 | Nicolas Boileau Despréaux - 1800
...C'est encor pis vingt fois en quittant la maison : En quelque endroit que j'aille , il fant fenilir la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse: L'un me heurte d'un ais dont je suis tont froiwc ; Je vois d'un antre coup mon chapeau reuversé. Là d'un enterrement la funebr« ordounance... | |
 | Nicolas Boileau-Despréaux - 1800
...vingt fois en quittant la maison : Eu quelque endroit que j'aille, il fant fendre la preste .l)'uo peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse: L'un me heurte d'un ais dont je suis tont froissé ; Je vois d'un antre coup mon chapeau reuversé. Là d'un enterrement la funebre ordonnance... | |
 | Juvenal - 1811
...jour à votre ignominie. Sat. 6. Est-ce donc pour veiller qu'on se couche à Paris ? En qaelqu'endroit que j'aille il faut fendre la presse D'un peuple d'importuns...heurte d'un ais dont je suis tout froissé. Je vois d'un autre conp mon chapeau renverséLà sur une charrette, nne poutre branlante Vient menaçant de... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1815
...bruit de la grêle et des vents, Pour honorer les morts font mourir les vivants. Encor je bénirois la bonté souveraine Si le. ciel à ces maux avoit...heurte d'un ais dont je suis tout froissé; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Là d'un enterrement la funèbre ordonnance D'un pas lugubre... | |
 | Charles-Constant Le Tellier - French poetry - 1815 - 285 pages
..., C'est encor pis vingt fois en quittant la maison : Kn quelque endroit que j'aille, il faut fondre la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse. L'un me heurte d'un ais dont je suis lout froissé ; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Lià d'un enterrement la funèbre ordonnance... | |
 | L. Philipon-La-Madelaine - 1817
...ailles , qu'il ou qu'elle aille. Pluriel , qu'ils ou qu'elles aillent. En quelque endroit que faille , il faut fendre la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse. B oi LEA v. AILE , sf ELLE , pro. Quoique la première syllabe soit longue dans aile, et brève dans... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1821
...mandrae Eripient somnum Druso, etc. Pour honorer les morts font mourir les vivants ' . Encor je bénirois la bonté souveraine , Si le ciel à ces maux avoit...heurte d'un ais dont je suis tout froissé; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Là d'un enterrement la funèbre ordonnance 4 Mourir est un... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1821
...vivants. Encor je bénirois la bonté souveraine, Si le ciel à ces maux avoit borné ma peine [i]. Mais si seul en mon lit je peste avec raison, C'est...L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé [c]; [a] Le Brun garde le silence sur le mot émues; nous verrons plus bas sa remarque sur le mot émouvoir,... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1875
...avoit borné ma peine 9 ; Mais si seul en mon lit je peste10 avec raison, C'est encor pis vingt fois eu quittant la maison : En quelque endroit que j'aille,...heurte d'un ais dont je suis tout froissé "; Je vois d'un autre cuup mon chape:m renversé. Là, d'un enterrement la funèbre ordonnance, D'un pas lugubre... | |
 | Nicolas Boileau-Despréaux - 1823 - 382 pages
...pis vingt fois en quittant la maison : En quelque endroit que j'aille, il faut fendre la presse iJ'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse : L'un...heurte d'un ais dont je suis tout froissé ; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Là d'un enterrement la funèbre ordonnance D'un pas lugubre... | |
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