Oeuvres, Volume 6[Lib. de] Lecointe, 1831 |
From inside the book
Results 1-5 of 21
Page 121
... RASTE , aux musiciens et aux danseurs . SUIVEZ les ordres que je vous ai donnés pour la sérénade . Pour moi , je me retire , et ne veux point paroître ici . SCENE II . UNE MUSICIENNE , DEUX MUSICIENS , CHAN- TANTS ; PLUSIEURS AUTRES ...
... RASTE , aux musiciens et aux danseurs . SUIVEZ les ordres que je vous ai donnés pour la sérénade . Pour moi , je me retire , et ne veux point paroître ici . SCENE II . UNE MUSICIENNE , DEUX MUSICIENS , CHAN- TANTS ; PLUSIEURS AUTRES ...
Page 124
... RASTE . Oui , belle Julie , nous avons dressé pour cela quan- tité de machines ; et nous ne feignons point de mettre tout en usage , sur la permission que vous m'avez donnée . Ne nous demandez point tous les ressorts que nous ferons ...
... RASTE . Oui , belle Julie , nous avons dressé pour cela quan- tité de machines ; et nous ne feignons point de mettre tout en usage , sur la permission que vous m'avez donnée . Ne nous demandez point tous les ressorts que nous ferons ...
Page 125
... RASTE . SBRIGANI . Oui , si je me connois en gens . NÉRINE . Madame , voilà un illustre . Votre affaire ne pouvoit être mise en de meilleures mains , et c'est le héros de notre siecle pour les exploits dont il s'agit ; un homme qui ...
... RASTE . SBRIGANI . Oui , si je me connois en gens . NÉRINE . Madame , voilà un illustre . Votre affaire ne pouvoit être mise en de meilleures mains , et c'est le héros de notre siecle pour les exploits dont il s'agit ; un homme qui ...
Page 126
... RASTE . Au moins , madame , souvenez - vous de votre rôle ; et , pour mieux couvrir notre jeu , feignez , comme on vous a dit , d'être la plus contente du monde des résolutions de votre pere . JULIE . S'il ne tient qu'à cela , les ...
... RASTE . Au moins , madame , souvenez - vous de votre rôle ; et , pour mieux couvrir notre jeu , feignez , comme on vous a dit , d'être la plus contente du monde des résolutions de votre pere . JULIE . S'il ne tient qu'à cela , les ...
Page 127
... RASTE . Ce que je veux que vous me disiez ! JULIE . Oui . É RASTE . Ce qu'on dit quand on aime bien . Mais quoi ? JULIE . É RASTE . Que rien ne pourra vous contraindre ; et que , malgré tous les efforts d'un pere , vous me promettez d ...
... RASTE . Ce que je veux que vous me disiez ! JULIE . Oui . É RASTE . Ce qu'on dit quand on aime bien . Mais quoi ? JULIE . É RASTE . Que rien ne pourra vous contraindre ; et que , malgré tous les efforts d'un pere , vous me promettez d ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
affaire Allons amant amour ANAXARQUE ANSELME ARISTIONE assez Assurément avez beau belle bonté BRINDAVOINE buon dì CALISTE cassette chantants charmes CHOEUR DE PEUPLES chose ciel CLEANTE CLÉONICE CLITIDAS cœur COMMISSAIRE connois connoître dansants diable dieu dire dis-je dix mille écus donner douce É RASTE ÉLISE ENTRÉE DE BALLET ÉOLE ÉRASTE ÉRIPHILE est-ce êtes étoit feux de l'amour fille FLECHE FROSINE gens grace HARPAGON haut-de-chausses Hélas homme honnête INTERMEDE IPHICRATE j'ai j'avois j'en JULIE l'amour L'APOTHICAIRE l'argent L'EXEMPT laisser LUCETTE m'en madame maître Jacques maladie maniere MARIANE MERLUCHE MINISTRES DU SACRIFICE monde monsieur de Pourceaugnac montsir n'ai n'y a rien NÉRINE ORONTE parler pere personne Piglia lo sù PREMIER MÉDECIN PREMIER SUISSE prendre princes princesse Eriphile Qu'est-ce raison RASTE s'il vous plaît sais sauroit SBRIGANI SCENE VII SECOND SUISSE seigneur sentiments sera seroit seul SOSTRATE TIMOCLES TIRCIS tout-à-l'heure VALERE veut veux Voilà vois voudrois yeux
Popular passages
Page 94 - Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde. Sans toi, il m'est impossible de vivre. C'en est fait : je n'en puis plus ; je me meurs ; je suis mort ; je suis enterré.
Page 94 - N'y at-il personne qui veuille me ressusciter en me rendant mon cher argent, ou en m'apprenant qui l'a pris? Euh! que dites-vous?
Page 93 - N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête. (A lui-même, se prenant par le bras.) Rends-moi mon argent, coquin... Ah ! c'est moi ! Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde.
Page 93 - Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! je suis perdu, je suis assassiné ; on m'a coupé la gorge : on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête.
Page 61 - Je ne vous dirai point qu'ils sont sur la litière : les pauvres bêtes n'en ont point, et ce serait mal parler ; mais vous leur faites observer des jeûnes si austères, que ce ne sont plus rien que des idées ou des fantômes, des façons de chevaux. HARPAGON. — Les voilà bien malades ! ils ne font rien. Me. JACQUES. — Et pour ne faire rien, monsieur, est-ce qu'il ne faut rien manger? Il leur vaudrait bien mieux, les pauvres animaux, de travailler beaucoup, de manger de même.
Page 63 - ... gigot de mouton ; celui-ci, que l'on vous surprit une nuit, en venant dérober vous-même l'avoine de vos chevaux, et que votre cocher, qui était celui d'avant moi, vous donna dans l'obscurité je ne sais combien de coups de bâton, dont vous ne voulûtes rien dire.
Page 96 - Qu'on me l'égorgé tout à l'heure ; qu'on me lui fasse griller les pieds ; qu'on me le mette dans l'eau bouillante, et qu'on me le pende au plancher.
Page 71 - Et moi, pour vous répondre, j'ai à vous dire que les choses sont fort égales ; et que, si vous auriez de la répugnance à me voir votre belle-mère, je n'en aurois pas moins, sans doute, à vous voir mon beau-fils.
Page 63 - On ne saurait aller nulle part où l'on ne vous entende accommoder de toutes pièces. Vous êtes la fable et la risée de tout le monde ; et jamais on ne parle de vous que sous les noms d'avare, de ladre, de vilain et de fesse-mathieu.
Page 94 - De grâce, si l'on sait des nouvelles de mon voleur, je supplie que l'on m'en dise. N'est-il point caché parmi vous ? Ils me regardent tous, et se mettent à rire. Vous verrez qu'ils ont part sans doute au vol que l'on m'a fait. Allons vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes, des potences et des bourreaux.