Histoire de France: pendant le dix-huitième siècle, Volume 7

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Delaunay, 1821 - France
 

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Page 13 - tres et au soulagement des pauvres , sous » la surveillance et d'après les instructions » des provinces ; 2". que dans les disposi» tions à faire pour l'entretien des minis» tres de la religion, il ne pourra être as•• suré à la dotation d'aucune cure moins » de douze cents livres par année, non com
Page 429 - entendu les désirs et les représentations de Monsieur, frère du roi de France , et de SA le-comle d'Artois, déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement le roi de France, comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe. Ils espèrent que cet intérêt ne peut manquer
Page 429 - et le roi de Prusse sont résolus d'agir promptement, d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires pour obtenir le but proposé en commun. En attendant, elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité. Donné à Pilnitz, le 27
Page 39 - na» tion, à la loi et au roi; et de maintenir de » tout mon pouvoir, en tout ce qui est de «l'ordre politique, la constitution décrétée «par l'assemblée nationale et
Page 70 - fallu entendre rugir le monstre. » »C'est une étrange manie ,' dit Mirabeau, » c'est un déplorable aveuglement que celui » qui anime ainsi les uns contre les autres » des hommes qu'un même but, un senti»ment indestructible devraient, au milieu » des débats les plus acharnés, toujours rap»procher, toujours réunir, des hommes qui » substituent ainsi l'irrascibilité de
Page 382 - librement, fera que notre sainte religion sera respectée, que le gouvernement sera établi sur un pied stable, et que par son action les biens et l'état de chacun ne seront plus troublés, que les lois ne se- , ront plus enfreintes impunément, et qu'enfin la liberté sera posée sur des bases fermes et inébranlables.
Page 71 - l'avoir compris, m'accusent d'encenser des » idoles impuissantes au moment où elles » sont renversées, ou d'être le vil stipendié » des hommes que je n'ai cessé de combat» tre ; qu'ils dénoncent comme un ennemi » de la révolution celui qui peut-être n'y » a pas été inutile, et qui, cette
Page 382 - Le roi défend à ses ministres de signer aucun, ordre en son nom, jusqu'à ce qu'ils aient reçu ses ordres ultérieurs ; il enjoint à son garde du sceau de l'état de le lui renvoyer d'abord qu'il en sera requis . de sa part. Signé LOUIS. A Paris, le 2o juin i79i.
Page 123 - en eux par des actes et des mesures »cruelles. Pour moi, loin de souscrire jamais » à des mesures aussi atroces, je déclare que je »me croirais délié de tout serment de fidélité » envers ceux qui auraient l'infamie de nom» mer une commission dictatoriale. Lesmur
Page 300 - et la Moselle, a conçu le projet de renverser la » constitution ; qu'à cet effet, il a cherché à se faire » un parti dans l'empire, sollicité et exécuté des » ordres non-contresignés, attiré le roi et sa fa» mille dans une ville de son commandement, » disposé des détachemens, fait marcher des trou

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