Histoire des Girondins, Volume 1Furne, 1848 - France |
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... Prusse , le pugilat avec Beaumarchais , son style et son rôle , ces grands plaidoyers sur des questions de guerre , de balance européenne , de fi- nances ; ces mordantes invectives , ces duels de pa- roles avec les ministres ou les ...
... Prusse , le pugilat avec Beaumarchais , son style et son rôle , ces grands plaidoyers sur des questions de guerre , de balance européenne , de fi- nances ; ces mordantes invectives , ces duels de pa- roles avec les ministres ou les ...
Page 80
... Prusse , l'Espagne , le roi de Sardaigne , Naples et la Suisse garantissaient des forces proportionnées . Louis XVI tantôt saisis- sait cette espérance d'une intervention européenne comme un moyen d'intimider l'Assemblée et de la ...
... Prusse , l'Espagne , le roi de Sardaigne , Naples et la Suisse garantissaient des forces proportionnées . Louis XVI tantôt saisis- sait cette espérance d'une intervention européenne comme un moyen d'intimider l'Assemblée et de la ...
Page 83
... Prusse , de déclarer le trône de France vacant de fait par le défaut de liberté du roi , et de nommer régent du royaume un des princes émigrés , afin d'appeler à lui avec une apparence de légalité tous ses sujets fidèles , et de donner ...
... Prusse , de déclarer le trône de France vacant de fait par le défaut de liberté du roi , et de nommer régent du royaume un des princes émigrés , afin d'appeler à lui avec une apparence de légalité tous ses sujets fidèles , et de donner ...
Page 261
... Prusse , Frédéric II , n'eut pas d'autre cause . Il lui fallait des trônes pour s'appuyer contre le sacerdoce . Frédéric , qui partageait sa phi- losophie , et qui la poussait plus loin , jusqu'à l'a- théisme et jusqu'au mépris des ...
... Prusse , Frédéric II , n'eut pas d'autre cause . Il lui fallait des trônes pour s'appuyer contre le sacerdoce . Frédéric , qui partageait sa phi- losophie , et qui la poussait plus loin , jusqu'à l'a- théisme et jusqu'au mépris des ...
Page 296
... Prusse balan- çait , en Allemagne , l'autorité de la maison d'Au- triche . Le génie machiavélique du grand Frédéric était devenu le génie de la Prusse . Sa monarchie , composée de lambeaux dérobés par la victoire , avait besoin de la ...
... Prusse balan- çait , en Allemagne , l'autorité de la maison d'Au- triche . Le génie machiavélique du grand Frédéric était devenu le génie de la Prusse . Sa monarchie , composée de lambeaux dérobés par la victoire , avait besoin de la ...
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Common terms and phrases
applaudissements armée assemblée avaient Bailly Barnave Bouillé Brissot C'était Camille Desmoulins Cazalès Champ-de-Mars chevaux citoyens clergé club des Jacobins clubs cœur comte comte de Fersen constitutionnel cour crime culte Danton décret démocratie députés Desmoulins devait dévouement discours émigrés ennemis esprit eût factieux factions famille royale fanatisme Fayette femme force foule fuite garde nationale génie Girondins Goguelat gouvernement guerre haine heures homme d'État Jacobins jour l'aristocratie l'Assem l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'émigration l'empereur l'empire l'esprit l'Europe l'homme laisser Lameth législatif liberté lois Louis XVI lui-même madame Élisabeth mains marquis de Bouillé ment ministres Mirabeau monarchie mouvement n'avait n'était nation noblesse officiers paroles passions patrie patriotes pensée Pétion peuple philosophie politique populaire portes pouvait pouvoir prêtres prince Prusse publique puissance qu'un reine république reste Révolution Robespierre royauté s'était Sainte-Menehould sang secret semblait sentait serait seul sort Stenay tion tribune triomphe trône troupes Tuileries tution Varennes vices voitures Voltaire voulait
Popular passages
Page 338 - Alors, et dans ce cas, Leurs dites Majestés l'empereur et le roi de Prusse sont résolues d'agir promptement, d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires pour obtenir le but proposé et commun. En attendant, elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité.
Page 369 - Les ennemis de notre repos ne chercheront que trop à nous désunir; mais que l'amour de la patrie nous rallie, et que l'intérêt public nous rende inséparables. Ainsi la...
Page 337 - Prusse, ayant entendu les désirs et les représentations de Monsieur et de M. le comte d'Artois, se déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement le roi de France comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe.
Page 438 - ... révolution moderne appelait les gentils comme les « juifs au partage de la lumière et de la fraternité. Aussi « n'y eut-il pas un de ses apôtres qui ne proclamât la paix « entre les peuples. Mirabeau, Lafayette, Robespierre lui« même, effacèrent la guerre du symbole qu'ils présen
Page 193 - Aujourd'hui, messieurs, tout le monde doit sentir que l'intérêt commun est que la révolution s'arrête : ceux qui ont perdu doivent s'apercevoir qu'il est impossible de la faire rétrograder, et qu'il ne...
Page 167 - Sire, Votre Majesté connaît mon attachement pour elle ; mais je ne lui ai pas laissé ignorer que, si elle séparait sa cause de celle du peuple , je resterais du côté du peuple.
Page 188 - Non, Messieurs, il faut ou prononcer sur tous les coupables, ou prononcer l'absolution générale de tous les coupables. Voici, en dernier mot, l'avis que je propose. Je propose que l'Assemblée décrète qu'elle consultera le vœu de la nation pour statuer sur le sort du roi...
Page 338 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 438 - Universelle comme l'humanité, elle n'eut pas l'égoïsme de s'isoler. Elle voulut donner et non dérober. Elle voulut se répandre par le droit et non par la force. Essentiellement spiritualiste, elle n'affecta d'autre empire pour la France que l'empire volontaire de l'imitation sur l'esprit humain. » Son œuvre était prodigieuse, ses moyens nuls; tout ce que l'enthousiasme lui inspire, l'Assemblée l'entreprend et l'achève, sans roi, sans chef militaire, sans dictateur, sans armée, sans autre...
Page 191 - Ceux qui veulent ainsi sacrifier la Constitution à leur ressentiment pour un homme me paraissent trop sujets à sacrifier la liberté par enthousiasme pour un autre; et puisqu'ils aiment la république, c'est bien aujourd'hui le moment de leur dire...