Histoire des Girondins, Volume 1Furne, 1848 - France |
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... parlait par toutes les langues . Le ha- sard ou la Providence avait voulu que ce siècle , presque stérile ailleurs , fût le siècle de la France . Depuis la fin du règne de Louis XIV jusqu'au com- mencement du règne de Louis XVI , la ...
... parlait par toutes les langues . Le ha- sard ou la Providence avait voulu que ce siècle , presque stérile ailleurs , fût le siècle de la France . Depuis la fin du règne de Louis XIV jusqu'au com- mencement du règne de Louis XVI , la ...
Page 41
... parlait de son épée . Il riait de la crise . Il dédaignait ce bruit de paroles , il cabalait contre les ministres , il flétrissait les transactions . La reine , enivrée d'adu- lations par cet entourage , poussait le roi à reprendre le ...
... parlait de son épée . Il riait de la crise . Il dédaignait ce bruit de paroles , il cabalait contre les ministres , il flétrissait les transactions . La reine , enivrée d'adu- lations par cet entourage , poussait le roi à reprendre le ...
Page 67
... parlait de liberté dans une langue de cour . Le seul acte par- lementaire de M. de La Fayette fut la proclamation des droits de l'homme qu'il fit adopter par l'Assem- blée nationale . Ce décalogue de l'homme libre , re- trouvé dans les ...
... parlait de liberté dans une langue de cour . Le seul acte par- lementaire de M. de La Fayette fut la proclamation des droits de l'homme qu'il fit adopter par l'Assem- blée nationale . Ce décalogue de l'homme libre , re- trouvé dans les ...
Page 150
... parlait allemand , voulut dire quel- ques mots dans cette langue à la reine , et prendre ses ordres sans qu'ils pussent être compris des per- sonnes présentes à l'entrevue . « Parlez français , mon- » sieur , » lui dit la reine , « on ...
... parlait allemand , voulut dire quel- ques mots dans cette langue à la reine , et prendre ses ordres sans qu'ils pussent être compris des per- sonnes présentes à l'entrevue . « Parlez français , mon- » sieur , » lui dit la reine , « on ...
Page 201
... parlait de lui décerner , le duc d'Orléans écrivit aux journaux qu'il était prêt à servir la patrie sur terre et sur mer ; mais que s'il était question de régence , il renonçait dès ce moment et pour toujours aux droits que la ...
... parlait de lui décerner , le duc d'Orléans écrivit aux journaux qu'il était prêt à servir la patrie sur terre et sur mer ; mais que s'il était question de régence , il renonçait dès ce moment et pour toujours aux droits que la ...
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Common terms and phrases
applaudissements armée assemblée avaient Bailly Barnave Bouillé Brissot C'était Camille Desmoulins Cazalès Champ-de-Mars chevaux citoyens clergé club des Jacobins clubs cœur comte comte de Fersen constitutionnel cour crime culte Danton décret démocratie députés Desmoulins devait dévouement discours émigrés ennemis esprit eût factieux factions famille royale fanatisme Fayette femme force foule fuite garde nationale génie Girondins Goguelat gouvernement guerre haine heures homme d'État Jacobins jour l'aristocratie l'Assem l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'émigration l'empereur l'empire l'esprit l'Europe l'homme laisser Lameth législatif liberté lois Louis XVI lui-même madame Élisabeth mains marquis de Bouillé ment ministres Mirabeau monarchie mouvement n'avait n'était nation noblesse officiers paroles passions patrie patriotes pensée Pétion peuple philosophie politique populaire portes pouvait pouvoir prêtres prince Prusse publique puissance qu'un reine république reste Révolution Robespierre royauté s'était Sainte-Menehould sang secret semblait sentait serait seul sort Stenay tion tribune triomphe trône troupes Tuileries tution Varennes vices voitures Voltaire voulait
Popular passages
Page 338 - Alors, et dans ce cas, Leurs dites Majestés l'empereur et le roi de Prusse sont résolues d'agir promptement, d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires pour obtenir le but proposé et commun. En attendant, elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité.
Page 369 - Les ennemis de notre repos ne chercheront que trop à nous désunir; mais que l'amour de la patrie nous rallie, et que l'intérêt public nous rende inséparables. Ainsi la...
Page 337 - Prusse, ayant entendu les désirs et les représentations de Monsieur et de M. le comte d'Artois, se déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement le roi de France comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe.
Page 438 - ... révolution moderne appelait les gentils comme les « juifs au partage de la lumière et de la fraternité. Aussi « n'y eut-il pas un de ses apôtres qui ne proclamât la paix « entre les peuples. Mirabeau, Lafayette, Robespierre lui« même, effacèrent la guerre du symbole qu'ils présen
Page 193 - Aujourd'hui, messieurs, tout le monde doit sentir que l'intérêt commun est que la révolution s'arrête : ceux qui ont perdu doivent s'apercevoir qu'il est impossible de la faire rétrograder, et qu'il ne...
Page 167 - Sire, Votre Majesté connaît mon attachement pour elle ; mais je ne lui ai pas laissé ignorer que, si elle séparait sa cause de celle du peuple , je resterais du côté du peuple.
Page 188 - Non, Messieurs, il faut ou prononcer sur tous les coupables, ou prononcer l'absolution générale de tous les coupables. Voici, en dernier mot, l'avis que je propose. Je propose que l'Assemblée décrète qu'elle consultera le vœu de la nation pour statuer sur le sort du roi...
Page 338 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 438 - Universelle comme l'humanité, elle n'eut pas l'égoïsme de s'isoler. Elle voulut donner et non dérober. Elle voulut se répandre par le droit et non par la force. Essentiellement spiritualiste, elle n'affecta d'autre empire pour la France que l'empire volontaire de l'imitation sur l'esprit humain. » Son œuvre était prodigieuse, ses moyens nuls; tout ce que l'enthousiasme lui inspire, l'Assemblée l'entreprend et l'achève, sans roi, sans chef militaire, sans dictateur, sans armée, sans autre...
Page 191 - Ceux qui veulent ainsi sacrifier la Constitution à leur ressentiment pour un homme me paraissent trop sujets à sacrifier la liberté par enthousiasme pour un autre; et puisqu'ils aiment la république, c'est bien aujourd'hui le moment de leur dire...