Essai sur l'histoire de la philosophie en France: au XVIIe siècle, Volume 1 |
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... , ni de telles res- sources d'invention qu'il pût suffire à la tâche de concevoir , de former , de développer tout un système . Les génies les mieux doués en seraient incapables : un VI PRÉFACE . Théorie de la volonté...... 223.
... , ni de telles res- sources d'invention qu'il pût suffire à la tâche de concevoir , de former , de développer tout un système . Les génies les mieux doués en seraient incapables : un VI PRÉFACE . Théorie de la volonté...... 223.
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... volonté de voir et d'entendre par soi - même . Tant que cette discipline , qui est proprement de raison , ne s'est pas jointe à l'autre , qui est surtout de mémoire , on a beaucoup reçu , mais peu gagné en son nom ; on a fait œuvre de ...
... volonté de voir et d'entendre par soi - même . Tant que cette discipline , qui est proprement de raison , ne s'est pas jointe à l'autre , qui est surtout de mémoire , on a beaucoup reçu , mais peu gagné en son nom ; on a fait œuvre de ...
Page xxxv
... volonté , et impression de la Providence plus que travail humain . Mais tout ceci nous conduit à rechercher si par suite elles n'ont pas des différences qui tiennent soit aux questions elles - mêmes , soit surtout aux solu- tions ...
... volonté , et impression de la Providence plus que travail humain . Mais tout ceci nous conduit à rechercher si par suite elles n'ont pas des différences qui tiennent soit aux questions elles - mêmes , soit surtout aux solu- tions ...
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... volonté considérée soit comme faculté du jugement , soit comme faculté de l'action ; rien sur plusieurs autres questions qui appartiennent cependant à la métaphysique de Descartes . Il y a donc ici lacune ; tout ce qui doit y être n'y ...
... volonté considérée soit comme faculté du jugement , soit comme faculté de l'action ; rien sur plusieurs autres questions qui appartiennent cependant à la métaphysique de Descartes . Il y a donc ici lacune ; tout ce qui doit y être n'y ...
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... volonté , enfin des Causes occasion- nelles ; et , après les avoir exposées , il rappelle en- core ce point de vue qu'il résume en ces termes : « La différence entre leurs doctrines ( celles de Spi- noza et de Malebranche ) est peut ...
... volonté , enfin des Causes occasion- nelles ; et , après les avoir exposées , il rappelle en- core ce point de vue qu'il résume en ces termes : « La différence entre leurs doctrines ( celles de Spi- noza et de Malebranche ) est peut ...
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Common terms and phrases
affirmer âme Aristote assez avons Bacon Bernier Bossuet carac cartes cartésianisme cause causes finales chose qui pense clairement cogito conatus concevons connaissance conséquent considérer corps criterium d'abord Descartes développement dire disciples distinction doctrine doute effet elle-même ensuite Épicure esprit explication faculté fond formes substantielles Gassendi général Henri Le Roy Hobbes Homine idées intelli j'ai juger l'âme l'amour l'auteur l'autre l'entendement l'espace l'esprit l'est l'être l'évidence l'histoire l'homme l'idée l'infini l'intelligence l'objet l'une Leibnitz Leviathan liberté Locke logique lui-même Malebranche manière matière Méditations mémoire ment méthode mieux monde mouvement n'en nature objet organum parfait parler particulier passe passions perfection phantaisie phie philoso philosophie physique plutôt première principe qu'une quæ question quod raison rapport religion remarque reste Rose-Croix s'il science scolastique sens sensation sensualisme sentiment serait seulement simple sorte Spinoza substance suite sujet surtout syllogisme Syntagma système termes Théodicée théorie théorie des idées tion traite vérité voilà volonté vrai
Popular passages
Page 18 - Ainsi toute la Philosophie est comme un arbre, dont les racines sont la Métaphysique, le tronc est la Physique, et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences...
Page 146 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 241 - De façon qu'il restait qu'elle eût été mise en moi par une nature qui fût véritablement plus parfaite que je n'étais, et même qui eût en soi toutes les perfections dont je pouvais avoir quelque idée, c'est-à-dire, pour m'expliquer en un mot, qui fût...
Page 129 - Mais aussitôt après je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais.
Page 131 - Mais si nous ne savions point que tout ce qui est en nous de réel et de vrai vient d'un Être parfait et infini , pour claires et distinctes que fussent nos idées, nous n'aurions aucune raison qui nous assurât qu'elles eussent la perfection d'être vraies.
Page 117 - Et ayant remarqué qu'il n'ya rien du tout en ceci, je pense, donc je suis, qui m'assure que je dis la vérité, sinon que je vois très clairement que pour penser il faut être, je jugeai que je pouvais prendre pour règle générale que les choses que nous concevons fort clairement et fort distinctement sont toutes vraies, mais qu'il ya seulement quelque difficulté à bien remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement.
Page 210 - Je ne remarque en nous qu'une seule chose qui nous puisse donner juste raison de nous estimer, à savoir l'usage de notre libre arbitre, et l'empire que nous avons sur nos volontés; car il n'ya que les seules actions qui dépendent de ce libre arbitre pour lesquelles nous puissions avec raison être loués ou blâmés; et il nous rend en quelque façon semblables à Dieu en nous faisant maîtres de nous-mêmes, pourvu que nous ne perdions point par lâcheté les droits qu'il nous donne.
Page 189 - Et je ne me dois pas imaginer que je ne conçois pas l'infini par une véritable idée, mais seulement par la négation de ce qui est fini, de même que je comprends le repos et les ténèbres par la négation du mouvement et de la lumière...
Page 418 - Qu'est-ce donc que le temps? Si personne ne me le demande, je le sais ; mais si on me le demande et que je veuille l'expliquer, je ne le sais plus.
Page 190 - ... j'ai tantôt dit de l'idée du froid. Elle est aussi fort claire et fort distincte, puisque tout ce que mon esprit conçoit clairement et distinctement de réel et de vrai, et qui contient en soi quelque perfection, est contenu et renfermé tout entier dans cette idée.