LOUIS XIV, désigné 188. Son portrait, 142. Ouvrant les bras à la famille malheureuse de Jacques II, 267.
Louanges. Ne pas les rejeter toutes, 86. Com- | justice, 256. ment les grands y deviennent indifférents, 164. Louer. Il n'y a rien qui coûte davantage à approuver et à louer que ce qui est plus digne d'approbation et de louange, 239 Pourquoi nous louons souvent avec exagération des gens mé- diocres, 254. Louer ce qui est louable n'est que
LULLI, sous le nom d'Amphion, 17. Nommé avec éloge, 34.
Luxe. Se cotiser pour en montrer, 126.
Méchants. S'ils vous blâment ou vous per- sécutent, 329. S'ils prospèrent, 353. Médailles. Leur utilité; - Diognète, ama- teur de médailles, 275-276.
Médecins. On les improuve et on s'en sert, 309. Un bon médecin, 310. Les charlatans les font valoir, 310.
Médiocrité. Comment un esprit médiocre lit un livre, 14. Kefuge contre les excès de la misère et de la richesse, 110. Une des marques de la médiocrité d'esprit est de toujours con- ter, 250. V Esprit.
Mémoire. Défaut de mémoire en chair e,
MÉNALQUE, distrait, 197-203.
MÉNIPPE, ou l'oiseau paré de divers pluma- ges, 39.
MÉNOPHILE. Portrait, 146.
Mensonge. L'homme est né menteur; Ses incertitudes, 336.
Mercure Galant. Immédiatement au dessous de rien; D'autres ouvrages lui ressemblent, Un 17.
Mari. Un nouveau mari fait oublier un an- cien galant un nouveau galant lui rend le change; Si un ancien galant portait le nom de mari, il serait mille fois perdu, 46. mari qui s'abandonne à son humeur ne peut défendre le cœur d'une jeune femme contre un galant complaisant, flatteur et empressé; Un mari n'a guère un rival qui ne soit de sa main, 59. Certaines femmes éclipsent leur mari; - D'autres cherchent à le mortifier ; Un mari se repent au moins une fois le jour d'a- voir une femme, 59-60. Douleur de la mort d'un mari; L'art de se faire aimer de sa femme, 60. Mariage. Met chacun dans son ordre, 34. Affaire délicate autrefois, 300. Rougir de sa femme, 300-301. Ce n'est pas une honte ni une faute d'épouser une femme avancée en âge; c'est quelquefois prudence, c'est précau- tion où est l'infamie, 301.
Mérite. En quoi il consiste pour certains hommes, 24. Le plus excellent mérite ne rend pas un homme indispensable au monde; Mérite inconnu, 28-29. A souvent beaucoup de peine à venir au niveau d'un fat en crédit, 29. Personne presque ne s'avise de lui-même du mérite d'un autre ; on est trop occupé de soi ;
Avec un grand mérite et une plus grande mo- destie on peut être longtemps ignoré, 29. Méri- tons notre succès, le reste ne nous regarde plus, 30. Un homme de mérite en place n'est jamais incommode par sa vanité; Il lui coûte de faire sa cour, 31-32. Mérite personnel, 30-34. Le motif seul fait le mérite des actions des hom- mes le désintéressement y met la perfection, 40. V. Femme. Tout mérite se sent et se de vine, 90. V. Cour. Homme de mérite qui se voit préférer un sot, 149; V. Usage du Matière. Quel rapport entre la matière et la monde, Politesse, Fortune. Sentir le mérite et pensée, 341-343.
MAROT. Jugé; Inexcusable d'avoir semé l'ordure dans ses écrits, 15.
Maux. Maux effroyables dont la seule vue fait frémir si l'on y tombe, on se trouve des ressources qu'on ne se connaissait point, 207. V. Malheur.
le bien traiter, 165. Ceux qui décident toujours en faveur de leur mérite, 214. Un homme qui a beaucoup de mérite et d'esprit n'est pas laid, 248. Du même fond dont on néglige un homme de mérite, on sait encore admirer un sot, 249.
