Oeuvres, Volume 2D. F. Changuion, 1775 - 1775 |
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... fort bien être échappés à M. Defpréaux , quoique les deux qu'il a mis dans fon Epitre , paroiffent parodiés en quelque façon de ceux de Corneille . Il fe peut fort bien qu'il n'ait penfé qu'à faire voir le ridicule d'une louan- ge ...
... fort bien être échappés à M. Defpréaux , quoique les deux qu'il a mis dans fon Epitre , paroiffent parodiés en quelque façon de ceux de Corneille . Il fe peut fort bien qu'il n'ait penfé qu'à faire voir le ridicule d'une louan- ge ...
Page 21
... fort de Ta victoire , Et chercher dans la paix une plus jufte gloire ? Ce font là les exploits que Tu dois avouer , Et c'est par là , GRAND ROI , que je Te veux louer . 125 Affez d'autres , fans moi , d'un ftyle moins timide , Suivront ...
... fort de Ta victoire , Et chercher dans la paix une plus jufte gloire ? Ce font là les exploits que Tu dois avouer , Et c'est par là , GRAND ROI , que je Te veux louer . 125 Affez d'autres , fans moi , d'un ftyle moins timide , Suivront ...
Page 22
... fort de la famine entretint l'abondance . 35 On verra les abus par Ta main réformés , REMARQUES . VERS 130. Je dirai les exploits de Ton regne paifible . 1 Les 25 ou 30 Vers fuivants rappellent les principales actions du Roi , depuis qu ...
... fort de la famine entretint l'abondance . 35 On verra les abus par Ta main réformés , REMARQUES . VERS 130. Je dirai les exploits de Ton regne paifible . 1 Les 25 ou 30 Vers fuivants rappellent les principales actions du Roi , depuis qu ...
Page 39
... fort de vos yeux pétillants & troublés , Votre pouls inégal marche à pas redoublés : Quelle fauffe pudeur à feindre vous oblige ? Qu'avez - vous ? Je n'ai rien . Mais ....... Je n'ai rien vous dis - je , REMARQUES . IMIT . Vers 30. Nous ...
... fort de vos yeux pétillants & troublés , Votre pouls inégal marche à pas redoublés : Quelle fauffe pudeur à feindre vous oblige ? Qu'avez - vous ? Je n'ai rien . Mais ....... Je n'ai rien vous dis - je , REMARQUES . IMIT . Vers 30. Nous ...
Page 41
... fort tard , étoit encore au lit la premiere fois qu'il récita cette Epitre à M. Arnauld , qui l'étoit venu voir dès le matin . Quand il en fut à ce vers , il le prononça d'un ton léger & rapide , com- me il doit être récité , pour ...
... fort tard , étoit encore au lit la premiere fois qu'il récita cette Epitre à M. Arnauld , qui l'étoit venu voir dès le matin . Quand il en fut à ce vers , il le prononça d'un ton léger & rapide , com- me il doit être récité , pour ...
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Common terms and phrases
affez ainfi Art Poét Art Poétique auffi Auteur avoient avoit Broffette Brontin BROSSETTE C'eft C'eſt caufe cenfure Chanoine Chant Childebrand chofe Comédie compofé Confeiller Critique d'Horace Defpréaux déja DESP Dieu difant difcours dire efprit Eloge endroit enfuite Epique Epitre eſt étoient étoit faifoit faint fans favoir fecond felon femble fens fent feroit fervir fes Ouvrages feul fiecle fimple foin foit fon Art Poétique font fous fouvent François Frefnaie-Vauquelin ftyle fuccès fuivant fujet grace Héros Homere Horace illuftre IMIT Jacques Corbin jufte l'Auteur l'Edition l'efprit l'Eglife l'Epitre laiffe Latin Livre loix Louis Lutrin maniere MARC Marets Moliere mourut Mufe n'avoit n'eft n'eſt n'étoit paffage paffer par-tout parler paroît penfées Perfonnage perfonne Phedre plaifir plufieurs Poéfie Poëme Epique Poëte Pradon préaux préfente Prélat premiere Edition Prince raifon refte Remarque fur Rhin rime s'eft Sainte-Chapelle Satyre ſes ſon Sonnet Théatre Tragédie VFRS Virgile yeux
Popular passages
Page 225 - Et je me sauve à peine au travers du jardin. Fuyez de ces auteurs l'abondance stérile ; Et ne vous chargez point d'un détail inutile. Tout ce qu'on dit de trop est fade et rebutant ; L'esprit rassasié le rejette à l'instant. Qui ne sait se borner ne sut jamais écrire. Souvent la peur d'un mal nous conduit dans un pire.
Page 91 - l'appétit l'assaisonne. 0 fortuné séjour ! ô champs aimés des cieux ! Que , pour jamais foulant vos prés délicieux , Ne puis-je ici fixer ma course vagabonde , • Et , connu de vous seuls , oublier tout le monde...
Page 244 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 279 - Ce n'est pas quelquefois qu'une muse un peu fine Sur un mot, en passant, ne joue et ne badine, Et d'un sens détourné n'abuse avec succès ; Mais fuyez sur ce point un ridicule excès, Et n'allez pas toujours d'une pointe frivole Aiguiser par la queue une épigramme folle.
Page 242 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée.
Page 297 - D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable. Ainsi, pour nous charmer, la tragédie en pleurs D'Oedipe tout sanglant fit parler les douleurs, D'Oreste parricide exprima les alarmes, Et, pour nous divertir, nous arracha des larmes.
Page 93 - Et d'attentat horrible on traita la satire. Et le roi, que dit-il? Le roi se prit à rire. Contre vos derniers vers on est fort en courroux : Pradon a mis au jour un livre contre vous ; Et chez le chapelier...
Page 33 - La Justice passa, la balance à la main. Devant elle à grand bruit ils expliquent la chose; Tous deux avec dépens veulent gagner leur cause. La Justice, pesant ce droit litigieux, Demande l'huître, l'ouvre, et l'avale à leurs yeux ; Et par ce bel arrêt terminant la bataille : Tenez, voilà, dit-elle, à chacun une écaille. Des sottises d'autrui nous vivons au palais. Messieurs, l'huître était bonne. Adieu. Vivez en paix.
Page 78 - C'est au repos d'esprit que nous aspirons tous , Mais ce repos heureux se doit chercher en nous. Un fou rempli d'erreurs , que le trouble accompagne , Et malade à la ville ainsi qu'à la campagne , En vain monte à cheval pour tromper son ennui : Le chagrin monte en croupe et galope avec lui.
Page 243 - Marchez donc fur fes pas, aimez fa pureté, Et de fon tour heureux imitez la clarté. Si le fens de vos vers tarde à fe faire entendre...