Revue Generale1869 |
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âme articles avaient belge Belgique bill budget c'était cabinet cardinal catholique cause chambre choses chrétien civil clergé cœur commerciale communauté Concordat Concordat de 1801 Consalvi Constitution contrainte par corps côté culte d'Edith d'Haussonville déclaration députés devant Dieu Disraeli docteur donner douanière duchesse ecclésiastique Edith église électoral Elisabeth enfant évêques Frère-Orban général Gladstone gouvernement Grèce hommes Hoxton j'ai jour l'article l'Eglise l'empereur l'enseignement l'Etat lady laisser législatif libéral liberté liberté d'enseignement Ligue de l'enseignement lord William madame majorité ment ministre n'avait Napoléon Napoléon III nation négociations Pape parlement paroles passé pauvre pays pensée Père Marquet peuple Pie IX Pie VII politique Pologne porte pouvoir premier consul principe projet de loi protestants Prusse publique puissance question raison réforme Reginald religieuse religion reste révolution rien Rome Russie saint Saint-Père Saint-Siége sénat sénat belge sentiment serait seule société sorte système Theux Thiers tion Tracey traité triste trouve vérité voix vote vrai Walter
Popular passages
Page 244 - Persuadé que cette religion est la seule qui puisse procurer un bonheur véritable à une société bien ordonnée, et affermir les bases d'un bon gouvernement, je vous assure que je m'appliquerai à la protéger et à la défendre dans tous les temps et par tous les moyens.
Page 109 - II est temps, disent-ils, que les théories se taisent devant les faits. Point d'instruction sans éducation, et point d'éducation sans morale et sans religion. « Les professeurs ont enseigné dans le désert, parce qu'on a proclamé imprudemment qu'il ne fallait jamais parler de religion dans les écoles. « L'instruction est nulle depuis dix ans : il faut prendre la religion pour base de l'éducation.
Page 245 - ... catholique était comme une ancre qui pouvait, seule, la fixer dans ses agitations et la sauver des efforts de la tempête; elle l'a en conséquence rappelée dans son sein. Je ne puis pas disconvenir que je n'aie beaucoup contribué à cette belle œuvre.
Page 267 - Ce fut alors que , d'un air confus et d'un ton embarrassé, il balbutia qu'il ne pouvait nier la vérité de mes paroles et la différence des concordats qu'on proposait à signer; mais que le Premier Consul l'avait ainsi ordonné, et lui avait affirmé qu'on est maître de changer tant qu'on n'a point signé.
Page 259 - Cinquante évêques émigrés et soldés par l'Angleterre conduisent aujourd'hui le clergé français. Il faut détruire leur influence; l'autorité du Pape est nécessaire pour cela. Il les destitue, ou leur fait donner leur démission. On déclare que la religion catholique étant celle de la majorité des Français, on doit en organiser l'exercice. Le Premier Consul nomme cinquante évêques, le Pape les institue.
Page 238 - ... qu'après Dieu, c'est à lui, principalement, qu'est dû le rétablissement de la religion dans ce grand royaume de France. La pieuse et courageuse initiative de 1801 nous a fait oublier et pardonner depuis longtemps les torts subséquents. Savone et Fontainebleau ne sont que des erreurs de l'esprit ou des égarements de l'ambition humaine; le concordat fut un acte chrétiennement et héroïquement sauveur.
Page 347 - L'équipement dans ses ports de bâtiments armés destinés à secourir, sous quelque forme que ce soit, toute tentative d'insurrection dans les possessions de SM le Sultan.
Page 30 - Si ces rapports signalent des abus dans une école, le Ministre de l'Intérieur en informe l'administration dirigeant l'école, et use des moyens propres à amener l'exécution de la loi. Lorsque les abus sont constatés par le gouvernement et reconnus par lui constituer la non-exécution de l'une des conditions essentielles de la loi, et que l'autorité dirigeant l'école se refuse à les faire cesser, les subsides communaux, provinciaux et de l'État seront retirés par un arrêté royal motivé...
Page 245 - Juin, il avait écrit aux Consuls : « Aujourd'hui, malgré ce que pourront dire nos athées de Paris, je vais en grande cérémonie au Te Deum que l'on chante à la cathédrale de Milan.
Page 345 - ... qu'une réponse n'a pu être donnée dans cet intervalle à la lettre de Votre Excellence. « Le cabinet dont j'ai l'honneur de faire partie s'est fait un devoir, aussitôt constitué , de prendre en sérieuse considération le contenu de la déclaration et de votre communication. « Le gouvernement du Roi a vu avec regret que le ministre de Sa Majesté à Paris n'a pu prendre part aux travaux de la conférence par suite de la position d'infériorité qui lui a été faite vis-à-vis du plénipotentiaire...