Histoire des Girondins, Volume 1Furne, 1848 - France |
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... reste était révolu- tionné , et l'esprit des clubs y avait soufflé l'insubor- dination et le mépris des ordres du roi ; les régiments obéissaient plus aux municipalités qu'aux généraux . V. Dès le mois de février 1794 , le roi , qui se ...
... reste était révolu- tionné , et l'esprit des clubs y avait soufflé l'insubor- dination et le mépris des ordres du roi ; les régiments obéissaient plus aux municipalités qu'aux généraux . V. Dès le mois de février 1794 , le roi , qui se ...
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... reste . Peu de jours avant le départ , il envoya un million en assignats à M. de Bouillé pour servir aux achats secrets de ra- tions et de fourrage et à la solde des troupes dévouées qui devaient seconder le projet . Ces dispositions ...
... reste . Peu de jours avant le départ , il envoya un million en assignats à M. de Bouillé pour servir aux achats secrets de ra- tions et de fourrage et à la solde des troupes dévouées qui devaient seconder le projet . Ces dispositions ...
Page 113
... Reste de la féodalité , piége sinistre où la noblesse prenait jadis les peuples , et où , par un retour étrange , le peuple devait prendre un jour toute une monarchie . Les voitures sont à peine engagées dans l'obscurité de cette voûte ...
... Reste de la féodalité , piége sinistre où la noblesse prenait jadis les peuples , et où , par un retour étrange , le peuple devait prendre un jour toute une monarchie . Les voitures sont à peine engagées dans l'obscurité de cette voûte ...
Page 116
... reste elle - même la plus insensible . Pendant que le roi harangue les officiers municipaux , la princesse éplorée , ses enfants sur ses genoux , assise dans la boutique entre deux ballots de marchandises , montre ses enfants à ma- dame ...
... reste elle - même la plus insensible . Pendant que le roi harangue les officiers municipaux , la princesse éplorée , ses enfants sur ses genoux , assise dans la boutique entre deux ballots de marchandises , montre ses enfants à ma- dame ...
Page 126
... reste de monarchie . On parle de rapports secrets entre Bar- nave et le roi , de départ concerté , de mesures mas- quées ; mais ces rumeurs , adoptées par La Fayette lui - même dans ses Mémoires , n'avaient pas éclaté alors elles sont ...
... reste de monarchie . On parle de rapports secrets entre Bar- nave et le roi , de départ concerté , de mesures mas- quées ; mais ces rumeurs , adoptées par La Fayette lui - même dans ses Mémoires , n'avaient pas éclaté alors elles sont ...
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Common terms and phrases
applaudissements armée assemblée avaient Bailly Barnave Bouillé Brissot C'était Camille Desmoulins Cazalès Champ-de-Mars chevaux citoyens clergé club des Jacobins clubs cœur comte comte de Fersen constitutionnel cour crime culte Danton décret démocratie députés Desmoulins devait dévouement discours émigrés ennemis esprit eût factieux factions famille royale fanatisme Fayette femme force foule fuite garde nationale génie Girondins Goguelat gouvernement guerre haine heures homme d'État Jacobins jour l'aristocratie l'Assem l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'émigration l'empereur l'empire l'esprit l'Europe l'homme laisser Lameth législatif liberté lois Louis XVI lui-même madame Élisabeth mains marquis de Bouillé ment ministres Mirabeau monarchie mouvement n'avait n'était nation noblesse officiers paroles passions patrie patriotes pensée Pétion peuple philosophie politique populaire portes pouvait pouvoir prêtres prince Prusse publique puissance qu'un reine république reste Révolution Robespierre royauté s'était Sainte-Menehould sang secret semblait sentait serait seul sort Stenay tion tribune triomphe trône troupes Tuileries tution Varennes vices voitures Voltaire voulait
Popular passages
Page 338 - Alors, et dans ce cas, Leurs dites Majestés l'empereur et le roi de Prusse sont résolues d'agir promptement, d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires pour obtenir le but proposé et commun. En attendant, elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité.
Page 369 - Les ennemis de notre repos ne chercheront que trop à nous désunir; mais que l'amour de la patrie nous rallie, et que l'intérêt public nous rende inséparables. Ainsi la...
Page 337 - Prusse, ayant entendu les désirs et les représentations de Monsieur et de M. le comte d'Artois, se déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement le roi de France comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe.
Page 438 - ... révolution moderne appelait les gentils comme les « juifs au partage de la lumière et de la fraternité. Aussi « n'y eut-il pas un de ses apôtres qui ne proclamât la paix « entre les peuples. Mirabeau, Lafayette, Robespierre lui« même, effacèrent la guerre du symbole qu'ils présen
Page 193 - Aujourd'hui, messieurs, tout le monde doit sentir que l'intérêt commun est que la révolution s'arrête : ceux qui ont perdu doivent s'apercevoir qu'il est impossible de la faire rétrograder, et qu'il ne...
Page 167 - Sire, Votre Majesté connaît mon attachement pour elle ; mais je ne lui ai pas laissé ignorer que, si elle séparait sa cause de celle du peuple , je resterais du côté du peuple.
Page 188 - Non, Messieurs, il faut ou prononcer sur tous les coupables, ou prononcer l'absolution générale de tous les coupables. Voici, en dernier mot, l'avis que je propose. Je propose que l'Assemblée décrète qu'elle consultera le vœu de la nation pour statuer sur le sort du roi...
Page 338 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 438 - Universelle comme l'humanité, elle n'eut pas l'égoïsme de s'isoler. Elle voulut donner et non dérober. Elle voulut se répandre par le droit et non par la force. Essentiellement spiritualiste, elle n'affecta d'autre empire pour la France que l'empire volontaire de l'imitation sur l'esprit humain. » Son œuvre était prodigieuse, ses moyens nuls; tout ce que l'enthousiasme lui inspire, l'Assemblée l'entreprend et l'achève, sans roi, sans chef militaire, sans dictateur, sans armée, sans autre...
Page 191 - Ceux qui veulent ainsi sacrifier la Constitution à leur ressentiment pour un homme me paraissent trop sujets à sacrifier la liberté par enthousiasme pour un autre; et puisqu'ils aiment la république, c'est bien aujourd'hui le moment de leur dire...