Mercure de France au dix-neuvième siècle1772 |
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affez affuré AGAMEMNON ainfi ANGELIQUE arts auffi avoient avoit Beaufange befoin bufte c'eft C'eſt Capulet caufe cher chofe cœur Comédie compofé Comte connoiffance connoître defire deftin Dieu difcours eft mort enfans enfuite eſt étoit fang fans doute fant fcène fciences fecond fecours fein femble fenfible fens fent fera feront fervir feul fiècle fieur fille fociété foins foit fon père font fous fouvent frère fuccès fuis fuivant fuivre fujet GÉRONTE gloire Glouch grace homme intéreffante j'ai jour jufqu'à jufte Juliette l'Abbé l'Académie l'auteur laiffe lettres LISETTE lorfque Majefté malheur ment Mlle Monfieur Montaigu mufique n'eft n'eſt obfervations ouvrage paffer paffions paroît Patrocle perfonnes phyfique Pierre le Cruel plaifir plaifirs pleurs plufieurs pont de Neuilly préfente propofe puiffe raifon Rakitis refpect refte remède réponſe reux Roméo Roméo & Juliette Royale s'eft ſon St Fief St Louis talens tems tion trifte ufage Voltaire
Popular passages
Page 166 - Dont je suis encor tout confus. Les plus beaux moments de ma vie Sont donc ceux que je n'ai point vus! Vous avez orné mon image Des lauriers qui croissent chez vous : Ma gloire, en dépit des jaloux, Fut en tous les temps votre ouvrage.
Page 157 - Galerii française, ou Portraits des hommes et des femmes célèbres qui ont paru en France, gravés en taille-douce par les meilleurs artistes, sous la conduite de M. Restout, avec un abrégé de leur vie, par une société de gens de lettres.
Page 162 - Mc)ins fage que l'autre peut-être, Plus véhément que tous les deux; Le dirai-je? encor plus tragique, Dans cet art profond & magique II a pénétré plus loin qu'eux. O toi, qui, fans doute incrédule A tant de prodiges nouveaux, Diras de lui comme d'Hercule, Un feul n'a point fait ces travaux; Ne divife point ton hommage; Poftérité, fur cette image Fixe tes regards incertains; Vois celui qui,' dans quinze luftres, Egal à vingt hommes illuftres, En a feul rempli les deftins.
Page 100 - Decr. 28 iul. 1738; ю maii 1757. Cerfvol, de. La gamologie ou l'éducation des filles destinées au mariage , ouvrage dans lequel on traite de l'excellence du mariage , de son utilité politique et de sa fin et des causes qui le rendent heureux ou malheureux. Decr. 8 iul. 1782. Cerri, Urbano. An account of...
Page 109 - Mais expliquez , cruels ! l'énigme de ma vie , Ou rendez-moi raison de votre barbarie. Dieu plaça mon berceau dans la poudre des champs ; Je n'en ai point rougi : maître du diadème , De mon dernier sujet j'eusse envié le rang, Et , honteux de devoir quelque chose à mon sang , Voulu renaître obscur, pour m'élevcr mo'.
Page 111 - Oh! combien j'eusse aimé cette beauté naïve, Qui, d'un époux absent pressentant le retour, Rassemble tous les fruits de son fertile amour, Dirige des aînés la marche encor tardive, Et, portant dans ses bras le plus jeune de tous, Vole au bout du sentier par où descend leur. père ! Elle le voit : grand Dieu ! dérobe à ma misère L'aspect de leurs plaisirs dont mon cœur est jaloux.... N'est-ce donc point assez des tourments que j'endure?
Page 58 - C'est l'orgueil offensé qui produit leur courroux. Ces cruels... JULIETTE . Ah ! seigneur , l'excès de votre flamme Sans doute en ce moment vient d'égarer votre âme. Vous suivez la douleur d'un premier mouvement , Erreur trop pardonnable aux transports d'un amant.
Page 163 - Plus véhcment que tous les deux} le dirai- je ? encor plus tragique ,\ Dans cet art profond & magique II a pénétré plus loin qu'eux. O toi , qui, fans doute , incrédule A tant de prodiges nouveaux...
Page 86 - Eh bien je vous en ferai voir à moi feul vingt-cinq mille, & je ne crains pas de vous annoncer qu'il en exifte du moins quatre à cinq fois autant fur la furface de la terre; car...
Page 79 - C'eft toi qui nous as donné cette » miférable chair; reprends-la. » Je me fis violence alors pour ne pas » augmenter leurs peines. Ce jour & le » fuivant nous reftâmes dans un affreux »» filence. Ah terre impitoyable, que ne » t'ouvrais tu fous nos pas ! « Le quatrième jour arrive enfin. Gad...