Platon (Loix de ) fur le célibat Pontife (le grand) Pontife à Rome ne pouvoit paffer à des fecondes nôces, 52. Ni époufer une veuve, Portugal (conteftation célébre fur la fucceffion du Royaume de ) 296, Pouvoir (du) Coactif. Sa néceffité dans l'Etat, 435. Ses caracteres, Préféance. L'idée que l'on doit en Prince (du) en protection, 172; qui paye ou qui reçoit tribut, penfion ou fubfide, 177. Impof- teurs qui ont voulu paffer pour Princes, 239. Défordres que met- tent dans la fociété les mauvais Princes, quels biens n'y procurent religion, fa juftice, 722. Il a tout 724. Il doit regarder la flaterie comme un poifon, ibid. Son atten- res, 194 gré, conduit inévitabement à la Proverbe (le) Qui veut le Roi, fi veut la Loi, fait honneur à la Souve- Ptolomée Lagus renonça à fes Etats en faveur du plus jeune de fes Public. (Droit) Sa définition, 1. D'où il réfultoit chez les différen- tes Nations, ibid. En quoi il con- R Ang. Le Prince feul a droit de le fixer, 514, 518,519 Régens des Royaumes. Leur autorité eft l'autorité même des Rois, 663. A quel titre leur Puiffance leur eft confiée, dans cinq occa. fions différentes, 664, 665. Des différentes Régences en France, 667, 670. La Régence de Marie de Medicis eft la premiere qui ait été déférée dans le Parlement de Paris, 670, 672. Regence d'Angleterre, 674. L'ablence volontaire du Roi eft le second cas d'une Régence, 679. La détention du Roi par fes ennemis eft le troifieme cas, 682. Qua rieme cas, 683. Cinquieme cas, l'abfence du fucceffeur à la Couronne dans le tems de l'ouverture de la fucceffion, 690. Si l'on peut donner au Régent un Confeil, & à qui appartient l'éducation du Roi mineur, ib. Teftament de Louis XIV. à ce fujet, 692; & détail de tout ce qui fe palla au Parlement, 701, 704 Religions (la diverfité des) eft nuifible aux Etats. 500 Religionaires. Différentes Loix qui les concernent, 544,545,546 Renonciation (la) du pere à des biens patrimoniaux peut être oppofée aux enfans; mais celle des biens fucceffifs eft invalide à leur égard, 259. Celle aux biens fucceffifs examinée felon les principes du Droit privé des François de leur Droit public & du Droit des Gens, 260. Conditions effentielles aux rénonciations, 203; entre des Souverains eft irrévocable dans tous les lieux, 268. L'autorité du Prince, celle des Etats & celle des Princes étrangers rendent valable dans tous les cas la Rénonciation au préjudice des descendans de celui qui a renoncé, 270. Principés fur les Renonciations, 272. Application de ce principe aux Renonciations faites dans la Maifon de France par les branches d'Efpagne & d'Orléans, 273; à la Renonciation de Charles-Quint Empereur & à celle de Philippe V. Roi d'Espagne, ibid. & fuiv. Roi (le) difpofe de la perfonne & conftitue la dote de Marie-Louise fille de Philippe de France Duc d'Orléans fon frere unique; de la Ducheffe de Savoye autre fille de Philippe de France Duc d'Orléans, 265; de Charlotte-Aglaé d'Orléans, fille de Philippe d'Orléans Régent de France, 266; & d'Elizabeth d'Orléans fille du même Prince, 267 Roi (un) abfolu n'eft comptable de fes actions qu'à Dieu, 124; eft au-deffus des Loix Civiles: Il les peut changer, mais il doit les faire obferver tant qu'elles fubfiftent, 125, 126. Du Sacre & du Couronnement des Rois, 611. Il n'y a point de peuple qui n'ait obfervé quelque Cérémonie à l'Inauguration duSouverain, 613 S Sacerdoce (le) & l'Empire procé. dent d'un feul & même principe, 189 Sacre (ufage du) à l'égard des Rois, 620; la cérémonie eft différente du Couronnement, 621. Ils ne font point effentiels à la Royauté, 6 22. Les Rois de la feconde Race fe font fait facrer, & quelques-uns