French anecdotes: with some familiar phrases and idiomsPhilip Warner Harry |
From inside the book
Results 1-5 of 11
Page 11
... parler avec les Espagnols mêmes ? - Oui , Sire . Je vous en félicite ; vous pourrez lire 15 Don Quichotte dans l'original . >> " 9 Un chanteur , de talents médiocres , voulut rem- placer un chanteur de premier ordre , qui était su ...
... parler avec les Espagnols mêmes ? - Oui , Sire . Je vous en félicite ; vous pourrez lire 15 Don Quichotte dans l'original . >> " 9 Un chanteur , de talents médiocres , voulut rem- placer un chanteur de premier ordre , qui était su ...
Page 40
... parler . Forcé de se rendre sur le terrain avec la per- sonne qui avait accepté son cartel , il fut d'abord 10 fort embarrassé ; mais après avoir repassé dans sa tête toutes les ruses et les stratagèmes dont il était capable , il ...
... parler . Forcé de se rendre sur le terrain avec la per- sonne qui avait accepté son cartel , il fut d'abord 10 fort embarrassé ; mais après avoir repassé dans sa tête toutes les ruses et les stratagèmes dont il était capable , il ...
Page 43
... parler au roi , qui le reconnaît , et à qui 15 il fait part de la ruse qu'il avait employée pour aller depuis Lyon jusqu'à Paris , bien nourri et bien monté , aux frais de Sa Majesté , qui , dit - on , loin de se fâcher , rit beaucoup ...
... parler au roi , qui le reconnaît , et à qui 15 il fait part de la ruse qu'il avait employée pour aller depuis Lyon jusqu'à Paris , bien nourri et bien monté , aux frais de Sa Majesté , qui , dit - on , loin de se fâcher , rit beaucoup ...
Page 46
... de six florins par mois , mais apprenez désormais à parler avect plus de respect et de justice d'un souverain qui veut être le père , non le tyran de ses sujets . » 65 Lord Chesterfield , étant à Paris dans un cercle 46 French Anecdotes.
... de six florins par mois , mais apprenez désormais à parler avect plus de respect et de justice d'un souverain qui veut être le père , non le tyran de ses sujets . » 65 Lord Chesterfield , étant à Paris dans un cercle 46 French Anecdotes.
Page 52
... parler . Le banquier sort de sa chambre tout étonné 10 et demande de quoi il s'agit . - << Monsieur Suderland , lui dit le maître de la police , je me sens tout troublé à la pensée d'exé- cuter un ordre dont la sévérité m'effraie . J ...
... parler . Le banquier sort de sa chambre tout étonné 10 et demande de quoi il s'agit . - << Monsieur Suderland , lui dit le maître de la police , je me sens tout troublé à la pensée d'exé- cuter un ordre dont la sévérité m'effraie . J ...
Other editions - View all
French Anecdotes, with Some Familiar Phrases and Idioms Philip Warner Harry No preview available - 2018 |
French Anecdotes, with Some Familiar Phrases and Idioms Philip Warner Harry No preview available - 2012 |
Common terms and phrases
AMERICAN BOOK COMPANY arrive back bagages billet chambre Chesterfield cheval chien Chiverny COLBY COLLEGE cold Daumier demanda dit-il docteur donna-t-il draw Écosse English Est-ce était-il exercises feel fellow first François Ier Frédéric Frederick the Great FRENCH ANECDOTES garçon give God forbid going good grammar great hand head help homme Horace Vernet huîtres immediately j'ai Jamaïque jeune Joseph jour kind king King of Prussia know l'empereur language lesson little Louis XIV maître Majesté make matter means mind monsieur name one's order paysan Piron Pluton present PRICE purpose Qu'est-ce question read répliqua répondit right rire room same send shorten show Sire soir soon sound soupe stand Stories stratagème student take Tartuffe teacher thank think ticket time tion turn used valet vocabulary Voltaire voulez-vous walk weather whist window wish words work worth you wish ΙΟ
Popular passages
Page 59 - Le maréchal, après avoir lu, dit au Roi : ' Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 71 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 50 - L'EMPEREUR Joseph II n'aimait ni la représentation ni l'appareil, témoin ce fait qu'on se plaît à citer : Un jour que revêtu d'une simple redingote boutonnée, accompagné d'un seul donlestique sans livrée, il était allé, dans une calèche à deux places qu'il conduisait lui-même, faire une promenade du matin aux environs de Vienne, il fut surpris par la pluie, comme il reprenait le chemin de la ville. Il en était encore éloigné, lorsqu'un piéton, qui regagnait aussi la capitale, fait...
Page 51 - Oh ! ma foi, je ne puis plus deviner, dit Joseph. — Un faisan, mon digne homme, un faisan tiré sur les plaisirs de Sa Majesté, dit le camarade en lui frappant sur la cuisse. — Tiré sur les plaisirs de Sa Majesté, il n'en devait être que meilleur ? — Je vous en réponds.
Page 35 - C'était un vallon solitaire, où l'on ne voyait guère que des bois. Il y aperçoit une pauvre cabane ; il y frappe ; il en sort un vieux Hernouten à barbe blanche. Mon père, lui dit l'officier, montrez-moi un champ où je puisse faire fourrager mes cavaliers.
Page 51 - Lui-même, dit Joseph, se déboutonnant pour montrer ses décorations." Il n'y avait pas moyen de tomber à genoux dans la voiture ; l'invalide se confond en excuses et supplie l'empereur d'arrêter pour qu'il puisse descendre. " Non pas, lui dit Joseph ; après avoir mangé mon faisan, vous seriez trop heureux de vous débarrasser de moi aussi promptement; j'entends bien que vous ne me quittiez qu'à votre porte.
Page 35 - Mon père, lui dit l'officier, montrez-moi un champ où je puisse faire fourrager mes cavaliers. — Tout à l'heure, » reprit l'hernouten. Ce bonhomme se met à leur tête, et remonte avec eux le vallon. Après un quart d'heure de marche, ils trouvent un beau champ d'orge : « Voilà ce qu'il nous faut, dit le capitaine. — Attendez un moment, lui dit son conducteur, vous serez content.
Page 49 - J'ai soupé? répondit le cardinal. — Sans doute, monseigneur. Il est vrai que vous avez peu mangé; vous paraissiez fort occupé d'affaires. Mais, si vous voulez, on vous servira un second poulet ; cela ne tardera pas.
Page 35 - Ils continuent à marcher, et ils arrivent, un quart de lieue plus loin, à un autre champ d'orge. La troupe aussitôt met pied à terre, fauche le grain, le met en trousse*, et remonte à cheval. L'officier de cavalerie dit alors à son guide : « Mon père, vous nous avez fait aller trop loin sans nécessité; le premier champ valait mieux que celui-ci. — Cela est vrai, monsieur, reprit le bon vieillard, mais il n'était pas à moi.
Page 15 - J'ai juré de ne pas laisser un chien dans cette ville; tuez donc, si vous voulez, tous les chiens mais je défends qu'on fasse aucun mal aux habitants.