La comedia espagnole en France de Hardy à Racine |
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âme amour assez Boisrobert burlesque Calderon Carlos Cervantès chercher Chimène clarté classique cœur comedia comedia de Lope comedia espagnole comedia ironique comique décoration Diana divertissement don Juan don Sanche dramatique drame emprunte enfin espa Espagne espagnole fantaisie froide galanterie génie gnol gongorismes goût gracioso guère Guillen Guillen de Castro Hardy Héraclius héroïnes héros honneur imitation inspiré intrigue invraisemblable italienne Jodelet l'âme l'amour l'amour et l'honneur l'Ecole des Femmes l'Espagne l'espagnol l'honneur l'Hôtel de Bourgogne l'imitation l'intrigue laisser Madrid ment modèle Molière Mondory montre Moreto neille œuvre original parfois passion pastorale Paul Scarron peinture personnages pièce Pierre Corneille plaisir Plaute poète poétique pourtant pouvait préciosité public Pulchérie qu'une Racine ressorts reste rire Rodrigue Rojas roman romanesque Rotrou s'il saveur Scarron scène Scudéry sentiments seulement songer subtiles succès surtout théâtre Thomas Corneille tion Tirso Tirso de Molina traduit tragédie tragi-comédie tragique trouve valets véritable veut Voilà vrai vraisemblable XVIIe siècle
Popular passages
Page 158 - II ne faut point nourrir d'amour qui ne nous cède : Je le hais, s'il me force; et quand j'aime, je veux Que de ma volonté dépendent tous mes vœux...
Page 311 - Roc Zurducaci ! don Zapata Pascal ! Ou Pascal Zapata, car il n'importe guère Que Pascal soit devant, ou Pascal soit derrière.
Page 343 - Sans peine du sujet aplanisse l'entrée. Je me ris d'un acteur qui, lent à s'exprimer, De ce qu'il veut, d'abord ne sait pas m'informer ; Et qui, débrouillant mal une pénible intrigue, D'un divertissement me fait une fatigue. J'aimerais mieux encor qu'il déclinât son nom*, Et dît: Je suis Oreste, ou bien Agamemnon...
Page 204 - O malheureux Phocas ! ô trop heureux Maurice ! Tu recouvres deux fils pour mourir après toi, Et je n'en puis trouver pour régner...
Page 138 - Et s'il eût fait des lois pour une pièce qui eût dû être représentée devant un peuple impatient et amateur de changement et de nouveauté comme nous sommes...
Page 184 - Je n'adore qu'un Dieu, maître de l'univers, Sous qui tremblent le ciel, la terre et les enfers, Un Dieu qui, nous aimant d'une amour infinie, Voulut mourir pour nous avec ignominie, Et qui, par un effort de cet excès d'amour, Veut pour nous en victime être offert chaque jour.
Page 175 - Pour obtenir un bien si grand, si précieux , J'ai fait la guerre aux rois , je l'eusse faite aux dieux.
Page 169 - Je suis jeune, il est vrai, mais aux âmes bien nées La valeur n'attend pas le nombre des années...
Page 336 - ... seulement capables de porter de grands fardeaux. Je tais encore que son jeu et ses habits ne sont non plus que des imitations de divers comiques, lesquels le laisseraient...
Page 292 - Vous qui ne tenez lieu de rien au monde, ou qui n'êtes au plus qu'un clou aux fesses de la Nature ; vous qui tomberez si bas, si je cesse de vous soutenir, qu'une puce, en léchant la terre...