Métier. Tout métier a son apprentissage, 303. - Apprentissage d'un juge, 303. Microscope. Ce qu'il découvre dans une goutte d'eau ou dans une tache de moisissure, 350. Ministres. Quand le prince les choisit comme le peuple les aurait choisis lui-même. 189. Misanthropie. Timon, misanthrope, 236. Misère. Misères qui saisissent le cœur, 110; -Les gens chargés de leurs propres misères ont plus de compassion pour celles d'autrui ; Il y a une espèce de honte d'être heureux à la vue de certaines misères, 215.
Mours. Celles de nos ancêtres comparées aux nôtres, 133-134.
Moise. Sa supériorité comme écrivain, 7. MOLIÈRE. Comparé avec Térence, 14. Mollesse. Mollesse pour soi, dureté pour les autres, 68.- Nait avec l'homme et ne finit qu'avec lui, 224. V. Philippe. Monde. Ce qu'il sera dans cent ans, 159. Sa durée, 264. Le monde et la nature, 265.
Monde. Le sage l'évite de peur d'être ennuyé, 98. Ce qu'il faut savoir avant d'entrer dans le commerce du monde, 204.
Monde. Il y en a deux : il s'agit de choisir,
Montaigne. Les deux écrivains qui l'ont blâ- mé, 16.
Moquerie. Est souvent indigence d'esprit, 90. C'est de toutes les injures celle qui se pardonne le moins, 215. V. Raillerie.
Morale. Ouvrage de morale, 6. La morale douce et relachée tombe avec celui qui la prèche, 323.
Mode. Assujettissement aux modes, pour le goût, le vivre, la santé, la conscience; Cu- riosité, passion qu'on n'a que pour les choses Mort. N'arrive qu'une fois et se fait sentir à rares, mais à la mode, 273-274. Duel, tous les moments de la vie; il est plus dur de triomphe de la mode, 279. —Tel a été à la mode l'appréhender que de la souffrir; l'inquiétude, qui n'y est plus ; Un homme à la mode dure la crainte, l'abattement n'éloignent pas la mort ; peu, 280. Le grand jeu met subitement un-Ce qu'il y a de certain dans la mort est adouci homme à la mode, 281. - Une personne à la par l'incertain, 208. Crainte de la mort; - Ce mode ressemble à un bluet, 281. Il y a au- qui console de mourir; Pourquoi la mala- tant de faiblesse à fuir la mode qu'à l'affec- die est placée entre la vie et la mort ;— Quel est La mode qui plaît est toujours la meil- le bon endroit de la mort; La mort qui pré- Changements de mode, 283. vient la caducité arrive plus à propos que celle Iphis, esclave de la mode; celles qu'on suit qui la termine, 208-209. Nous fait louer de pour sa personne, on les néglige pour son por- tous ceux qui nous survivent, 258. Mort subite, trait, 283. — Les dévots à la mode, 285. leçon inutile, 335. V. Mourir.
Modération. Esprit de modération, 265. Modestie. Avec du génie et de la modestie on peut être longtemps ignoré, 29. Donne du relief au mérite; -Ceux qui l'affectent, 32. -Affectée, ne mène à rien, 53. - Une fausse modestie est vanité, 53. Ce qu'elle est pour les grands et pour les gens d'une condition ordi- naire, 172. Celle d'un favori fait honneur à son prince, 188. Un homme modeste ne parle pas de soi;-Fausse modestie, raffinement de la vanité, 212. Ce que c'est que la vraie mo- destie; Avec quoi il ne faut pas la confondre, 213-214. Comment on est exposé à souffrir de sa modestie; La modestie empêche de voir dans les autres une fierté qu'ils n'ont pas, 214.
Mots. Leur fortune, leur proscription, 314. Effets de l'usage, 315-316. V. Expressions, Bons Mots.
Mourir. Le mourant qui parle de son testament, 305. Plaisanteries dans la bouche d'un mourant, 333. C'est une chose sérieuse que de mourir ; Il faut alors de la constance, 333.-Mourir ou toujours vivre, 339. La mort est adoucie par la religion, 339. V. Mort.
