Histoire générale de la philosophie |
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... une rigueur parfaite que la philosophie n'a depuis fait autre chose que d'aller tour à tour de l'un à l'autre , en les modifiant et en les perfectionnant sans cesse 1 . Ce sont là , vous le savez , mes études habi- tuelles ; il m'eût ...
... une rigueur parfaite que la philosophie n'a depuis fait autre chose que d'aller tour à tour de l'un à l'autre , en les modifiant et en les perfectionnant sans cesse 1 . Ce sont là , vous le savez , mes études habi- tuelles ; il m'eût ...
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... l'une religieuse , l'autre politique , remplissent le seizième et le dix - septième siècle ; mais ce n'étaient là que ... un siècle , parce que leur prin- cipe propre manque de généralité . Il n'y a que ce qui est général qui convienne à ...
... l'une religieuse , l'autre politique , remplissent le seizième et le dix - septième siècle ; mais ce n'étaient là que ... un siècle , parce que leur prin- cipe propre manque de généralité . Il n'y a que ce qui est général qui convienne à ...
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... un vide dans la société et dans l'âme humaine ; dans ce vide se glissent aisément le scepticisme , la mollesse , la ... l'un avec sa belle harmonie sans pensées viriles , ni l'autre avec son énergie convulsive et mani rée , n'arrivent à ...
... un vide dans la société et dans l'âme humaine ; dans ce vide se glissent aisément le scepticisme , la mollesse , la ... l'un avec sa belle harmonie sans pensées viriles , ni l'autre avec son énergie convulsive et mani rée , n'arrivent à ...
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... un moment , pâlissante et affaiblie , l'élégant Massillon ; mais à la place de cette éloquence s'en élève une autre , qui , se dressant en France une chaire nouvelle , parle à l'Europe entière de l'homme , de sa nature , de son his ...
... un moment , pâlissante et affaiblie , l'élégant Massillon ; mais à la place de cette éloquence s'en élève une autre , qui , se dressant en France une chaire nouvelle , parle à l'Europe entière de l'homme , de sa nature , de son his ...
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... un peu l'effet de barbares . Mais il У avait un peuple qui , placé au centre du continent européen , touche à tous les autres peuples et peut atteindre en quelques jours à toutes les extrémités de l'Europe ; un peuple doué au plus haut ...
... un peu l'effet de barbares . Mais il У avait un peuple qui , placé au centre du continent européen , touche à tous les autres peuples et peut atteindre en quelques jours à toutes les extrémités de l'Europe ; un peuple doué au plus haut ...
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Common terms and phrases
absolue appelle Aristote arriver assez avant avons Bacon bonne c'est-à-dire caractère cause choses commence connaissance conscience conséquent corps côté d'abord d'Aristote dernière Descartes devait développement dialectique Dieu différents dire dix-huitième siècle dix-septième doctrine donne doute écoles écrit édition effet élève elle-même enfin entière époque esprit fond force forme général génie Grèce haut hommes Ibid idées jour l'âme l'analyse l'autre l'école l'esprit humain l'histoire l'homme l'idéalisme l'Inde l'un l'unité leç leçon Leibniz liberté lieu livre lois lui-même matière ment métaphysique méthode monde morale mort mouvement moyen âge mysticisme nature nécessaire nouveau nouvelle ordre ouvrages parler particulièrement passé pensée phénomènes philosophie physique Platon porte premier presque propre pure qu'un raison rapport réflexion religion reste révolution rien saint Sankhya savant scepticisme scholastique science seconde seizième semble sens sensation sensualisme sentiment serait seulement sorte Spinoza substance surtout systèmes théologie tion tirer traduction traité trouve vérité Voilà Voyez vrai
Popular passages
Page 401 - Ces longues chaînes de raisons, toutes simples et faciles, dont les géomètres ont coutume de se servir pour parvenir à leurs plus difficiles démonstrations, m'avaient donné occasion de m'imaginer que toutes les choses qui peuvent tomber sous la connaissance des hommes s'entre-suivent en même façon, et que, pourvu seulement qu'on s'abstienne d'en recevoir aucune pour vraie qui ne le soit, et qu'on garde toujours l'ordre qu'il faut pour les déduire...
Page 422 - Il n'ya que la volonté seule ou la seule liberté du franc arbitre que j'expérimente en moi être si grande, que je ne conçois point l'idée d'aucune autre plus ample et plus étendue; en sorte que c'est elle principalement qui me fait connaître que je porte l'image et la ressemblance de Dieu.
Page 400 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés...
Page 431 - Car, quand nous les considérons comme les propriétés des substances dont elles dépendent, nous les distinguons aisément de ces substances et les prenons pour telles qu'elles sont véritablement; au lieu que si nous voulions les considérer sans substance, cela pourrait être cause que nous les prendrions pour des choses qui subsistent d'elles-mêmes ; en sorte que nous confondrions l'idée que nous devons avoir de la substance avec celle que nous devons avoir de ses propriétés.
Page 328 - Bruno) comment les Romains ont coutume de traiter les impies et les blasphémateurs. Voilà, mon cher ami, de quelle manière on procède chez nous contre les hommes ou plutôt contre les monstres de cette espèce.
Page 467 - C'est en ce sens que j'entendrais le mot extraordinaire de Malebranche : « Dieu est le lieu des esprits, comme l'espace est le lieu des corps.
Page 402 - ... il n'ya eu que les seuls mathématiciens qui ont pu trouver quelques démonstrations, c'est-à-dire quelques raisons certaines...
Page 395 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 192 - Aussi quand un homme vint dire qu'il y avait dans la nature, comme dans les animaux, une intelligence qui est la cause de l'arrangement et de l'ordre de l'univers, cet homme parut seul avoir conservé sa raison au milieu des folies de ses devanciers.
Page 424 - Dieu ne nous doit point empêcher de la croire. Car nous aurions tort de douter de ce que nous apercevons intérieurement et que nous savons par expérience être en nous, parce que nous ne comprenons pas une autre chose que nous savons être incompréhensible de sa nature.