ont fait facrer leurs enfans de leur vivant, 627; ce qui a été obfervé dans la troifiéme Race, 629. Du lieu où fe fait ordinairement cette Céremonie dans les différens Etats de l'Europe, 630,632,633 Saint-Herem. (le Marquis de) Sa conduite louable lors de la S. Barthelemi, 453 Salomon. Réflexions importantes fur Les paroles, 342 Schwartzbourg (le Comte Gontonde) abdiqua l'Empire, 248 Sectes. Pouvoir de tolérer ou de profcrire celles qui font contraires à la Religion dominante, 487. Fondement de ce pouvoir. ibid. Principes à cet égard 488, 489 Serment de fidélité de différentes efpéces, 150. Les Sermens des Rois & les Capitulations des Empereurs les lient également. Erreur au fujet de Pelzhoffer, 637. Serment des Rois de France, 639. Des Empereurs d'Allemagne, 641. Des Rois de Pologne, 642. Des Rois d'Angleterre, 644. De Portugal, 645. Des Rois de Suede, 646. Réflexions fur un Serment fingulier des Empereurs du Mexique, 648; dans l'indouf649 Sforce. Conteftations entre Ludovic & Galeas fur le Duché de Milan, 235 tan, Siam. Loi de fucceffion dans ce Royaume, 203 Sidnay. Ses hypothéfes fur la Souveraineté, 332 & fuiv. Société civile; (ce que comprend chaque) de quoi elle eft compofée, 2. Combien il y en a, 4. Elle eft compofée de trois ordres, ibid. Sophocle penfe que les Loix font def cendues du Ciel, 186 Sorbonne (la) a décidé que ce feroit un crime horrible d'attenter à la vie d'un Roi, fe portâ-t-il aux plus étranges excès, 357 Souverain (attention particuliere d'un) 3. Il n'y a point d'Etat fans Souverain, 103. Toute diftinction entre le Souverain & l'Etat eft pernicieufe, 104, 105. Si le Souverain peut exhéreder fon Succeffeur, 237. Pour affurer la fucceffion aux Couronnes il faut que les Reines accouchent comme en public, & que la mort des Princes foit conftatée par des monumens dont la vérité ne puiffe être contredite, ibid. Il est néceffaire que l'Etat d'un Prince qui veut hériter de la Couronne foit conf tant, 238. Le Souverain peut aliéner le Royaume patrimonial & non le fucceffif, 239; ne peut rendre le fucceffif feudataire, ni remettre un hommage qui est dû à fon Etat ni aliéner le Domaine, 243. Des engagemens qu'il prend avec les fujets, 278. Il doit exécuter les promeffes qu'il fait avec eux, ibid. Il doit exécuter les traités qu'il fait avec des fujets rebelles, 280; mêine avec les fujets d'un autre Prince, ibid. Il ne peut oppofer la lézion, ibid. S'il doit remplir ceux pris par un ufurpateur, 283. Il doit même entretenir les donations faites & les priviléges accordés par fes Prédéceffeurs, 286. Si l'on peut refifter par les armes au Souverain qui ne regne pas juftement, le juger, le dépofer. Diverfité d'opinions fur cette célébre question, 305. Vrai état de la queftion, 308. Premiere hypothéfe, injuftice faite aux citoyens en général, 309. Seconde hypothéfe, injuftices faites à quelques fujets en particulier. Les peuples ne font pas toujours en état de juger de la conduite du Souverain, 310; ils fe plaignent prefque toujours à tort, 312. La préfomption eft en faveur du Souverain, 314. Confidérations prifes des malheurs des guerres civiles, 315. Ni aucun particulier ni le Corps du peuple ne peut réfifter par la force à des injuftices équiyoques ou au moins fupportables, 320. Un particulier ne peut en aucun cas réfifter par la force à fon Souverain, 321. Si le Corps du peuple peut réfifter lorsque le Gouvernement paroît tyrannique, 325. Raifons des Partifans de la liberté, 326. Raifons des Partifans de l'obéiffance, 330. Confidérations pour la décifion de la Question, 332. Il n'est jamais permis de faire mourir un Souverain abfolu, ni d'employer la voie des armes contre lui, 339, 341, 342. Preuve de cette hypothéfe par la Loi écrite, 342. Par la tradition des Ifraëlites, 347. Par la Loi Chrétienne, 352. Par la tradition des Chrétiens. 