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La rumeur approche,
L'écho la redit.

C'est comme la cloche

D'un couvent maudit, cursed

Comme un bruit de foule

thunde

Qui tonne et qui roule,

Et tantôt s'écroule fall downl

Et tantôt grandit.

C'est l'essaim des Djinns qui passe,
Et tourbillonne en sifflant.

histle yem- The Les ifs que leur vol fracasse, breas

Craquent comme un pin brûlant.
Leur troupeau lourd et rapide,
Volant dans l'espace vide,
Semble un nuage livide

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Qui porte un éclair au flanc.

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Cette salle où nous les narguons.

Quel bruit dehors! Hideuse armée

De vampires et

et de dragons!

be La poutre du toft descens miscal Ploie ainsi qu'une herbe mouillée, damp Et la vieille porte rouilléeusty.

Tremble à déraciner ses gonds.

tha

Linge

Cris de l'enfer! voix qui hurle et qui pleure!
L'horrible essaim, poussé par l'aquilon, to
Sans doute, ô ciel ! s'abat sur ma demeure.
Le mur fléchit sous le noir bataillon.
La maison crie et chanceile penchée,
Et l'on dirait que, du sol arrachée,
Ainsi qu'il chasse une feuille séchée,
Le vent la roule avec leur tourbillon !

Prophète si ta main me sauve
De ces impurs démons des soirs,
J'irai prosterner mon front chauve
Devant tes sacrés encensoirs !

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3.

EXTASE.

Et j'entendis une grande voix. — Apocalypse.

J'ÉTAIS seul près des flots, par une nuit d'étoiles.
Pas un nuage aux cieux, sur la mer pas de voiles.
Mes yeux plongeaient plus loin que le monde réel.
Et les bois, et les monts, et toute la nature,
Semblaient interroger dans un confus murmure
Les flots des mers, les feux du ciel.

Et les étoiles d'or, légions infinies,

A voix haute, à voix basse, avec mille harmonies,
Disaient, en inclinant leurs couronnes de feu ;
Et les flots bleus, que rien ne gouverne et n'arrête,
Disaient, en recourbant l'écume de leur crête :

C'est le Seigneur, le Seigneur Dieu !

LES ORIENTALES. 25 novembre 1828.

Son image sans cesse ébranle ma pensée.

Il verse à mon esprit le souffle créateur.

16 Je tremble, et dans ma bouche abondent les paroles