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SECTION VI. page 511.

Pouvoir d'empêcher toute Affociation & toute Affemblée:

XXVIII. Fondement du droit qu'a le Souverain d'empêcher

toute affociation & toute affemblée. XXIX. Exception tirée du

cours ordinaire des affaires. XXX. Exemple de la regle & de

L'exception à la regle, par l'ufage établi en France,

SECTION VII. page 514.

Pouvoir de regler les rangs entre les Citoyens.

XXXI. Néceffité de ce pouvoir. XXXII. Quelle idée l'on

doit avoir des questions de préféance. XXXIII. De la préémi-

nence du Souverain. XXXIV. De la préféance des Princes du

fang Royal fur tous les autres Sujets. XXXV. De la préféance

des Nobles. XXXVI. La préféance des concitoyens entr'eux dé-

pend & des dignités dont il font revêtus, & de la volonté du Sou-

verain, qui peut regler cette préféance, indépendamment des em-

plois aufquels les honneurs font ordinairement attachés. XXXVII.

La volonté du Prince ceffant, la préféance des concitoyens dépend

des places marquées à chaque emploi & des Coutumes reçues dans

chaque pays. XXXVIII. Les refpects qu'on doit exiger en per

fonne publique, doivent l'emporter fur tous les égards qu'on feroit

obligé d'avoir comme perfonne privée. XXXIX. Si les marques

d'honneur dépendent de la volonté du Souverain dans leur durée

comme dans leur origine. XL. De la préféance des Citoyens de

divers Etats.

CHAPITRE SEPTIÉ ME.

Des Droits de Cité auxfquels un Etranger non naturalife

ne participe pas,

SECTION PREMIERE. page 527.

Des différentes manieres de devenir & de ceffer d'être Sujet

d'un Etat.

I. Significations des mots; Peuple, Membre, Citoyen,

Bourgeois, Vaffal, & Sujet. II. On devient Citoyen ou par

une convention expreffe ou pour une convention tacite. III. Il est

des Villes où l'on devient Citoyen par la feule habitation; & il

en eft d'autres où le droit de Bourgeoifie eft attaché au fang & à

la filiation. IV. Du droit de Bourgeoifie, du droit de Colonie

& du droit municipal chez les Romains. V. Le féjour momentané

dans un Etat ne rend pas Citoyen de cet Etat; mais il rend

Sujet pour un tems, & il foumet à la Juftice criminelle, & dans.

certains cas, à la Juftice civile du lieu. VI. On ne ceffe pas d'être

membre de l'Etat dans les interregnes. VII. Deux manieres de

ceffer d'être membre d'un Etat. VIII. Premiere maniere, la tranf

migration volontaire. IX. Les Loix particulieres de quelques Etats

défendent la difceffion des Sujets. X. Loix de France fur cette

matiere. XI. Il faut se conformer à la difpofition des Loix du

pays pour la tranfmigration; mais dans le filence des Loix, la

liberté naturelle autorife la tranfmigration volontaire des parti-

culiers. XII. La liberté naturelle n'autorife pas la tranfmigration

de la multitude. XIII. Cas particuliers aufquels la tranfmigration

volontaire eft permife contre la difpofition des Loix du pays.

XIV. Cas particulier où la tranfmigration volontaire est défen-

due, quoique les Loix du pays la permettent en général. XV.

De l'effet des Lettres Avocatoires. XVI. Seconde maniere de cef-

fer d'être membre d'un Etat : la tranfmigration forcée. XVII.

Maniére de redevenir membre de l'Etat par le droit de retour

dont les effets font expliqués. XVIII. Si les enfans naturels ont

une Nation, & s'ils peuvent participer aux effets du Droit Civil.

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CHAPITRE HUITIÉ ME.

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SECTIO NII, page 637.

Des Sermens que les Rois font à leur Sacre.

XVII. De la nature & de la force de ces Sermens des Rois.

XIX. Sermens des Empereurs Romains. XX. Sermens que les

Rois de France font à leur Sacre. XXI. Serment des Empereurs

d'Allemagne. XXII. Serment des Rois de Pologne. XXIII. Ser-

ment des Rois d'Angleterre. XXIV. Serment des Rois de Portu-

gal. XXV. Serment des Rois de Suede. XXVI. Reflexions fur

un Serment extrêmement fingulier des anciens Empereurs du Me¬

xique, & fur une Cérémonie qui fe fait tous les ans dans l'In-

douftan, le jour anniversaire de la naissance du Grand Mogol.

SECTION III. page 650.

De la Minorité & de la Majorité des Rois.

XXVII. La minorité des Rois n'empêche pas qu'ils n'ayent la

plénitude de la puiffance Royale, quoiqu'elle leur en ôte l'exer-

cice. XXVIII. Dans une Monarchie héréditaire, le Trône n'est

jamais vacant. XXIX. Il y a des regles dans chaque Etat pour

la minorité des Souverains, comme pour celle des particuliers;

& ces regles font différentes, felon les divers Etats. XXX. Ni

la premiere ni la feconde race des Rois de France n'ont eu à cet

égard de regles fixes; mais la troifiéme en a une certaine

XXXI. Les Rois de France étoient anciennement mineurs jus-

qu'à vingt & un ans. Ils font préfentement majeurs à quatorze ans

commencés. XXXII. Tout fe fait dans ce Royaume, fous l'auto-

rité du Roi mineur. XXXIII. Comment la majorité des Rois y

eft notifiée au peuple. XXXIV. En Suede, les Rois ne font

majeurs qu'à vingt & un ans. XXXV. En Allemagne, en Dan-

nemarck, & à Parme, les Souverains font majeurs à dix-huit

ans. XXXXVI. Les Empereurs des Turcs font majeurs à quinze

ans. XXXVII. Les Rois d'Espagne & de Portugal font majeurs

à quatorze ans commencés. XXXVIII. Les Rois de la Grande-

Bretagne le font à douze. XXXIX. Réflexions fur les Loix qui

fixent la majorité à douze ou à quatorze ans commencés,

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