| François-Xavier Pagès - 1798 - 498 pages
...foudre » qui Ta frappé ; que je fasse crier son sang , M comme celui d'Abel , et que j'expose à vos M yeux les tristes images de la religion et de » la patrie éplorées ». • De la Sustentation.. •j . •».'. . Son objet est de suspendre un développement. Far cette... | |
| Roch Ambroise Sicard - French language - 1801 - 582 pages
...scène tragique; que je représente ce grand homme étendu sur ses propres trophées; que je découye ce corps pâle et sanglant , auprès duquel fume encore la foudre qui l'a frappé; que je fasse criee son sang comme celui d'Abel, et que j'expose, à vos yeux , les tristes images de la Religion... | |
| Charles Batteux - 1802 - 336 pages
...N'attendez pas , Messieurs, que j'ouw vre ici unescene tragique;que jerepré» sente ce grand homme étendu sur ses » propres trophées ; que je découvre ce » corps pâle et sanglant, auprès duquel w fume encore la foudre qui l'a frappé ; » que je fasse crier son sang comme celui » d'Abel, et... | |
| Charles Rollin - Education - 1805 - 684 pages
...étendu sur ses propres trophées, queje.dé~ couvre ce corps pâle et sanglant, auprès duquelfume encore la foudre qui l'a frappé ; que je fasse crier son sang comme celui d'Âbel, et que j'expose à vos yeux les tristes images de la religion et de la patrie SI ï I. Du... | |
| abbé Mozin - 1807 - 660 pages
...ici, Messieurs, que j'ouvre une scène tragique; — que je représente ce grand homme étendu sur sei propres trophées; — que je découvre ce corps pâle...comme celui d'Abel , et que j'expose à vos yeux les images de la religion et de la patrie éplorée. (Fléchier.) SDiefe 4 immer me&t juneßmenben ©lieber... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - Rhetoric - 1809 - 598 pages
...de Fléchier, dans la péroraison de Turenne : « Ce grand homme étendu sur ses propres trophées , ce corps pâle et sanglant auprès duquel fume encore la foudre qui l'a frappé » ; il suffit de les lire à haute voix , pour sentir l'harmonie qui résulte de cette longue suite... | |
| Moustalon - 1810 - 512 pages
...N'attendez pas, Messieurs , que j'ouvre ici » une scène tragique; que je représente ce grand » homme étendu sur ses propres trophées ; que » je découvre...frappé ; » que je fasse crier son sang comme celui d'A» bel , et que j'expose à vos yeux les tristes » images de la religion et. de la patrie éplo»... | |
| Dumarsais - 1811 - 420 pages
...N'attendez pas , Messieurs , que j'onvr» « ici une scène tragique ; que je représente ce B grand homme étendu sur ses propres trophées; « que je découvre ce corps pâle et sanglai" i « auprès duquel fume encore la foudre qui l'* « frappé ; que je fasse crier son sang... | |
| Ludwig Ideler - 1812 - 618 pages
...couronnées. N'atiendee pas, Messieurs, que j'ouvre ici une scène tragique; que je représente ce grand homme étendu sur ses propres trophées; que je découvre...et que j'expose à vos yeux les tristes images de là religion, et de la patrie éplorées. Dani les pertes médiocres, on surprend ainsi la pitié des... | |
| C. F. L'Homond - French language - 1814 - 254 pages
...discernement et une application étonnante. // trouva les étangs et les rivières glacées N'attendez pas que j'expose à vos yeux \ les tristes images de la religion et de la patrie éplorée. (F^ÉCHIER.) Il ya dans la véritable vertu une candeur et une ingénuité à laquelle on... | |
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