Histoire des Girondins, Volume 1Furne, 1848 - France |
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... royale propre à populariser le roi . Tantôt il veut acheter les applaudissements des tribunes et croit que la nation lui sera vendue avec eux . La petitesse des moyens de salut contraste avec l'immensité croissante des pé- rils . Le ...
... royale propre à populariser le roi . Tantôt il veut acheter les applaudissements des tribunes et croit que la nation lui sera vendue avec eux . La petitesse des moyens de salut contraste avec l'immensité croissante des pé- rils . Le ...
Page 33
... royale qui prêtait au- tant au premier coup d'œil à la moquerie qu'à la vénération , et que ses ennemis travestirent avec une perversité impie pour montrer au peuple dans les traits du prince le symbole des vices qu'ils voulaient ...
... royale qui prêtait au- tant au premier coup d'œil à la moquerie qu'à la vénération , et que ses ennemis travestirent avec une perversité impie pour montrer au peuple dans les traits du prince le symbole des vices qu'ils voulaient ...
Page 43
... royale , repentir , faiblesse , terreur et fuite , tout était conçu , tenté , pré- paré , arrêté , abandonné le même jour . Les femmes , si sublimes dans le dévouement , sont rarement capa- bles de l'esprit de suite et d ...
... royale , repentir , faiblesse , terreur et fuite , tout était conçu , tenté , pré- paré , arrêté , abandonné le même jour . Les femmes , si sublimes dans le dévouement , sont rarement capa- bles de l'esprit de suite et d ...
Page 50
... royale , comblés des faveurs et des pensions du roi , avaient ces éclatantes défec- tions de Mirabeau sans avoir l'excuse de ses griefs contre la monarchie ; cette défection était un de leurs titres à la faveur populaire . Hommes ...
... royale , comblés des faveurs et des pensions du roi , avaient ces éclatantes défec- tions de Mirabeau sans avoir l'excuse de ses griefs contre la monarchie ; cette défection était un de leurs titres à la faveur populaire . Hommes ...
Page 80
... royale par quelque abaissement ou par quelque outrage , il recommençait à désespérer de la consti- tution et à se prémunir contre elle . L'incohérence de ses pensées était plutôt le crime de sa situation que le sien ; mais elle ...
... royale par quelque abaissement ou par quelque outrage , il recommençait à désespérer de la consti- tution et à se prémunir contre elle . L'incohérence de ses pensées était plutôt le crime de sa situation que le sien ; mais elle ...
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Common terms and phrases
applaudissements armée assemblée avaient Bailly Barnave Bouillé Brissot C'était Camille Desmoulins Cazalès Champ-de-Mars chevaux citoyens clergé club des Jacobins clubs cœur comte comte de Fersen constitutionnel cour crime culte Danton décret démocratie députés Desmoulins devait dévouement discours émigrés ennemis esprit eût factieux factions famille royale fanatisme Fayette femme force foule fuite garde nationale génie Girondins Goguelat gouvernement guerre haine heures homme d'État Jacobins jour l'aristocratie l'Assem l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'émigration l'empereur l'empire l'esprit l'Europe l'homme laisser Lameth législatif liberté lois Louis XVI lui-même madame Élisabeth mains marquis de Bouillé ment ministres Mirabeau monarchie mouvement n'avait n'était nation noblesse officiers paroles passions patrie patriotes pensée Pétion peuple philosophie politique populaire portes pouvait pouvoir prêtres prince Prusse publique puissance qu'un reine république reste Révolution Robespierre royauté s'était Sainte-Menehould sang secret semblait sentait serait seul sort Stenay tion tribune triomphe trône troupes Tuileries tution Varennes vices voitures Voltaire voulait
Popular passages
Page 338 - Alors, et dans ce cas, Leurs dites Majestés l'empereur et le roi de Prusse sont résolues d'agir promptement, d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires pour obtenir le but proposé et commun. En attendant, elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité.
Page 369 - Les ennemis de notre repos ne chercheront que trop à nous désunir; mais que l'amour de la patrie nous rallie, et que l'intérêt public nous rende inséparables. Ainsi la...
Page 337 - Prusse, ayant entendu les désirs et les représentations de Monsieur et de M. le comte d'Artois, se déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement le roi de France comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe.
Page 438 - ... révolution moderne appelait les gentils comme les « juifs au partage de la lumière et de la fraternité. Aussi « n'y eut-il pas un de ses apôtres qui ne proclamât la paix « entre les peuples. Mirabeau, Lafayette, Robespierre lui« même, effacèrent la guerre du symbole qu'ils présen
Page 193 - Aujourd'hui, messieurs, tout le monde doit sentir que l'intérêt commun est que la révolution s'arrête : ceux qui ont perdu doivent s'apercevoir qu'il est impossible de la faire rétrograder, et qu'il ne...
Page 167 - Sire, Votre Majesté connaît mon attachement pour elle ; mais je ne lui ai pas laissé ignorer que, si elle séparait sa cause de celle du peuple , je resterais du côté du peuple.
Page 188 - Non, Messieurs, il faut ou prononcer sur tous les coupables, ou prononcer l'absolution générale de tous les coupables. Voici, en dernier mot, l'avis que je propose. Je propose que l'Assemblée décrète qu'elle consultera le vœu de la nation pour statuer sur le sort du roi...
Page 338 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 438 - Universelle comme l'humanité, elle n'eut pas l'égoïsme de s'isoler. Elle voulut donner et non dérober. Elle voulut se répandre par le droit et non par la force. Essentiellement spiritualiste, elle n'affecta d'autre empire pour la France que l'empire volontaire de l'imitation sur l'esprit humain. » Son œuvre était prodigieuse, ses moyens nuls; tout ce que l'enthousiasme lui inspire, l'Assemblée l'entreprend et l'achève, sans roi, sans chef militaire, sans dictateur, sans armée, sans autre...
Page 191 - Ceux qui veulent ainsi sacrifier la Constitution à leur ressentiment pour un homme me paraissent trop sujets à sacrifier la liberté par enthousiasme pour un autre; et puisqu'ils aiment la république, c'est bien aujourd'hui le moment de leur dire...