Revue nationale et étrangère, politique, scientifique et littéraire, Volume 10Charpentier, 1862 |
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... loin en loin , le bord du ciel est brouillé par une averse . << Il y a encore des commons , comme aux temps de la con- quête , abandonnés 2 , sauvages , pleins d'ajoncs et d'herbes épineuses , avec un cheval çà et là qui paît dans la ...
... loin en loin , le bord du ciel est brouillé par une averse . << Il y a encore des commons , comme aux temps de la con- quête , abandonnés 2 , sauvages , pleins d'ajoncs et d'herbes épineuses , avec un cheval çà et là qui paît dans la ...
Page 8
... loin , ayant égorgé en l'honneur de leurs dieux le dixième de leurs prisonniers , et laissant derrière eux la lueur rouge de l'in- cendie . « Seigneur , disait une litanie , délivrez - nous de la fureur des Jutes . » « De tous les ...
... loin , ayant égorgé en l'honneur de leurs dieux le dixième de leurs prisonniers , et laissant derrière eux la lueur rouge de l'in- cendie . « Seigneur , disait une litanie , délivrez - nous de la fureur des Jutes . » « De tous les ...
Page 19
... loin de mes yeux que tu seras toujours loin de nos colliers , de notre trésor ! - A moi seul est confié maintenant tout le trésor caché , - toute la richesse des Niflungs . - Car Hogni n'est plus parmi les vivants . Je n'étais point ...
... loin de mes yeux que tu seras toujours loin de nos colliers , de notre trésor ! - A moi seul est confié maintenant tout le trésor caché , - toute la richesse des Niflungs . - Car Hogni n'est plus parmi les vivants . Je n'étais point ...
Page 22
... loin de mon ami bien - aimé , — que j'endure des inimitiés . - On me contraint à demeurer — sous les feuillages de la forêt , — sous le chêne , dans cette caverne souterraine . Froide est cette maison de terre . J'en suis tout lassé ...
... loin de mon ami bien - aimé , — que j'endure des inimitiés . - On me contraint à demeurer — sous les feuillages de la forêt , — sous le chêne , dans cette caverne souterraine . Froide est cette maison de terre . J'en suis tout lassé ...
Page 35
... loin quelle clameur , quelle tempête de cris - poussait le chef terrible , excité et enflammé par le vin . Les coupes profondes - furent souvent portées - derrière les bancs . - De sorte que l'homme pervers , le farouche distributeur de ...
... loin quelle clameur , quelle tempête de cris - poussait le chef terrible , excité et enflammé par le vin . Les coupes profondes - furent souvent portées - derrière les bancs . - De sorte que l'homme pervers , le farouche distributeur de ...
Contents
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Common terms and phrases
âme André André Chénier anglais Angleterre assez aujourd'hui avaient beau belle Bellombre Beowulf Blazius Brahmâ brâhmanique c'était Californie capitaine Fracasse caste cause Chénier chose cœur comédiens Coppet coup culte d'André Daniel Stern devant Dieu Dieux dire divin donner ÉDOUARD LABOULAYE enfants esprit États-Unis EUGÈNE DESPOIS eût famille femme fille fils force général gens goût gouvernement Grèce Green guerre Homère hommes Humbug hymnes idées j'ai Jamadagni jamais jeune jour journal l'Angleterre l'Église l'esprit l'État l'homme l'or Laboulaye laisser liberté Livraison m'écriai-je madame de Staël magnétiques main Martha ment millions ministre misère monde monsieur morale mort n'était nation orages magnétiques parler passé Pausanias pays pensée personne peuple peut-être poésie poëte politique premier prêtres public qu'un raison Râma religieuse religion reste révolution richesse rien sait semble sentiment serait seul siècle Sigognac société sorte souvent surtout Suzanne terre tion Trophonios trouve Truth Vasishtha Vêda vérité Voilà voix xattriyas yeux Zambo Zerbine Zeus
Popular passages
Page 218 - ... soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 107 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 311 - ... territoire, ni aucun avantage particulier, et à n'exercer, dans les affaires intérieures du Mexique, aucune influence de nature à porter atteinte au droit de la nation mexicaine de choisir et de constituer librement la forme de son gouvernement.
Page 541 - Fanny, l'heureux mortel qui près de toi respire Sait, à te voir parler et rougir et sourire, De quels hôtes divins le ciel est habité. La grâce, la candeur, la naïve innocence Ont, depuis ton enfance, De tout ce qui peut plaire enrichi ta beauté. Sur tes traits, où ton âme imprime sa noblesse, Elles ont su mêler aux...
Page 273 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 307 - Il ya, quand la terre souffre d'une surcharge, de mystérieux gémissements de l'ombre, que l'abîme entend. Napoléon avait été dénoncé dans l'infini, et sa chute était décidée. Il gênait Dieu. Waterloo n'est point une bataille ; c'est le changement de front de l'univers.
Page 32 - Telle me semble la vie des hommes sur cette terre, et son cours d'un moment, comparé à la longueur du temps qui la précède et qui la suit. Ce temps est ténébreux et incommode pour nous; il nous tourmente par...
Page 56 - Au premier moment, on s'étonne de trouver de la froideur et même quelque chose de roide à l'auteur de Werther ; mais quand on obtient de lui qu'il se mette à l'aise, le mouvement de son imagination fait disparaître en entier la gêne qu'on a d'abord sentie : c'est un homme dont l'esprit est universel , et impartial parce qu'il est universel ; car il n'ya point d'indifférence dans son impartialité...
Page 617 - De condamner cet état, ce serait entrer dans les sentiments que M. Jurieu lui-même appelle outrés, c'est-à-dire, dans les sentiments de ceux qui trouvent toute guerre injuste : ce serait non...
Page 618 - Paul ne peut en rien être ébranlé, que toute personne soit soumise aux puissances supérieures ; car il n'ya point de puissance qui ne vienne de Dieu ; et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre; celui donc qui résiste aux puissances, résiste à l'ordre de Dieu.