Oeuvres complètes de Voltaire. Tome premiere. [-, Volume 1; Volume 40

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De Imprimerie de la Société littéraire-typographique., 1785

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Page 452 - Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois , Et crois toujours la voir pour la première fois.
Page 183 - La plus jolie parmi les modernes fut celle de la Folie, qui, ayant crevé les yeux à l'Amour, est condamnée à lui servir de guide 3.
Page 527 - Vous n'entendez point ici parler de haute, moyenne et basse justice, ni du droit de chasser sur les terres d'un Citoyen, lequel n'a pas la liberté de tirer un coup de fusil sur son propre champ.
Page 25 - Je vois monter nos cohortes La flamme et le fer en main ; Et sur les monceaux de piques , De corps morts, de rocs, de briques, S'ouvrir un large chemin.
Page 485 - Il n'en est pas de même dans les arts; comme ils ont des beautés réelles, il ya un bon goût qui les discerne et un mauvais goût qui les ignore et on corrige souvent le défaut d'esprit qui donne un goût de travers.
Page 346 - Notre Magot prit pour ce coup Le nom d'un port pour un nom d'homme.
Page 23 - Vous , chez qui la guerrière audace Tient lieu de toutes les vertus , Concevez Socrate à la place Du fier meurtrier de Clitus. Vous verrez un roi respectable , Humain , généreux , équitable , Un roi digne de vos autels. Mais , à la place de Socrate , Le fameux vainqueur de l'Euphrate Sera le dernier des mortels.
Page 565 - Mais, entre les sociétés, le droit de la défense naturelle entraîne quelquefois la nécessité d'attaquer, lorsqu'un peuple voit qu'une plus longue paix en mettrait un autre en état- de le détruire, et que l'attaque est dans ce moment le seul moyen d'empêcher cette destruction.
Page 366 - L'a fait pour son malheur pencher vers ma rivale. Nous le verrions encor nous partager ses soins ; II m'aimerait peut-être ; il le feindrait du moins. Adieu. Tu peux partir. Je demeure en Epire : Je renonce à la Grèce, à Sparte, à son empire, A toute ma famille ; et c'est assez pour moi.
Page 487 - Si vous aviez, dans les combats, D'Amadis l'armure enchantée, Comme vous en avez le bras Et la vaillance tant vantée, De votre ardeur précipitée, Seigneur, je ne me plaindrais pas.

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