Nouvelle encyclopédie poétique: ou, Choix de poésies dans tous les genres, Volume 9Capelle (M., Pierre Adolphe) Ferra, 1818 - French poetry |
From inside the book
Results 1-5 of 19
Page 46
... sent ses déplaisirs ; Il joint ses pleurs à ses soupirs . Par ses gémissemens il répond à ses plaintes ; S'il vit c'est seulement afin de les guérir : Il s'offre à recevoir ses mortelles atteintes , Et , pourvu qu'il la sauve , il ...
... sent ses déplaisirs ; Il joint ses pleurs à ses soupirs . Par ses gémissemens il répond à ses plaintes ; S'il vit c'est seulement afin de les guérir : Il s'offre à recevoir ses mortelles atteintes , Et , pourvu qu'il la sauve , il ...
Page 65
... sent , il connaît , il respire Le Dieu qu'il a servi , dont il aima l'empire ; Il en est plein ; il chante ses bienfaits . L'Eternel a brisé son tonnerre inutile ; Et d'ailes et de faux dépouillé désormais , Sur les mondes détruits le ...
... sent , il connaît , il respire Le Dieu qu'il a servi , dont il aima l'empire ; Il en est plein ; il chante ses bienfaits . L'Eternel a brisé son tonnerre inutile ; Et d'ailes et de faux dépouillé désormais , Sur les mondes détruits le ...
Page 70
... sent né pour la royauté ; >> Si l'homme veut régner il faut que l'homme expire : » Au - delà de la tombe est placé son empire ; » C'est la mort qui l'enfante à l'immortalité . » ROUCHER . AUX NATIONS . CIEUX , terre , mers , faites ...
... sent né pour la royauté ; >> Si l'homme veut régner il faut que l'homme expire : » Au - delà de la tombe est placé son empire ; » C'est la mort qui l'enfante à l'immortalité . » ROUCHER . AUX NATIONS . CIEUX , terre , mers , faites ...
Page 79
... Sent les fondemens de la terre S'ébranler sous ses pas tremblans : Il palpite , écoute , frissonne : Mais le trépas en vain l'étonne , La rage ranime ses sens . Il pardonne au fléau terrible Qui va sous un débris horrible Écraser ses ...
... Sent les fondemens de la terre S'ébranler sous ses pas tremblans : Il palpite , écoute , frissonne : Mais le trépas en vain l'étonne , La rage ranime ses sens . Il pardonne au fléau terrible Qui va sous un débris horrible Écraser ses ...
Page 93
... sent le poids funeste ; Il en gémit , il le déteste ; Il fait pour les briser mille efforts généreux : Tantôt esclave infàme , et digne de ses peines , Plus il sent aggraver ses chaînes , Plus il ose ODES PINDARIQUES , etc. 93.
... sent le poids funeste ; Il en gémit , il le déteste ; Il fait pour les briser mille efforts généreux : Tantôt esclave infàme , et digne de ses peines , Plus il sent aggraver ses chaînes , Plus il ose ODES PINDARIQUES , etc. 93.
Contents
259 | |
264 | |
270 | |
276 | |
283 | |
291 | |
296 | |
306 | |
202 | |
210 | |
216 | |
225 | |
230 | |
234 | |
241 | |
246 | |
249 | |
307 | |
312 | |
318 | |
324 | |
327 | |
334 | |
340 | |
347 | |
354 | |
Common terms and phrases
accens adore affreux Aglaure ailes ailes brûlantes airs Alexandre court âme Amours Anacréon Atride autels Bacchus beau beauté bel âge boit brillant brûle Buffon céleste chants charme cher ciel cieux cœur coupable crainte crime cruels délire Dieu dieux divine doux Encelade encens enfans enflammée éternel Etna féconde feux fils flambeau flamme fleurs flots foudre frappe fureur gloire grandeur Grèce grondant guerre héros heureux hommes humains Icare immortelle Israël ivresse jaloux jour l'Amour l'homme l'innocence l'ode l'univers lauriers lois lyre mains monde mort mortels muse neuf sœurs noble nuit ODE D'ANACREON ODE TIRÉE olympique Pindare orages Orphées père peuples Pindare plaisirs pleurs poëte Polycrate Polymnie PSAUME RACAN revers rois roses ROUSSEAU sage sagesse sainte sang Seigneur seul soleil sombre sort sublime superbe talens terre Thèbe TIRÉE DU PSAUME tombeau tonnerre torrens tremblant trépas trésors triomphe tristes trône tyrans vainqueur vains vaste vengeance vengeur vertu vois voix yeux
Popular passages
Page 230 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur la tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 217 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encore pleine.
Page 230 - J'ai révélé mon cœur au Dieu de l'innocence ; II a vu mes pleurs pénitents ; II guérit mes remords, il m'arme de constance : Les malheureux sont ses enfants. Mes ennemis, riant, ont dit dans leur colère : Qu'il meure et sa gloire avec lui.
Page 221 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 221 - C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des Rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux : Ce qu'ils peuvent n'est rien; ils sont, comme nous sommes, Véritablement hommes, Et meurent comme nous.
Page 23 - Je sens de veine en veine une subtile flamme Courir par tout mon corps, sitôt que je te vois. Et dans les doux transports où s'égare mon âme Je ne saurais trouver de langue ni de voix. Un nuage confus se répand sur ma vue. Je n'entends plus, je tombe en de douces langueurs ; Et pâle, sans haleine, interdite, éperdue, Un frisson me saisit, je tremble, je me meurs.
Page 154 - Où l'Hèbre effrayé dans son onde Reçut ses membres dispersés, Le Thrace, errant sur les montagnes, Remplit les bois et les campagnes Du cri perçant de ses douleurs ; Les champs de l'air en retentirent, Et dans les antres qui gémirent Le lion répandit des pleurs.
Page 77 - Qu'aux accents de ma voix la terre se réveille. Rois, soyez attentifs : peuples, ouvrez l'oreille : Que l'Univers se taise, et m'écoute parler. Mes chants vont seconder les accords de ma lyre, L'esprit saint me pénètre, il m'échauffe, il m'inspire Les grandes vérités que je vais révéler.
Page 123 - Fortune, dont la main couronne Les forfaits les plus inouïs, Du faux éclat qui t'environne Serons-nous toujours éblouis ? Jusques à quand, trompeuse idole, D'un culte honteux et frivole Honorerons-nous tes autels ? Verra-t-on toujours tes caprices...
Page 53 - Qui du plus sage des monarques Doit couronner les justes vœux. Espérons des jours plus paisibles : Les dieux ne sont point inflexibles , Puisqu'ils punissent nos forfaits. Dans leurs rigueurs les plus austères , Souvent leurs fléaux salutaires Sont un gage de leurs bienfaits. Le ciel dans une nuit profonde Se plaît à nous cacher ses lois : Les rois sont les maîtres du monde; Les dieux sont les maîtres des rois. Valeur , activité , prudence , Des décrets de leur providence Rien ne change...