
Page 122 - Et plus loin, à la page 211 : « 11 n'est cœur si mol que le son de nos tambourins et de nos trompettes n'échauffe, ni si dur que la douceur de la musique n'éveille et ne chatouille : ni âme si...