| French periodicals - 1828 - 686 pages
...de souci dans cette valise, c'étaient les lettres de sa maitresse. Le souper fini on nous laisse ; nos hôtes couchaient en bas , nous dans la chambre...provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise ; moi, déterminé à veiller, je fis... | |
| Paul-Louis Courier - 1828 - 514 pages
...valise, c'étaient les lettres de sa maîtresse. Le souper fini on nous laisse ; nos hôtes couchaient eu bas, nous dans la chambre haute où nous avions mangé...provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise; moi, déterminé à veiller, je fis bon... | |
| French periodicals - 1828 - 688 pages
...de souci dans cette valise, c'étaient les lettres de sa maîtresse. Le souper fini on nous laisse; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre...une soupente élevée de sept à huit pieds , où Ton montait par une échelle , c'était là le coucher qui nous attendait, espèce de nid, dans, lequel... | |
| Paul-Louis Courier - French literature - 1830 - 478 pages
...de souci dans cette valise, c'étaient; les lettres de sa maîtresse. Le souper fini on nous laisse; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre...mangé; une soupente élevée de sept à huit pieds, oùl'on montait par une échelle, c'était là le coucher qui nous attendait, espèce de nid , dans... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 428 pages
...de souci dans cette valise, c'étaient les lettres de sa maîtresse. Le souper fini on nous laisse; nos hôtes couchaient en bas , nous dans la chambre...provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise. Moi, déterminé à veiller, je fis bon... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 454 pages
...de souci dans cette valise, c'étaient les lettres de sa maîtresse. Le souper fini on nous laisse ; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre...provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tète sur la précieuse valise. Moi, déterminé à veiller, je fis bon... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 428 pages
...de souci dans cette valise, c'étaient les lettres de sa maîtresse. Le souper fini on nous laisse; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre...rampant sous des solives chargées de provisions pour i76 toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...de souci dans cette valise, c'étaient les lettres de sa maîtresse. Le souper fini on nous laisse ; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre haute où nous avions mangé ; une soupente 3 élevée de sept à huit pieds, où l'on montait par une échelle, c'était là le coucher qui nous... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...plaindre ! Cousine , on crut que nous portions les diamants de la couronne. Le souper fini, on nom laisse; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre...nous avions mangé ; une soupente élevée de sept h huit pieds , où l'on montait par une échelle, c'était là le coucher qui nous attendait, espèce... | |
| Ghewond Hovnanean - French language - 1844 - 472 pages
...voulurent.... Le souper fini, on nous laisse; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre hante où nous avions mangé. Une soupente élevée de sept...espèce de nid dans lequel on s'introduisait en rampant sons des solives chargées de provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha... | |
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