Mourir de faim. Cette figure appliquée à un grand, le serait plus justement à ses créanciers, 259.
Musique. Insupportable, si elle est médiocre, 6. Comment on s'y donne pour connaisseur, 156. Toute n'est pas propre à louer Dieu, 336.
N***. Infirme qui a la manie de faire tout l'on en a, 34. Uae grande naissance et une pour l'avenir, 229.
Naissance. Etre tel qu'on ne s'informe plus si
grande fortune annoncent le mérite, 99. Nature. Tout y est grand et admirable, 352.
Naturel. Ce qui jette l'homme dans son na- turel, 235. Le naturel sied à une belle femme,
Noble. Le noble de province, 231. V. No- blesse.
l'est pas, 295. Noblesse nouvelle, 126. Son ri- dicule, 128.
Nom. il n'est pas aisé de s'en faire un par un ouvrage parfait, 6. De bien des gens le nom seul vaut quelque chose, 28. Se faire un grand nom, métier pénible, 29. Celui qui feint d'ou- blier un nom obscur montre la bonne opinion qu'il a du sien, 93. Ce qu'entraîne un grand
gaires, 156. V. Courtisan.
Noms. Certaines gens portent trois noms,
Noblesse. Expose sa vie pour le salut de l'é- tat, 171. En exposant une vie destinée au plai- sir, elle donne plus qu'un particulier qui ne risque que des jours misérables, 171. Dédom-nom, 159. Les grands évitent les noms vul- magement, 171. Ceux qui n'ont pas le moyen d'ètre nobles; -Ceux qui se donnent pour nobles, 292. Ce qu'il faut pour être cru noble sur pa- role; Le gentilhomme veut être seigneur ; Le grand seigneur être prince, 293-294. Le besoin d'argent a réconcilié la noblesse avec la roture; Loi qui déciderait que c'est le ventre qui anoblit; - Il n'y a rien à perdre à être noble, 294. Si la noblesse est vertu : si elle ne
Nourelliste. Son portrait; S'il annonce- la publication d'un ouvrage, c'est une folie à lui d'en vouloir faire la critique ; Son rai- sonnement creux sur la politique; Se couche sur une nouvelle qui se modifie pendant son som- meil, 13.
Offense. Nous haïssons ceux que nous avons qu'on s'élève au dessus de ses inférieurs, et offensés, 69.
Offenser. Gens dont chaque parole est une offense, 84.
Oiseaux. Diphile amateur d'oiseaux, 278-
Oisiveté du sage, 31.
ONUPHRE. Faux dévôt, 287-289. Opéra. Jugé, 17.
Optimiste. En politique, 182-184. ORANGE. Le prince d'Orange, 266-270. Boutade contre les princes ligués en faveur de ce prince contre Louis XIV, 267 et suiv.
ORANTE, Qui plaide depuis dix ans, 302. Orateurs. Peu d'excellents orateurs, mais peu de bons auditeurs, 165. La partie principale de l'orateur, c'est la probité, 303. Ce qui donne du nom à de froids orateurs; L'orateur et l'apô- tre, 324-325. Celui qui prêche sans talent, 325-
qu'on rampe devant ceux qui sont au dessus de soi; · Quel est le propre de la vie, 112. Oubli. Vouloir oublier quelqu'un, c'est y pen- ser, 66.
Ouvrage. Il n'est pas si aisé de se faire un nom par un ouvrage parfait que de faire valoir un ouvrage médiocre par le nom qu'on s'est acquis, 6. V. Satire, Morale. Lire ses ouvrages à ceux qui sont capables de les corriger et de les estimer; Ne vouloir être ni conseillé ni corrigé sur ses ouvrages est un pédantisme, 8. Personne n'est en état de se livrer au plaisir que donne la perfection d'un ouvrage, 9. - Il n'est point d'ouvrage qui ne fondit au milieu de la critique, si son auteur voulait en croire tous les censeurs, 11. — Un bel ouvrage et un ouvrage parfait, 12. Règle à laquelle on reconnait un bon ouvrage, 13. Un auteur ne peut se faire admirer par son ouvrage, et pourquoi, 14.
