Histoire des Girondins, Volume 1Furne, 1848 - France |
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... C'était un volontaire de la démocratie . Il rappelait trop par son rôle et par son attitude aux démocrates rangés derrière lui , que , depuis les Gracques jusqu'à lui - même , les tribuns les plus puissants pour servir le peuple étaient ...
... C'était un volontaire de la démocratie . Il rappelait trop par son rôle et par son attitude aux démocrates rangés derrière lui , que , depuis les Gracques jusqu'à lui - même , les tribuns les plus puissants pour servir le peuple étaient ...
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... C'était l'intelligence qu'il armait de la parole . Ces deux forces sont maîtresses de l'homme : elles devaient l'être plus tard de l'humanité . Le monde intellectuel était né d'une invention matérielle ; il avait promptement grandi . La ...
... C'était l'intelligence qu'il armait de la parole . Ces deux forces sont maîtresses de l'homme : elles devaient l'être plus tard de l'humanité . Le monde intellectuel était né d'une invention matérielle ; il avait promptement grandi . La ...
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... C'était la ré- volte de l'idéal contre la réalité . Il avait été le tribun de la nature , le Gracchus des philosophes . Il n'avait pas fait l'histoire des institutions , il en avait fait le rêve ; mais ce rêve venait du ciel et y remon ...
... C'était la ré- volte de l'idéal contre la réalité . Il avait été le tribun de la nature , le Gracchus des philosophes . Il n'avait pas fait l'histoire des institutions , il en avait fait le rêve ; mais ce rêve venait du ciel et y remon ...
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... c'était Paris . Les plus petites choses y faisaient un grand bruit . La littéra- ture était le véhicule de l'influence française ; la mo- narchie intellectuelle avait ses livres , son théâtre , ses écrits , avant d'avoir ses héros ...
... c'était Paris . Les plus petites choses y faisaient un grand bruit . La littéra- ture était le véhicule de l'influence française ; la mo- narchie intellectuelle avait ses livres , son théâtre , ses écrits , avant d'avoir ses héros ...
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... c'était l'heure de la victoire . Les deux idées en présence voulaient des combattants et non des juges elles écrasaient ces hommes en s'entre- choquant . Dénombrons les principaux chefs de ces divers partis et faisons - les connaître ...
... c'était l'heure de la victoire . Les deux idées en présence voulaient des combattants et non des juges elles écrasaient ces hommes en s'entre- choquant . Dénombrons les principaux chefs de ces divers partis et faisons - les connaître ...
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Common terms and phrases
applaudissements armée assemblée avaient Bailly Barnave Bouillé Brissot C'était Camille Desmoulins Cazalès Champ-de-Mars chevaux citoyens clergé club des Jacobins clubs cœur comte comte de Fersen constitutionnel cour crime culte Danton décret démocratie députés Desmoulins devait dévouement discours émigrés ennemis esprit eût factieux factions famille royale fanatisme Fayette femme force foule fuite garde nationale génie Girondins Goguelat gouvernement guerre haine heures homme d'État Jacobins jour l'aristocratie l'Assem l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'émigration l'empereur l'empire l'esprit l'Europe l'homme laisser Lameth législatif liberté lois Louis XVI lui-même madame Élisabeth mains marquis de Bouillé ment ministres Mirabeau monarchie mouvement n'avait n'était nation noblesse officiers paroles passions patrie patriotes pensée Pétion peuple philosophie politique populaire portes pouvait pouvoir prêtres prince Prusse publique puissance qu'un reine république reste Révolution Robespierre royauté s'était Sainte-Menehould sang secret semblait sentait serait seul sort Stenay tion tribune triomphe trône troupes Tuileries tution Varennes vices voitures Voltaire voulait
Popular passages
Page 338 - Alors, et dans ce cas, Leurs dites Majestés l'empereur et le roi de Prusse sont résolues d'agir promptement, d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires pour obtenir le but proposé et commun. En attendant, elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité.
Page 369 - Les ennemis de notre repos ne chercheront que trop à nous désunir; mais que l'amour de la patrie nous rallie, et que l'intérêt public nous rende inséparables. Ainsi la...
Page 337 - Prusse, ayant entendu les désirs et les représentations de Monsieur et de M. le comte d'Artois, se déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement le roi de France comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe.
Page 438 - ... révolution moderne appelait les gentils comme les « juifs au partage de la lumière et de la fraternité. Aussi « n'y eut-il pas un de ses apôtres qui ne proclamât la paix « entre les peuples. Mirabeau, Lafayette, Robespierre lui« même, effacèrent la guerre du symbole qu'ils présen
Page 193 - Aujourd'hui, messieurs, tout le monde doit sentir que l'intérêt commun est que la révolution s'arrête : ceux qui ont perdu doivent s'apercevoir qu'il est impossible de la faire rétrograder, et qu'il ne...
Page 167 - Sire, Votre Majesté connaît mon attachement pour elle ; mais je ne lui ai pas laissé ignorer que, si elle séparait sa cause de celle du peuple , je resterais du côté du peuple.
Page 188 - Non, Messieurs, il faut ou prononcer sur tous les coupables, ou prononcer l'absolution générale de tous les coupables. Voici, en dernier mot, l'avis que je propose. Je propose que l'Assemblée décrète qu'elle consultera le vœu de la nation pour statuer sur le sort du roi...
Page 338 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 438 - Universelle comme l'humanité, elle n'eut pas l'égoïsme de s'isoler. Elle voulut donner et non dérober. Elle voulut se répandre par le droit et non par la force. Essentiellement spiritualiste, elle n'affecta d'autre empire pour la France que l'empire volontaire de l'imitation sur l'esprit humain. » Son œuvre était prodigieuse, ses moyens nuls; tout ce que l'enthousiasme lui inspire, l'Assemblée l'entreprend et l'achève, sans roi, sans chef militaire, sans dictateur, sans armée, sans autre...
Page 191 - Ceux qui veulent ainsi sacrifier la Constitution à leur ressentiment pour un homme me paraissent trop sujets à sacrifier la liberté par enthousiasme pour un autre; et puisqu'ils aiment la république, c'est bien aujourd'hui le moment de leur dire...