Nouveau cours de grammaire francaise, Volume 21908 |
From inside the book
Results 1-5 of 20
Page 5
... femme qui aime à bavarder . Beau dessein , famil . , et par ironie extravagant dessein . Voiturer , transporter d'une façon quelconque . Ulysse , fils de Laërte , époux de Pénélope , père de Télémaque . Il assista au siège de Troie et ...
... femme qui aime à bavarder . Beau dessein , famil . , et par ironie extravagant dessein . Voiturer , transporter d'une façon quelconque . Ulysse , fils de Laërte , époux de Pénélope , père de Télémaque . Il assista au siège de Troie et ...
Page 38
... femme qui s'occupe du linge , qui a un douaire ; un terrain où l'on exploite des sapins , du chènevis , du riz , des ardoises , etc. ? 195 . - Avec le suffixe erie , former des noms dérivés des mots suivants : 1 ° Noms en eur ...
... femme qui s'occupe du linge , qui a un douaire ; un terrain où l'on exploite des sapins , du chènevis , du riz , des ardoises , etc. ? 195 . - Avec le suffixe erie , former des noms dérivés des mots suivants : 1 ° Noms en eur ...
Page 44
... femme , roi , goutte , tarte . bourre , 227 . suivants : - Avec les suffixes on , illon ou eron , former le diminutif des mots 1o on . barbe , sable , aiguille , rat , jambe , caisse , rejet , médaille bride , guide , jupe , glace ...
... femme , roi , goutte , tarte . bourre , 227 . suivants : - Avec les suffixes on , illon ou eron , former le diminutif des mots 1o on . barbe , sable , aiguille , rat , jambe , caisse , rejet , médaille bride , guide , jupe , glace ...
Page 64
... femmes qu'hommes , petits enfants et vieilles gens . 346. Même exercice que plus haut . J. AMYOT ( 1513-1593 ) . Pierre Corneille au lecteur ( Édition de 1683 ) . Vous pourrez trouver quelque chose d'étrange aux innovations en l ...
... femmes qu'hommes , petits enfants et vieilles gens . 346. Même exercice que plus haut . J. AMYOT ( 1513-1593 ) . Pierre Corneille au lecteur ( Édition de 1683 ) . Vous pourrez trouver quelque chose d'étrange aux innovations en l ...
Page 68
... femme et pour tes enfants mais voilà un tel qui a son plafond écroulé et les berceaux de ses petits exposés à tous les vents Voilà cette pauvre veuve dont la maison a brûlé et qui n'a pas un liard pour payer le tireur de pierres le ...
... femme et pour tes enfants mais voilà un tel qui a son plafond écroulé et les berceaux de ses petits exposés à tous les vents Voilà cette pauvre veuve dont la maison a brûlé et qui n'a pas un liard pour payer le tireur de pierres le ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
adjectifs dérivés Amyot changements orthographiques survenus Chanson de Roland copier les phrases Corneille COURS SUP d'où sont venus Décomposer les mots dérivés des mots dérivés des verbes dictée le morceau Donner dix mots donner le sens Donner les mots estoit EXERCICES Lire Exercices oraux Fénelon Fontaine Former des adjectifs former des noms François Ier grammaire historique peuvent historique peuvent donner indiquant les changements laissés à l'infinitif latin vulgaire lieu les phrases Lire ou copier Lire ou écrire Malherbe morceau suivant mots à remarquer mots français suivants mots latins d'où mots latins suivants mots suivants noms dérivés onem oraux ou écrits peuvent donner lieu phrases suivantes Plutarque prés quelles remarques Rabelais Racine remarques de grammaire remplaçant chaque tiret Sévigné suffixe suivant en indiquant suivantes en mettant suivantes en remplaçant Trouver les mots Trouver les représentants venus les mots verbes laissés verbes suivants voyelles XVIe siècle xvre siècle
Popular passages
Page 80 - L'aspect de ce simple et noble ouvrage me frappa d'autant plus qu'il est au milieu d'un désert où le silence et la solitude rendent l'objet plus frappant et l'admiration plus vive , car ce prétendu pont n'était qu'un aqueduc.
Page 95 - Télémaque une critique indirecte du gouvernement de Louis XIV. Sésostris, qui triomphait avec trop de faste, Idoménée, qui établissait le luxe dans Salente et qui oubliait le nécessaire, parurent des portraits du roi...
Page 96 - Et si vous voulez recevoir de la vieille ville une impression que la moderne ne saurait plus vous donner, montez, un matin de grande fête, au soleil levant de Pâques ou de la Pentecôte, montez sur quelque point élevé d'où vous dominiez la capitale entière, et assistez à l'éveil des carillons. Voyez à un signal parti du ciel, car c'est le soleil qui le donne, ces mille églises tressaillir à la fois. Ce sont d'abord des tintements épars, allant d'une église à l'autre, comme lorsque...
Page 96 - D'abord la vibration de chaque cloche monte droite, pure et pour ainsi dire isolée des autres, dans le ciel splendide du matin; puis peu à peu, en grossissant, elles se fondent, elles se mêlent, elles s'effacent l'une dans l'autre, elles s'amalgament dans un magnifique concert. Ce n'est plus qu'une masse...
Page 117 - Sa fierté, sa beauté, sa jeunesse agréable Le fit chérir de vous, mais il fut redoutable A vos haineux, aux siens, pour sa dextérité.
Page 116 - Et en disant hin, la bonne femme, de l'aise qu'elle avoit en son compte, se print à faire la ruade que feroit son poulain , et, en la faisant, sa potée de laict va tomber et se respandit toute. Et voilà ses œufs, ses poussins, ses chapons, ses cochons, sa jument et son poulain tous par terre.
Page 114 - J'allai toujours au grand pas de mon cheval, et je ne finis qu'à huit heures du soir*. Enfin, on étoit deux heures à aller du bout d'une ligne à l'autre.
Page 96 - ... de trop rauque et de trop aigu, et dites si vous connaissez au monde quelque chose de plus riche, de plus joyeux, de plus doré, de plus éblouissant que ce tumulte de cloches et de sonneries...
Page 114 - J'étais si las, si ébloui de voir briller des épées et des mousquets , si étourdi d'entendre des tambours , des trompettes et des timbales, qu'en vérité je me laissais conduire par mon cheval , sans plus avoir d'attention à rien : et j'eusse voulu de tout mon cœur que tous les gens que je voyais eussent été chacun dans leur chaumière, ou dans leur maison, avec leurs femmes et leurs enfants; et moi, dans ma rue des Maçons, avec ma famille1.
Page 116 - N'avez-vous pas cru voir surgir devant vous la grande prairie baignée des rouges clartés du soir, lorsque vous le lûtes pour la première fois? le vieil ormeau et la haie qui vous abritèrent, et le fossé dont le revers vous servit de lit de repos et de table de travail, tandis que la grive chantait la retraite à ses compagnes, et que le pipeau du vacher se perdait dans l'éloignement ? Oh ! que la nuit tombait vite sur ces pages divines...