Johann Elias SchlegelLipsius & Tischer, 1892 - 219 pages |
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... später sein Bruder Adolf folgte . ) Schon in Meißen hatte Elias , angeregt durch die Gedichte von Neukirch , Hanke und wohl nicht in leßter Linie durch die poetischen Versuche seines Vaters , erträgliche deutsche Verse verfaßt , auch ...
... später sein Bruder Adolf folgte . ) Schon in Meißen hatte Elias , angeregt durch die Gedichte von Neukirch , Hanke und wohl nicht in leßter Linie durch die poetischen Versuche seines Vaters , erträgliche deutsche Verse verfaßt , auch ...
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... später ) unterzogen wurde ; auch dieses Werk erhielt 1742 einen veränderten Titel „ Orest und Pylades " . 21 ) Aus der Weise , in welcher Schlegel hier seine Quelle bearbeitete , spricht bereits die klare Erkenntniß mancher un ...
... später ) unterzogen wurde ; auch dieses Werk erhielt 1742 einen veränderten Titel „ Orest und Pylades " . 21 ) Aus der Weise , in welcher Schlegel hier seine Quelle bearbeitete , spricht bereits die klare Erkenntniß mancher un ...
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... später Goethe in seiner „ Iphigenie “ antike Größe durch das Ideal moderner Humanität verklärt ? Auch Goethe läßt , wie Schlegel , nicht ohne Absicht Orest auf offener Scene in seine Raserei verfallen , während sich der antike Dichter ...
... später Goethe in seiner „ Iphigenie “ antike Größe durch das Ideal moderner Humanität verklärt ? Auch Goethe läßt , wie Schlegel , nicht ohne Absicht Orest auf offener Scene in seine Raserei verfallen , während sich der antike Dichter ...
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... später Schiller auf der Karlsschule hielt . Begeistert beschloß man , sich an die Auf- führung der Stücke zu wagen . Ein solches Beginnen wider- sprach indessen zu offenbar den Geseßen und Gewohnheiten der Fürstenschule , als daß an ein ...
... später Schiller auf der Karlsschule hielt . Begeistert beschloß man , sich an die Auf- führung der Stücke zu wagen . Ein solches Beginnen wider- sprach indessen zu offenbar den Geseßen und Gewohnheiten der Fürstenschule , als daß an ein ...
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... später häufig , das Manuscript seiner Geschwister in Taurien " in befreundete Hand gab , gelangte es vor die Augen der Neuberin , welche namentlich an der „ Feinheit und Gewähltheit des Stils " so viel Gefallen fand , daß sie die ...
... später häufig , das Manuscript seiner Geschwister in Taurien " in befreundete Hand gab , gelangte es vor die Augen der Neuberin , welche namentlich an der „ Feinheit und Gewähltheit des Stils " so viel Gefallen fand , daß sie die ...
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Popular passages
Page 89 - JACQUES Est-ce à votre cocher, monsieur, ou bien à votre cuisinier, que vous voulez parler ? car je suis l'un et l'autre, 547 HARPAGON C'est à tous les deux.
Page 125 - C'est , de la tête aux pieds , un homme tout mystère , Qui vous jette, en passant, un coup d'œil égaré, Et, sans aucune affaire, est toujours affairé. Tout ce qu'il vous débite en grimaces abonde; A force de façons , il assomme le monde ; Sans cesse il a , tout bas , pour rompre l'entretien...
Page 53 - C'est, de la tête aux pieds, un homme tout mystère, Qui vous jette, en passant, un coup d'œil égaré, Et sans aucune affaire, est toujours affairé. Tout ce qu'il vous débite, en grimaces abonde; A force de façons, il assomme le monde, Sans cesse il a tout bas pour rompre l'entretien Un secret à vous dire, et ce secret n'est rien; De la moindre vétille il fait une merveille, Et jusques au bonjour, il dit tout à l'oreille.
Page 169 - Isabelle.) Levez la tête. Encor. Soyez droite. Approchez. Faut-il tendre toujours le dos quand vous marchez ? Présentez mieux la gorge , et baissez cette épaule.
Page 147 - ... 3° sa majesté établira une personne de probité et de capacité comme directeur, intendant ou grand-maître des théâtres et des jeux publics en France, qui aura soin que le théâtre se maintienne en l'honnêteté, qui veillera sur les actions des comédiens et qui en rendra compte au roi pour y donner l'ordre nécessaire.
Page 79 - Les imitations les plus ressemblantes aux choses qu'elles imitent, ne sont pas les plus belles productions de l'art, ce sont celles qui imitent de la manière la plus parfaite, qui doivent l'emporter sur les autres...
Page 35 - Je dis que le Poète par sa nature n'est pas seulement imitateur, de sorte qu'il ait le choix libre des moyens qu'il employera pour imiter, mais qu'il est assujetti à employer les vers pour faire son imitation. — Le Peintre, le Musicien, le Poete ont pour objet l'imitation. Le Peintre imite avec les couleurs ; le Musicien avec les sons •, et le Poète a mis en œuvre certains mots choisis, dont l'union différente dans une mesure invariable, produit une modulation variable à l'infini'2).
Page 79 - Quant à moi j'ai toujours cru, et je n'étais pas seul de mon opinion, que la nature toute simple, et toute pure serait froide sur la scène, et j'en ai vu l'expérience en plusieurs comédiens. Ainsi suivant ce principe. j'ai pensé qu'il fallait un peu charger l'action, et sans trop s'éloigner de la nature ajouter quelque art dans la déclamation : de même qu'une statue qu'on veut placer dans le lointain doit être plus...
Page 28 - En quoi paroît la nécessité qu'il ya d'expliquer les décorations par les vers, pour joindre le sujet avec le lieu, et les actions avec les choses, et pour faire ingénieusement un tout bien ordonné par une juste liaison de toutes les parties qui le composent.
Page 79 - Synesius a fort bien dit que la poésie et les autres arts qui ne sont fondés qu'en imitation, ne suivent pas la vérité, mais l'opinion et le sentiment ordinaire des hommes.