354. Motifs qui follicitent fa clémence, 449, 450. Droit qu'il a de regler les actions extérieures, 491. Divers cas où l'on convient que dans toutes les Religions du Chriftianifme, le Souverain a droit d'être intolérant, 493. Quelle doit être fa conduite dans de pareilles conteftations, 503. De fa prééminence, 515. Du Couronnement des Souverains qui n'ont pas le titre de Roi, 635, Du Couronnement des Reines, 636. Devoirs des Souverains à remplir à l'égard de leurs fujets,705. Ils ont mille foins à prendre & mille peines à fouffrir, 708. Inftruction donnée à Guftave Adolphe par le Roi Charles fon pere, 714. Ils doivent être pleins de Religion, 717. Ils doivent gouverner juftement, 719; & rapporter toutes leurs actions au bien public,720. Quelles doivent être fes connoiffances, 730. Ses occupations, 732. Ses divertiffemens, 733. Quels exemples ils doivent donner, 735Quelle doit être fa clémence, ibidem; leur confiance, 736; leur prévoyance, 737; leur fermeté, 739. De leur fecret, 741. De leur leur diffimulation, 742; de leur dépenfe, 743; de leur libérali- té, 744. Ils ne doivent fe repo- fer fur leurs Miniftres que du bien qu'ils ne peuvent faire par eux- mêmes, 747; ils doivent être les peres de leurs fujets, 750; ils doi- vent refpecter le jugement du peu- ple & craindre celui de Dieu,75 1. Exemples des grands Princes, & parallèle à cet égard, 753,754, 757,760 Souveraineté. Sa définition, 103. Elle est le fondement prochain & immédiat de l'obéiffance des ci- toyens, 106. Elle eft indivisible, Républiques que dans les Monar- chies, 116. Elle est toujours ab- droits, 119. En quoi confifte la Souveraineté parfaite, 123. La Vaffalité pour quelque autre Etat ne la rend pas imparfaite, 124. Ils font affujettis aux Loix Divi- Loix fondamentales & conftituti- ves de la Souveraineté, 130. Qua. tre manieres dont une Souveraineté Souveraineté des Rois d'Angle- terre, de Pologne, & de Suede, eft imparfaite, 133. Opinions di- verfes fur l'origine de la Souve- raineté, 181. A quels titres elle peut être établie, acquife & pof- fédée, & comment on peut la per- dre, 191. Différens exemples de l'acquérir, 198. Il eft difficile de Diverfité prelqu'infinie d'ufages dans l'ordre de fuccéder à un Erat pour la fucceffion à la Souverai- neté. A qui il appartient de pro- noncer fur le droit des prétentions à la Souveraineté, 287, 289; & exemples des décifions de plu- fieurs Nations en pareil cas : dans Espagne, 291; en Portugal,296; à Neufchatel, 301. Dans la con- la Souveraineté, dont les droits font douteux, il faut obéir à celui qui eft en poffeffion, 379. Quelle eft fon étendue & fes bornes,438, Souverains (des) même se mirent anciennement fous la protection d'autres Souverains, 175. Ni les Archontes Grecs, ni les Decem- virs & les Dictateurs Romains, ni les Administrateurs Suedois, n'é- toient des Souverains; les Régens des Royaumes ne le font pas non plus, 179. Si c'est au mari à fuc- céder, du chef de la femme, ou à la femme; fi le mari de la Reine eft Roi; fi c'eft à lui ou à fa fem- me de gouverner l'Etat, 222. Si un fils de Roi né pendant la vie privée de fon pere, doit fuccéder à la Couronne préférablement à un autre fils de ce même Prince né dans la pourpre, 231. Différence de fuccéder dans un Etat patri- monial, ou dans un Etat de con- Stérilité (la) paffoit dans les pre- miers tems pour une espece d'in- Stuart, (Marie) Reine d'Ecoffe par fon mariage avec François II, ne |