Johann Elias SchlegelLipsius & Tischer, 1892 - 219 pages |
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... viel Anakreontisches , mit den Jahren nehmen die Episteln zu , dazwischen stehen Arien ( Cantaten ) und Erzählungen , bis dann Ende der dreißiger und Anfang der vierziger Jahre religiöse Gedichte voll Gottvertrauen überwiegen . Hier ...
... viel Anakreontisches , mit den Jahren nehmen die Episteln zu , dazwischen stehen Arien ( Cantaten ) und Erzählungen , bis dann Ende der dreißiger und Anfang der vierziger Jahre religiöse Gedichte voll Gottvertrauen überwiegen . Hier ...
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... viel Gefallen fand , daß sie die Tragödie Anfang 1739 in Leipzig zur Aufführung brachte.29 ) Seitdem hat sich das Stück , später in der Um- arbeitung als „ Dreft und Pylades “ , ungefähr ein Viertel- jahrhundert auf der deutschen Bühne ...
... viel Gefallen fand , daß sie die Tragödie Anfang 1739 in Leipzig zur Aufführung brachte.29 ) Seitdem hat sich das Stück , später in der Um- arbeitung als „ Dreft und Pylades “ , ungefähr ein Viertel- jahrhundert auf der deutschen Bühne ...
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... viel Ver- gnügen entstehen . . . Es ist also , " bildet den Schlußstein dieses Luftgebäudes , eine beständige Regel in allen denen- jenigen Dingen , welche man nachahmet , daß man sie niemals ihrem Muster so vollkommen ähnlich machen ...
... viel Ver- gnügen entstehen . . . Es ist also , " bildet den Schlußstein dieses Luftgebäudes , eine beständige Regel in allen denen- jenigen Dingen , welche man nachahmet , daß man sie niemals ihrem Muster so vollkommen ähnlich machen ...
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... viel empfind- lichere Annehmlichkeit " gebe ; ferner in der feinen An- merkung , daß Vers und Reim den Dichter zu größerer Abrundung der Gedanken nöthigen ; schließlich in der auf den ersten Blick überraschenden Wendung , daß wir oft ...
... viel empfind- lichere Annehmlichkeit " gebe ; ferner in der feinen An- merkung , daß Vers und Reim den Dichter zu größerer Abrundung der Gedanken nöthigen ; schließlich in der auf den ersten Blick überraschenden Wendung , daß wir oft ...
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Eugen Wolff. unerwiderter Liebe die Schändung vollführen ; Lucretien aber giebt er so viel Keuschheit und Würde , daß nirgends ein Gefühl des Ekels oder auch nur Unbehagens aufkommt . Es ist ein ehrendes Zeugniß für Schlegels ...
Eugen Wolff. unerwiderter Liebe die Schändung vollführen ; Lucretien aber giebt er so viel Keuschheit und Würde , daß nirgends ein Gefühl des Ekels oder auch nur Unbehagens aufkommt . Es ist ein ehrendes Zeugniß für Schlegels ...
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Popular passages
Page 89 - JACQUES Est-ce à votre cocher, monsieur, ou bien à votre cuisinier, que vous voulez parler ? car je suis l'un et l'autre, 547 HARPAGON C'est à tous les deux.
Page 125 - C'est , de la tête aux pieds , un homme tout mystère , Qui vous jette, en passant, un coup d'œil égaré, Et, sans aucune affaire, est toujours affairé. Tout ce qu'il vous débite en grimaces abonde; A force de façons , il assomme le monde ; Sans cesse il a , tout bas , pour rompre l'entretien...
Page 53 - C'est, de la tête aux pieds, un homme tout mystère, Qui vous jette, en passant, un coup d'œil égaré, Et sans aucune affaire, est toujours affairé. Tout ce qu'il vous débite, en grimaces abonde; A force de façons, il assomme le monde, Sans cesse il a tout bas pour rompre l'entretien Un secret à vous dire, et ce secret n'est rien; De la moindre vétille il fait une merveille, Et jusques au bonjour, il dit tout à l'oreille.
Page 169 - Isabelle.) Levez la tête. Encor. Soyez droite. Approchez. Faut-il tendre toujours le dos quand vous marchez ? Présentez mieux la gorge , et baissez cette épaule.
Page 147 - ... 3° sa majesté établira une personne de probité et de capacité comme directeur, intendant ou grand-maître des théâtres et des jeux publics en France, qui aura soin que le théâtre se maintienne en l'honnêteté, qui veillera sur les actions des comédiens et qui en rendra compte au roi pour y donner l'ordre nécessaire.
Page 79 - Les imitations les plus ressemblantes aux choses qu'elles imitent, ne sont pas les plus belles productions de l'art, ce sont celles qui imitent de la manière la plus parfaite, qui doivent l'emporter sur les autres...
Page 35 - Je dis que le Poète par sa nature n'est pas seulement imitateur, de sorte qu'il ait le choix libre des moyens qu'il employera pour imiter, mais qu'il est assujetti à employer les vers pour faire son imitation. — Le Peintre, le Musicien, le Poete ont pour objet l'imitation. Le Peintre imite avec les couleurs ; le Musicien avec les sons •, et le Poète a mis en œuvre certains mots choisis, dont l'union différente dans une mesure invariable, produit une modulation variable à l'infini'2).
Page 79 - Quant à moi j'ai toujours cru, et je n'étais pas seul de mon opinion, que la nature toute simple, et toute pure serait froide sur la scène, et j'en ai vu l'expérience en plusieurs comédiens. Ainsi suivant ce principe. j'ai pensé qu'il fallait un peu charger l'action, et sans trop s'éloigner de la nature ajouter quelque art dans la déclamation : de même qu'une statue qu'on veut placer dans le lointain doit être plus...
Page 28 - En quoi paroît la nécessité qu'il ya d'expliquer les décorations par les vers, pour joindre le sujet avec le lieu, et les actions avec les choses, et pour faire ingénieusement un tout bien ordonné par une juste liaison de toutes les parties qui le composent.
Page 79 - Synesius a fort bien dit que la poésie et les autres arts qui ne sont fondés qu'en imitation, ne suivent pas la vérité, mais l'opinion et le sentiment ordinaire des hommes.