Revue nationale et étrangère, politique, scientifique et littéraire, Volume 10Charpentier, 1862 |
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... c'était là pour eux toute l'œuvre d'un homme libre . Ils se lançaient en mer sur leurs barques à deux voiles , abordaient au hasard , tuaient , et allaient recommen- cer plus loin , ayant égorgé en l'honneur de leurs dieux le dixième de ...
... c'était là pour eux toute l'œuvre d'un homme libre . Ils se lançaient en mer sur leurs barques à deux voiles , abordaient au hasard , tuaient , et allaient recommen- cer plus loin , ayant égorgé en l'honneur de leurs dieux le dixième de ...
Page 11
... c'était le premier besoin des barbares ' . La pesante brute humaine s'assouvit de sensa- tions et de bruit . Pour cet appétit , il y a une pâture plus forte , j'entends les coups et les batailles . En vain ils s'attachent au sol et ...
... c'était le premier besoin des barbares ' . La pesante brute humaine s'assouvit de sensa- tions et de bruit . Pour cet appétit , il y a une pâture plus forte , j'entends les coups et les batailles . En vain ils s'attachent au sol et ...
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appelait Thrace ; c'était un pays en Grèce . Ce joueur de harpe était extraor- dinairement bon . Son nom était Orphée . Il avait une femme très - bonne , elle s'appelait Eurydice . Alors les gens commencèrent à dire , de ce joueur Jam ...
appelait Thrace ; c'était un pays en Grèce . Ce joueur de harpe était extraor- dinairement bon . Son nom était Orphée . Il avait une femme très - bonne , elle s'appelait Eurydice . Alors les gens commencèrent à dire , de ce joueur Jam ...
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... c'était la parole d'une femme . Un murmure de liberté , répété par quelques salons , eût troublé le rêve impérial ! Cela suffisait pour que sans droit , sans cause , sans jugement , Cé- sar jetât dans l'exil cette femme qui ne l'aimait ...
... c'était la parole d'une femme . Un murmure de liberté , répété par quelques salons , eût troublé le rêve impérial ! Cela suffisait pour que sans droit , sans cause , sans jugement , Cé- sar jetât dans l'exil cette femme qui ne l'aimait ...
Page 62
... C'était la récompense et le fruit de son exil . Confiante dans la droiture de ses intentions , elle adressa à Napo- léon lui - même le premier exemplaire de l'Allemagne , en l'accom- pagnant d'une lettre pleine de noblesse et de ...
... C'était la récompense et le fruit de son exil . Confiante dans la droiture de ses intentions , elle adressa à Napo- léon lui - même le premier exemplaire de l'Allemagne , en l'accom- pagnant d'une lettre pleine de noblesse et de ...
Contents
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Common terms and phrases
âme André André Chénier anglais Angleterre assez aujourd'hui avaient beau belle Bellombre Beowulf Blazius Brahmâ brâhmanique c'était Californie capitaine Fracasse caste cause Chénier chose cœur comédiens Coppet coup culte d'André Daniel Stern devant Dieu Dieux dire divin donner ÉDOUARD LABOULAYE enfants esprit États-Unis EUGÈNE DESPOIS eût famille femme fille fils force général gens goût gouvernement Grèce Green guerre Homère hommes Humbug hymnes idées j'ai Jamadagni jamais jeune jour journal l'Angleterre l'Église l'esprit l'État l'homme l'or Laboulaye laisser liberté Livraison m'écriai-je madame de Staël magnétiques main Martha ment millions ministre misère monde monsieur morale mort n'était nation orages magnétiques parler passé Pausanias pays pensée personne peuple peut-être poésie poëte politique premier prêtres public qu'un raison Râma religieuse religion reste révolution richesse rien sait semble sentiment serait seul siècle Sigognac société sorte souvent surtout Suzanne terre tion Trophonios trouve Truth Vasishtha Vêda vérité Voilà voix xattriyas yeux Zambo Zerbine Zeus
Popular passages
Page 218 - ... soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 107 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 311 - ... territoire, ni aucun avantage particulier, et à n'exercer, dans les affaires intérieures du Mexique, aucune influence de nature à porter atteinte au droit de la nation mexicaine de choisir et de constituer librement la forme de son gouvernement.
Page 541 - Fanny, l'heureux mortel qui près de toi respire Sait, à te voir parler et rougir et sourire, De quels hôtes divins le ciel est habité. La grâce, la candeur, la naïve innocence Ont, depuis ton enfance, De tout ce qui peut plaire enrichi ta beauté. Sur tes traits, où ton âme imprime sa noblesse, Elles ont su mêler aux...
Page 273 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 307 - Il ya, quand la terre souffre d'une surcharge, de mystérieux gémissements de l'ombre, que l'abîme entend. Napoléon avait été dénoncé dans l'infini, et sa chute était décidée. Il gênait Dieu. Waterloo n'est point une bataille ; c'est le changement de front de l'univers.
Page 32 - Telle me semble la vie des hommes sur cette terre, et son cours d'un moment, comparé à la longueur du temps qui la précède et qui la suit. Ce temps est ténébreux et incommode pour nous; il nous tourmente par...
Page 56 - Au premier moment, on s'étonne de trouver de la froideur et même quelque chose de roide à l'auteur de Werther ; mais quand on obtient de lui qu'il se mette à l'aise, le mouvement de son imagination fait disparaître en entier la gêne qu'on a d'abord sentie : c'est un homme dont l'esprit est universel , et impartial parce qu'il est universel ; car il n'ya point d'indifférence dans son impartialité...
Page 617 - De condamner cet état, ce serait entrer dans les sentiments que M. Jurieu lui-même appelle outrés, c'est-à-dire, dans les sentiments de ceux qui trouvent toute guerre injuste : ce serait non...
Page 618 - Paul ne peut en rien être ébranlé, que toute personne soit soumise aux puissances supérieures ; car il n'ya point de puissance qui ne vienne de Dieu ; et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre; celui donc qui résiste aux puissances, résiste à l'ordre de Dieu.