Introduction to Modern French LyricsBenjamin Lester Bowen Heath, 1898 - 191 pages |
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... PAYS DE FRANCE 4 . LE CHIEN DU LOUVRE 5. LA BARQUE 6 . SOUVENIRS D'UN VIEUX MILITAIRE 7 . MA NORMANDIE 8. LE JOUEUR D'orgue 9 . LA FERMIERE 10. LE REPOS DU SOIR REMARKS ON FRENCH VERSIFICATION NOTES PAGE 109 JIO 110 112 114 115 116 118 ...
... PAYS DE FRANCE 4 . LE CHIEN DU LOUVRE 5. LA BARQUE 6 . SOUVENIRS D'UN VIEUX MILITAIRE 7 . MA NORMANDIE 8. LE JOUEUR D'orgue 9 . LA FERMIERE 10. LE REPOS DU SOIR REMARKS ON FRENCH VERSIFICATION NOTES PAGE 109 JIO 110 112 114 115 116 118 ...
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... pays ; Mais ils se soutiendront Tous au son du canon . Dansons la carmagnole , etc. L'aristocrate a pour amis Tous les royalist's à Paris ; Ils vous les soutiendront Tout comm ' de vrais poltrons . Dansons la carmagnole , etc. La ...
... pays ; Mais ils se soutiendront Tous au son du canon . Dansons la carmagnole , etc. L'aristocrate a pour amis Tous les royalist's à Paris ; Ils vous les soutiendront Tout comm ' de vrais poltrons . Dansons la carmagnole , etc. La ...
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... pays , riche France , Pourrait sur toi , dans l'univers , Avoir la préférence ! Ailleurs on chercherait en vain Le sort le plus prospère ; Le bonheur n'est que dans ton sein Ou n'est pas sur la terre . 20 24 T. ROUSSEAU . 6 . HYMNE A LA ...
... pays , riche France , Pourrait sur toi , dans l'univers , Avoir la préférence ! Ailleurs on chercherait en vain Le sort le plus prospère ; Le bonheur n'est que dans ton sein Ou n'est pas sur la terre . 20 24 T. ROUSSEAU . 6 . HYMNE A LA ...
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... pays de France , Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance , Adieu te quitter , c'est mourir . Toi que j'adoptai pour patrie , Et d'où je crois me voir bannir , Entends les adieux de Marie , France , et garde son ...
... pays de France , Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance , Adieu te quitter , c'est mourir . Toi que j'adoptai pour patrie , Et d'où je crois me voir bannir , Entends les adieux de Marie , France , et garde son ...
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... pays de France , Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance , Adieu ! te quitter , c'est mourir . Lorsqu'aux yeux du peuple que j'aime Je ceignis les lis éclatants , Il applaudit au rang suprême Moins qu'aux charmes de ...
... pays de France , Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance , Adieu ! te quitter , c'est mourir . Lorsqu'aux yeux du peuple que j'aime Je ceignis les lis éclatants , Il applaudit au rang suprême Moins qu'aux charmes de ...
Contents
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Common terms and phrases
accented ALFRED DE MUSSET Antoine-Vincent Arnault author became belonging Béranger Boards caesura called carmagnole celebrated century chanson Chant Chant du départ ciel Cloth cœur comes from Latin composed contains count couplet derived from Latin died Dieu dis-moi Djinns doux English word feminine first fleurs flots following form general German Grammar head J'ai jour Jusqu'à l'aube vermeille known language later Line 14 Line 21 Line 9 lyric made Marseillaise Mary Stuart masc meaning Modern French Napoleon notes and vocabulary notes by Professor nuit number oiseaux Old French ombre Paestum peine sommeille Jusqu'à Pierre-Jean de Béranger pleurs poem poet poetry popular present pressez vos chevaux Revolution rhyme Rights Rouget de Lisle royalist sainte alliance says short sites nouveaux sommeille Jusqu'à l'aube song stanzas strictly syllables t'en souviens-tu time took town used usually vallon verb verse Victor Hugo voix work worn written year Yvetot
Popular passages
Page 156 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Page 78 - Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire, Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers!
Page 83 - Où sont-ils, les marins sombres dans les nuits noires ? O flots, que vous savez de lugubres histoires ! Flots profonds redoutés des mères à genoux ! Vous vous les racontez en montant les marées, Et c'eSt ce qui vous fait ces voix désespérées Que vous avez le soir quand vous venez vers nous ! Juillet 1836. Les Rayons et les Ombres...
Page 124 - Philomèle chante et s'élance. Est-ce à moi de mourir ! Tranquille je m'endors, Et tranquille je veille ; et ma veille aux remords Ni mon sommeil ne sont en proie. Ma bienvenue au jour me rit dans tous les yeux ; Sur des fronts abattus mon aspect dans ces lieux Ranime presque de la joie.
Page 31 - Adieu, charmant pays de France que je dois tant chérir! Berceau de mon heureuse enfance, adieu! Te quitter c.est mourir! Toi que j.adoptai pour patrie et doù je crois me voir bannir, entends les adieux de Marie, France, et garde son souvenir. Le vent souffle, on quitte la plage, et peu touché de mes sanglots, Dieu, pour me rendre à ton rivage, Dieu na point soulevé les flots!
Page 124 - S'il est des jours amers, il en est de si doux! Hélas! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête?
Page 54 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés ; Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes Sur ses pieds adorés.
Page 93 - Et resta jusqu'au lendemain, Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour, à pas lents, Dans un bois, sur une bruyère. Au pied d'un arbre vint s'asseoir Un jeune homme vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin ; II tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantine. Il me fit un salut d'ami, Et se détournant à demi, Me montra du doigt la colline.
Page 77 - Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille Fait briller tous les yeux, Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être, Se dérident soudain à voir l'enfant paraître, Innocent et joyeux.
Page 50 - Vieux vagabond, le soleil est à moi. ' Le pauvre at-il une patrie ? Que me font vos vins et vos blés, Votre gloire et votre industrie, Et vos orateurs assemblés ? Dans vos murs ouverts à ses armes Lorsque l'étranger s'engraissait, Comme un sot j'ai versé des larmes : Vieux vagabond, sa main me nourrissait. ' Comme un insecte fait pour nuire, Hommes, que ne m'écrasiez- vous ! Ah ! plutôt vous deviez m'instruire A travailler au bien de tous.