Essai sur l'histoire de la philosophie en France: au XVIIe siècle, Volume 1 |
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... , je n'ai , on le suppose bien , nulle intention de le con- tester , et je n'ai pas attendu ce moment pour II PREFACE . LIVRE DESCARTES CHAP Ir Aperçu historique Biographie 85 Esprit général de la philosophie de Descartes 112.
... , je n'ai , on le suppose bien , nulle intention de le con- tester , et je n'ai pas attendu ce moment pour II PREFACE . LIVRE DESCARTES CHAP Ir Aperçu historique Biographie 85 Esprit général de la philosophie de Descartes 112.
Page xiv
... Cela me semble même si vrai que , quoique ce soit peut - être à certains égards un peu dur à penser , j'ose dire qu'en général ceux qui ont le mieux en- tendu l'histoire de la philosophie ne sont pas préci- sément XIV PRÉFACE .
... Cela me semble même si vrai que , quoique ce soit peut - être à certains égards un peu dur à penser , j'ose dire qu'en général ceux qui ont le mieux en- tendu l'histoire de la philosophie ne sont pas préci- sément XIV PRÉFACE .
Page xxviii
... 'ils ont de plus général ? En effet , chez les Grecs , je ne dis pas seulement au début , mais même longtemps après que l'on a commencé à philosopher , les philosophes sont encore pleins de l'esprit mythologique XXVIII PRÉFACE .
... 'ils ont de plus général ? En effet , chez les Grecs , je ne dis pas seulement au début , mais même longtemps après que l'on a commencé à philosopher , les philosophes sont encore pleins de l'esprit mythologique XXVIII PRÉFACE .
Page xxxiv
... général de plus imprévu , de plus prompt , de moins libre pour l'esprit , je veux dire les senti- ments , les sensations et les souvenirs , l'autre , plus sûre d'elle - même , sans les avoir sans doute absolu- ment en son pouvoir , les ...
... général de plus imprévu , de plus prompt , de moins libre pour l'esprit , je veux dire les senti- ments , les sensations et les souvenirs , l'autre , plus sûre d'elle - même , sans les avoir sans doute absolu- ment en son pouvoir , les ...
Page xxxvi
... général auquel elles se terminent , ne se rapprochent pas sous les autres rapports . Ainsi , comme , d'un côté , elles viennent par traits sou- dains , par vives et rapides aperceptions , et sans cette suite d'explications qui nous ...
... général auquel elles se terminent , ne se rapprochent pas sous les autres rapports . Ainsi , comme , d'un côté , elles viennent par traits sou- dains , par vives et rapides aperceptions , et sans cette suite d'explications qui nous ...
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Common terms and phrases
affirmer âme Aristote assez avons Bacon Bernier Bossuet carac cartes cartésianisme cause causes finales chose qui pense clairement cogito conatus concevons connaissance conséquent considérer corps criterium d'abord Descartes développement dire disciples distinction doctrine doute effet elle-même ensuite Épicure esprit explication faculté fond formes substantielles Gassendi général Henri Le Roy Hobbes Homine idées intelli j'ai juger l'âme l'amour l'auteur l'autre l'entendement l'espace l'esprit l'est l'être l'évidence l'histoire l'homme l'idée l'infini l'intelligence l'objet l'une Leibnitz Leviathan liberté Locke logique lui-même Malebranche manière matière Méditations mémoire ment méthode mieux monde mouvement n'en nature objet organum parfait parler particulier passe passions perfection phantaisie phie philoso philosophie physique plutôt première principe qu'une quæ question quod raison rapport religion remarque reste Rose-Croix s'il science scolastique sens sensation sensualisme sentiment serait seulement simple sorte Spinoza substance suite sujet surtout syllogisme Syntagma système termes Théodicée théorie théorie des idées tion traite vérité voilà volonté vrai
Popular passages
Page 18 - Ainsi toute la Philosophie est comme un arbre, dont les racines sont la Métaphysique, le tronc est la Physique, et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences...
Page 146 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 241 - De façon qu'il restait qu'elle eût été mise en moi par une nature qui fût véritablement plus parfaite que je n'étais, et même qui eût en soi toutes les perfections dont je pouvais avoir quelque idée, c'est-à-dire, pour m'expliquer en un mot, qui fût...
Page 129 - Mais aussitôt après je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais.
Page 131 - Mais si nous ne savions point que tout ce qui est en nous de réel et de vrai vient d'un Être parfait et infini , pour claires et distinctes que fussent nos idées, nous n'aurions aucune raison qui nous assurât qu'elles eussent la perfection d'être vraies.
Page 117 - Et ayant remarqué qu'il n'ya rien du tout en ceci, je pense, donc je suis, qui m'assure que je dis la vérité, sinon que je vois très clairement que pour penser il faut être, je jugeai que je pouvais prendre pour règle générale que les choses que nous concevons fort clairement et fort distinctement sont toutes vraies, mais qu'il ya seulement quelque difficulté à bien remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement.
Page 210 - Je ne remarque en nous qu'une seule chose qui nous puisse donner juste raison de nous estimer, à savoir l'usage de notre libre arbitre, et l'empire que nous avons sur nos volontés; car il n'ya que les seules actions qui dépendent de ce libre arbitre pour lesquelles nous puissions avec raison être loués ou blâmés; et il nous rend en quelque façon semblables à Dieu en nous faisant maîtres de nous-mêmes, pourvu que nous ne perdions point par lâcheté les droits qu'il nous donne.
Page 189 - Et je ne me dois pas imaginer que je ne conçois pas l'infini par une véritable idée, mais seulement par la négation de ce qui est fini, de même que je comprends le repos et les ténèbres par la négation du mouvement et de la lumière...
Page 418 - Qu'est-ce donc que le temps? Si personne ne me le demande, je le sais ; mais si on me le demande et que je veuille l'expliquer, je ne le sais plus.
Page 190 - ... j'ai tantôt dit de l'idée du froid. Elle est aussi fort claire et fort distincte, puisque tout ce que mon esprit conçoit clairement et distinctement de réel et de vrai, et qui contient en soi quelque perfection, est contenu et renfermé tout entier dans cette idée.