Oeuvres, Volume 6[Lib. de] Lecointe, 1831 |
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Page 21
... Dieu que je les eusse , les dix mille écus ! Je ne crois pas ... CLÉANTE . HARPAGON . Ce seroit une bonne affaire pour moi . ÉLISE . Ce sont des choses ... HARPAGON . J'en aurois bon besoin . CLÉANTE . Je pense que ... HARPAGON . Cela m ...
... Dieu que je les eusse , les dix mille écus ! Je ne crois pas ... CLÉANTE . HARPAGON . Ce seroit une bonne affaire pour moi . ÉLISE . Ce sont des choses ... HARPAGON . J'en aurois bon besoin . CLÉANTE . Je pense que ... HARPAGON . Cela m ...
Page 22
... dieu ! mon pere , vous n'avez pas lieu de vous plaindre , et l'on sait que vous avez assez de bien . HARPAGON . Comment ! j'ai assez de bien ! Ceux qui le disent en ont menti . Il n'y a rien de plus faux ; et ce sont des coquins qui ...
... dieu ! mon pere , vous n'avez pas lieu de vous plaindre , et l'on sait que vous avez assez de bien . HARPAGON . Comment ! j'ai assez de bien ! Ceux qui le disent en ont menti . Il n'y a rien de plus faux ; et ce sont des coquins qui ...
Page 32
... Dieu merci . VALERE , SANS voir Harpagon . Enfin notre dernier recours , c'est que la fuite nous peut mettre à couvert de tout ; et si votre amour , belle Elise , est capable d'une fermeté ... ( appercevant Harpagon . ) Oui , il faut qu ...
... Dieu merci . VALERE , SANS voir Harpagon . Enfin notre dernier recours , c'est que la fuite nous peut mettre à couvert de tout ; et si votre amour , belle Elise , est capable d'une fermeté ... ( appercevant Harpagon . ) Oui , il faut qu ...
Page 40
... Dieu merci , les inclinations fort patibulaires ; et , parmi mes confreres que je vois se mêler de beaucoup de petits commerces , je sais tirer adroitement mon épingle du jeu , et me démêler prudemment de toutes les galante- ries qui ...
... Dieu merci , les inclinations fort patibulaires ; et , parmi mes confreres que je vois se mêler de beaucoup de petits commerces , je sais tirer adroitement mon épingle du jeu , et me démêler prudemment de toutes les galante- ries qui ...
Page 44
... et de plus aride que ses bonnes graces et ses caresses ; et donner est un mot pour qui il a tant d'aversion , qu'il ne dit jamais , Je vous donne , mais , Je vous préte le bon jour . FROSINE . Mon dieu ! je sais l'art de traire 44 L'AVARE .
... et de plus aride que ses bonnes graces et ses caresses ; et donner est un mot pour qui il a tant d'aversion , qu'il ne dit jamais , Je vous donne , mais , Je vous préte le bon jour . FROSINE . Mon dieu ! je sais l'art de traire 44 L'AVARE .
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Common terms and phrases
affaire Allons amant amour ANAXARQUE ANSELME ARISTIONE assez Assurément avez beau belle bonté BRINDAVOINE buon dì CALISTE cassette chantants charmes CHOEUR DE PEUPLES chose ciel CLEANTE CLÉONICE CLITIDAS cœur COMMISSAIRE connois connoître dansants diable dieu dire dis-je dix mille écus donner douce É RASTE ÉLISE ENTRÉE DE BALLET ÉOLE ÉRASTE ÉRIPHILE est-ce êtes étoit feux de l'amour fille FLECHE FROSINE gens grace HARPAGON haut-de-chausses Hélas homme honnête INTERMEDE IPHICRATE j'ai j'avois j'en JULIE l'amour L'APOTHICAIRE l'argent L'EXEMPT laisser LUCETTE m'en madame maître Jacques maladie maniere MARIANE MERLUCHE MINISTRES DU SACRIFICE monde monsieur de Pourceaugnac montsir n'ai n'y a rien NÉRINE ORONTE parler pere personne Piglia lo sù PREMIER MÉDECIN PREMIER SUISSE prendre princes princesse Eriphile Qu'est-ce raison RASTE s'il vous plaît sais sauroit SBRIGANI SCENE VII SECOND SUISSE seigneur sentiments sera seroit seul SOSTRATE TIMOCLES TIRCIS tout-à-l'heure VALERE veut veux Voilà vois voudrois yeux
Popular passages
Page 94 - Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde. Sans toi, il m'est impossible de vivre. C'en est fait : je n'en puis plus ; je me meurs ; je suis mort ; je suis enterré.
Page 94 - N'y at-il personne qui veuille me ressusciter en me rendant mon cher argent, ou en m'apprenant qui l'a pris? Euh! que dites-vous?
Page 93 - N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête. (A lui-même, se prenant par le bras.) Rends-moi mon argent, coquin... Ah ! c'est moi ! Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde.
Page 93 - Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! je suis perdu, je suis assassiné ; on m'a coupé la gorge : on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête.
Page 61 - Je ne vous dirai point qu'ils sont sur la litière : les pauvres bêtes n'en ont point, et ce serait mal parler ; mais vous leur faites observer des jeûnes si austères, que ce ne sont plus rien que des idées ou des fantômes, des façons de chevaux. HARPAGON. — Les voilà bien malades ! ils ne font rien. Me. JACQUES. — Et pour ne faire rien, monsieur, est-ce qu'il ne faut rien manger? Il leur vaudrait bien mieux, les pauvres animaux, de travailler beaucoup, de manger de même.
Page 63 - ... gigot de mouton ; celui-ci, que l'on vous surprit une nuit, en venant dérober vous-même l'avoine de vos chevaux, et que votre cocher, qui était celui d'avant moi, vous donna dans l'obscurité je ne sais combien de coups de bâton, dont vous ne voulûtes rien dire.
Page 96 - Qu'on me l'égorgé tout à l'heure ; qu'on me lui fasse griller les pieds ; qu'on me le mette dans l'eau bouillante, et qu'on me le pende au plancher.
Page 71 - Et moi, pour vous répondre, j'ai à vous dire que les choses sont fort égales ; et que, si vous auriez de la répugnance à me voir votre belle-mère, je n'en aurois pas moins, sans doute, à vous voir mon beau-fils.
Page 63 - On ne saurait aller nulle part où l'on ne vous entende accommoder de toutes pièces. Vous êtes la fable et la risée de tout le monde ; et jamais on ne parle de vous que sous les noms d'avare, de ladre, de vilain et de fesse-mathieu.
Page 94 - De grâce, si l'on sait des nouvelles de mon voleur, je supplie que l'on m'en dise. N'est-il point caché parmi vous ? Ils me regardent tous, et se mettent à rire. Vous verrez qu'ils ont part sans doute au vol que l'on m'a fait. Allons vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes, des potences et des bourreaux.