Palais. Qui a ruiné son maître, 119. PAMPHILE. Plein de lui-même, et toujours
comme sur un théâtre, 174.
Parler. Parler juste, 5; Parler bien, ai- sément, juste, à propos, 83; - On se repent rarement de parler peu, très-souvent de trop
Panegyrique. Le nom de panégyriste chargé parler: maxime connue, mais non pratiquée,
parole qu'ils ont donnée, 206. Le métier de la parole est comme celui de la guerre ; Il vaut mieux parler mal que point du tout, 324. V. Chaire, Sermon, Orateur.
Philosophie. Ne s'effrayer, ni ne rougir du nom de philosophe ; Utilité de la philo- sophie, 232. Il y a deux philosophies, 256. V. Philosophe. Toute philosophie ne parle
Parti. Esprit de parti, 212. D'où viennent pas diguement de Dieu, 336. les partis, 238.
Partialité. Amène de petites mortifications,
Partisan. Ont fait un autre métier dans leur jeunesse, 101. Nous font sentir toutes les pas- sions, 102. Sosie, Arfure, Crésus, Champagne, Sylvain, Dorus, Périandre, Chrysippe, Er- gaste, Criton, Brontin, 102 et suiv. - Ne pas approfondir la fortune des partisans, 106. Leur vie partagée en deux parts, 107. PASCAL, nommé, 234. Passions. Toutes sont menteuses, 72. La passion se met au dessus de la raison, mais ne l'emporte pas toujours sur l'intérêt, 72. Les passions tyrannisent l'homme ;- L'ambition les suspend toutes, 111. Les flatter c'est un moyen de s'insinuer auprès des hommes ; -L'homme sans passions, difficile à gouverner, 224. Patience. Son utilité, 265.
Peinture. Insupportable si elle est médiocre, 6. Comment on s'y donne pour connaisseur, 156.
Penser. Penser juste, 5. Ceux qui pensent mal de nous sans nous connaitre assez ne nous font pas de tort, 248. Je pense, donc Dieu existe, 342. Quel rapport y a-t-il entre la ma- tière, et ce qui pense, 342-343.
Petits. Aiment à obéir, 162. Se haïssent les uns les autres, lorsqu'ils se nuisent réciproque- ment, 166. Chargés de mille vertus inutiles, 219. Les postes éminents les rendent beaucoup plus petits, 219.
Peuple. Ce qu'il appelle éloquence, 22. Le laisser s'endormir dans le luxe et les fêtes, 179. En mouvement, ou paisible, 179. Dans ses foyers, respire le feu et le sang, s'occupe de guerres, de ruines, 181. V. Ministres. Peur. Celui qui a peur, 262-263. Philosophe. Observe les hommes ; que par amour pour la vérité, 13. N'a qu'un seu but, c'est de rendre les hommes meilleurs, 13. Est toujours accessible, 109. Il est bon d'être philosophe, mais inutile de passer pour tel, 256. J. Philosophie.
Phrases toutes faites, 156.
Physionomie. N'est pas une règle pour juger les hommes; Elle peut servir de conjecture, 248. V. Air.
Plagiaires. Esprits subalternes, 24-25. V. Esprit.
Plaidoyers. On les interrompt, 302. Plaisanterie. Ne se doit hasarder qu'avec les gens d'esprit, 90. Sorte de basse plaisanterie usitée dans les conversations, 92.
Plaisants (mauvais). Leur raillerie froide est un mal inévitable; Les meilleures choses ne font souvent que leur faire rencontrer une sot- tise, 12. Par où ils entament un homme d'esprit, 37. Les mauvais et les bons, 74.
