Théâtre de Beaumarchais: précédé d'une notice sur sa vie et ses ouvragesMichel Lévyfrères, 1863 - 328 pages |
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... bras mollemen ouverts rendent pius expressif et , comme s'il se lassait bientôt de vous plaire , il se relève avec dédain , se dérobe l'oeil qui le suit , et la passion la plus fougueuse semble alo's naitre et sortir de la plus douce ...
... bras mollemen ouverts rendent pius expressif et , comme s'il se lassait bientôt de vous plaire , il se relève avec dédain , se dérobe l'oeil qui le suit , et la passion la plus fougueuse semble alo's naitre et sortir de la plus douce ...
Page 24
... bras , sont pen- dantes par derrière . UN NOTAIRE . UN ALCADE , homme de justice , avec une longue baguette blanche à la main . PLUSIEURS ALGUAZILS et VALETS avec des flambeaux . La scène est à Séville , dans la rue et sous les fenêtres ...
... bras , sont pen- dantes par derrière . UN NOTAIRE . UN ALCADE , homme de justice , avec une longue baguette blanche à la main . PLUSIEURS ALGUAZILS et VALETS avec des flambeaux . La scène est à Séville , dans la rue et sous les fenêtres ...
Page 42
... bras dodus , bouche rosée , et des mains ! des joues ! des dents ! des yeux ! ... .. Qui reste en cette ville ? ROSINE . FIGARO . En ce quartier . ROSINE . Dans cette rue , peut - être ? FIGARO . A deux pas de moi . ROSINE . Ah ! que c ...
... bras dodus , bouche rosée , et des mains ! des joues ! des dents ! des yeux ! ... .. Qui reste en cette ville ? ROSINE . FIGARO . En ce quartier . ROSINE . Dans cette rue , peut - être ? FIGARO . A deux pas de moi . ROSINE . Ah ! que c ...
Page 51
... bras . Je me suis brûlée en chiffon- nant autour de cette bougie ; et l'on m'a toujours dit qu'il fallait aussitôt tremper dans l'encre : c'est ce que j'ai fait . BARTHOLO . C'est ce que vous avez fait ? Voyons donc si un second té ...
... bras . Je me suis brûlée en chiffon- nant autour de cette bougie ; et l'on m'a toujours dit qu'il fallait aussitôt tremper dans l'encre : c'est ce que j'ai fait . BARTHOLO . C'est ce que vous avez fait ? Voyons donc si un second té ...
Page 61
... bras , et dit à part . Quelle rage a - t - on d'apprendre ce qu'on craint toujours de savoir ! Ah ! pauvre Rosine ! ROSINE . BARTHOLO . L'usage des odeurs ... produit ces affections spasmo- diques . ( I lit par derrière le fauteuil en ...
... bras , et dit à part . Quelle rage a - t - on d'apprendre ce qu'on craint toujours de savoir ! Ah ! pauvre Rosine ! ROSINE . BARTHOLO . L'usage des odeurs ... produit ces affections spasmo- diques . ( I lit par derrière le fauteuil en ...
Common terms and phrases
acte amour André-Charles Caron ANTONIO assez avez Barbier de Séville BARTHOLO Beaumarchais belle billet bras BRID'OISON cabinet chanter charmant cher CHERUBIN chose cœur colère comédie comte Almaviva COMTESSE coupable COUPLET Daniel Caron diable Dieu dire docteur don Bazile DOUBLE-MAIN drame enfant épouse époux Est-ce êtes FANCHETTE fauteuil femme fille fille mal élevée fils FLORESTINE fripon gaiement Goëzman GRIPE-SOLEIL homme j'ai j'en jalousie jamais jeune Caron jolie jour juge l'ai l'auteur l'épouserai laisse LÉON lettre Lindor m'en madame madame du Barry Madrid main malheureux MARCELINE Mariage de Figaro mère Mère coupable messieurs Molière monseigneur Monsieur Bégearss monsieur Figaro montre noble notaire papier pardon parler PÉDRILLE père personne pièce plaisir pupille qu'un raison regarde reste riant rien ROSINE ruban rue Saint-Denis s'il sais SCÈNE VII secret seigneur sera seul Silas Deane sort SUZANNE Suzon Tartuffe théâtre tuteur vais valet veut veux voilà vois
Popular passages
Page 212 - Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie !... Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier ! Qu'avez-vous fait pour tant de biens ? Vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus.
Page 36 - D'abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l'orage, pianissimo, murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et •piano, piano, vous le glisse en l'oreille adroitement. Le mal est fait ; il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando...
Page 213 - Est-il rien de plus bizarre que ma destinée ! Fils de je ne sais pas qui, volé par des bandits, élevé dans leurs mœurs , je m'en dégoûte et veux courir une carrière honnête, et partout je suis repoussé ! J'apprends la chimie, la pharmacie, la chirurgie, et tout le crédit d'un grand seigneur peut à peine me mettre à la main une lancette vétérinaire!
Page 213 - ... mis une pierre au cou ! Je broche une comédie dans les mœurs du sérail. Auteur espagnol, Je crois pouvoir y fronder Mahomet sans scrupule : à l'instant un envoyé... de je ne sais où se plaint que j'offense...
Page 213 - ... pourvu que je ne • parle en mes écrits ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'Opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs.
Page 214 - J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à comprendre que pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore.
Page 17 - ... paru dans les meilleures dispositions pour moi. Mais les efforts de la cabale... LE COMTE. Ah! la cabale! monsieur l'auteur tombé. FIGARO. Tout comme un autre: pourquoi pas? Ils m'ont sifflé; mais si jamais je puis les rassembler...
Page 126 - Je ne sais plus ce que je suis; mais depuis quelque temps je sens ma poitrine agitée ; mon cœur palpite au seul aspect d'une femme ; les mots amour et volupté le font tressaillir et le troublent. Enfin le besoin de dire à quelqu'un : « Je vous aime » est devenu pour moi si pressant, que je le dis tout seul, en courant dans le parc, à ta maîtresse, à toi, aux arbres, aux nuages, au vent qui les emporte avec mes paroles perdues.
Page 18 - Sierra-Morena, l'Andalousie ; accueilli dans une ville, emprisonné dans l'autre, et partout supérieur aux événements ; loué par ceux-ci, blâmé par ceux-là ; aidant au bon temps ; supportant le mauvais ; me moquant des sots, bravant les méchants ; riant de ma misère et faisant la barbe à tout le monde...
Page 214 - Je reprends ma trousse et mon cuir anglais; puis, laissant la fumée aux sots qui s'en nourrissent, et la honte au milieu du chemin, comme trop lourde à un piéton, je vais rasant de ville en ville, et je vis enfin sans souci.