Poste. On monte plus aisément à un poste éminent qu'on ne s'y conserve; — On perd un poste important par les mêmes défauts qui ont servi à le faire obtenir, 158. Ce qui arrive à un homme qui vient d'être placé, 147. Dans un grand poste on impose par des caresses étudiées et par de stériles embrassements, 174. Les postes éminents rendent les grands hommes en- core plus grands, et les petits beaucoup plus petits, 219.
Praticien. Sa conscience, 304.
Précieuses. Et leurs alcoristes, 91-99. Autres précieuses de la ville, 92-93.
Prédicateur. Qualités d'un bon prédicateur, 329. V. Chaire, Sermon, Orateur, Discours, Conseils, 358.
Prince. V. Grands, Souverain. Prudence du courtisan, 156. Prune. L'amateur de prunes, 274.
RACINE. Jugement sur lui, 21. Comparé avec | Corneille; - Avec Euripide, 22.
Raillerie. Celle des mauvais plaisants est un mal inévitable, 12.
Réconciliation. Signe de mort chez un ma- lade, 223. A l'heure de la mort, 300.
Régularité. Narcisse, l'homme régulier, 129. Religion. Nécessité d'une religiou qui fasse connaître Dieu. V. Dévotion. Jusqu'où les hommes se portent par intérêt de la religion, 347. Si toute religion est une crainte de la Divinité, comment ose-t-on la blesser dans le prince, 338. Grandeur de la religion, 339-340. Elle est vraie ou elle est fausse, 340.
République. V. Gouvernement.
RICHELIEU. Le cardinal de Richelieu dépeint, 188. Nommé, 234.
RICHESSES. Ne point les envier à de certaines gens, 102. Les énormes richesses ne sont pas le fruit du savoir-faire et de l'habileté, 110. Elles inspirent la dureté pour autrui, 215. V. Riche.
RIDICULE. Comment on y est souvent exposé à la cour, 158. Comment les grands en trouvent où il n'y en a point, 167. Une erreur de fait jette uu homme sage dans le ridicule, 250.
Rire. Avant d'être heureux, 69.
Robe. La robe et l'épée ne doivent point se mépriser réciproquement, 171. La grande et la petite, 124. Gens de robe à la ville, a la cour et
Réputation. Bien nette et bien établie chez chez eux, 126. une femme, 53.
Rois. Leurs fils se tirent des règles de la na-
Respect. Pour soi-même ;- Gens qui ne de- ture; le mérite chez eux devance l'âge, 37. V. vraient jamais l'oublier, 245-246.
Roture. Un roturier finit par croire à la no- blesse qu'il s'attribue, 393. V. Armes. Ceux qui portent trois noms, 294. Le besoin d'argent ré- concilie la noblesse avec la roture, 294.
Ruffin. Qui ne se trouble et ne s'afflige de rien, 228.
Sage. Le sage se guérit de l'ambition par fiance est dangereuse si elle n'est entière ; l'ambition même, 40.
Sagesse. La pruderie en est l'imitation, 53. La science et la sagesse chez une même femme, 55. Quels effets elle produirait parmi les hom- mes 240.
Salut. Difficulté qu'on éprouve à le faire à l'heure de la mort, 299.
SANTEUL. Portrait, 253.
Satire. Un ouvrage satirique se soutient tant qu'il se donne en feuilles sous le manteau ; L'impression est l'écueil, 6. Un homme né chré- tien et français est contraint dans la satire,
Gens qui laissent percer sur leur visage le secret qu'on leur a confié ; — Ceux qui le néprisent et le révèlent, 97. Toute révélation d'un secret est la faute de celui à qui on l'a confié, 97. Secret d'un souverain, 187.
Sermon. Un beau sermon, 322. Son effet, 323. V. Prédicateur, Chaire.
Simplicité. Va bien aux grandes choses; Les petites ont besoin d'être dites noblement, 96. Son utilité, 158.
Singularité. Gens qui y gagnent, 219–220. L'esprit de singularité, 239.
SOCRATE. Fou plein d'esprit, 255.
Solliciteur. Pour les autres et pour lui-même,
« PreviousContinue » |